désolé du retard - vîrus lyrics
g t o q p a q v c v q a s a c
a j s h d c d
miroir, bienvenue dans ta nouvelle vie
jusqu’ici je pensais être né à mantes*la*jolie
je m’étais fait à l’idée : un suppôt de satan et au lit
si on s’attend à ce que des langues se crime*et*délient
si on s’attend à ce qu’un soir en sous*sol
d’une idée noire puisse éclore pléthore de pétrole
d’où l’acuité pour la cuite : quand t’as les pétoches
ticket pour le grand huit : ferme tes yeux, ferme tes poches
la fuite c’est les autres
mi*homme mi*oche, esquiver la bamboche
les après*midi zouk*love
privilégier la ville la nuit quand elle a l’air sous cloche
te ronger les ongles, demain de l’aide pour un bout de scotch
d’innombrables non*dits nous inondent nom de dieu…
… n’est pas religieux. dieu n’est pas religieux
avant tout écrit, on se relit : on ne peut que coécrire
la peur, le repli me donnent envie de pleurire
donc je me faufile entre les *phobes et les *philes
entre l’exode et l’exil, entre l’école et l’église
dans le moindre village, on trouve un stade de foot
pour les éclipsés en équipe c faut s’inscrire au sport en salle de shoot
défilé d’hommes, de femmes qui s’arc*boutent
on croirait voir des 6ème voûtés sous leurs sacs de scouts
pas lavé, rien avaler à part la route
mal à me lever et si, ce coup*ci, j’avais vraiment crevé ?
et si, ce coup*ci, je devais m’acquitter de tout ce que je devais ?
le sh*t mène en correctionnelle, la tise aux assises
ton histoire personnelle, d’un coup, te geôlocalise
et la plupart des rues balisent des rubalise
on s’est promené, on s’est paumé vers la pommeraie
d’où on se promet ? d’où on se promet ? les dard*niers seront les pro*miers
mais les dés songent, mais les dés sont jetés
ca le ronge, l’assassin, donc il s’en remet à sa sainteté
très peu de vies ratées comme une première crêpe
virent athées, je suis croivant, c’était déjà le cas au lep
et déjà le chaos : les clopes au bec, les cul*sec au [???]
eclopés sans kopek à écoper de nos premières obsèques
oh c’est qu’en *17 je voulais faire un bac l
eh bah quel doute cruel sur mon orientation s*xuelle !
ca m’a pas trop aidé à dépuceler ce tunnel
chef ! oui, chef ! j’ai fait qu’opiner de l’opinel
rien que daniel, pinailleur et pile à l’heure
et la javel sur les invendus pizza hut, pis ça heurte
en plein cœur des villes, tu pourrais pas p*sser ailleurs
que sur mes géraniums ? bah si, tiens, psst, dans l’oeil
j’ai le sens des affaires, rapiat d’happy hours
et dans les bagarres à plusieurs, je guette et ramasse les larfeuilles
sauf qu’en business, j’ai jamais été ambitieux
c’est un peu leg’ ? t’inquiète, nugget, c’est bien compressé
fin stratège pour des 10*keuss des mi*de
puis on a pris la confiance, on a même défait nos lacets
dans la rue, rien qu’on smoke, on trinque, on délinque
les cinq aussi lésés les uns que les autres, qui lit mieux
les faits divers, voir un peu ce que fait la concurrence
les défis vertueux n’engagent que ceux qui les lancent
car ensemble, on se parle des heures qu’on perd
au départ on se croise, on croasse, les crocs acérés
encore coriace, aucun n’obtempère
on peut enfin faire une croix sur l’illusion d’être inséré
car ensemble, les roues sans carrosse en font pas des caisses
ou quoi ou qu’est*ce ? tout un pataquès…
…tion d’apparence
ouais on traque, on troque, on truque nos caresses
car ensemble on traîne, ou peut*être est*ce nos carences ?
nos carences un peu traîtresses
en prendre conscience peut*être très stressant comme un péage
pas très à notre aise encore à notre âge
sur les hauteurs, en jogger, les belles demeures me croient en repérage
volets fracturés, vol et frag : deux grands blacks, un petit blanc
forcément eux si c’est pas les gitans
si c’est pas légitime, levez la main les déviants
depuis leurs 13*16 ans, jérôme, claude, maurice, présents
… c’est que t’étais fourré ? t’es encore plein de béton
quand j’y pense, depuis le temps qu’on aurait dû te foutre en pension
et puis c’est pigalle qui crépite, soirées [???] et crêperies
quant aux bars à hôtesses, on n’aura fait que demander le prix
au type qui tire sur son barreau de chaise et part du principe
qu’il est pas marchand de tapis et que c’est tant par tête de pipe
ok, tant pis, à la glu on se la colle derrière l’oreille
tour eiffel ? jamais vue mais par chez*nous, y a des grues
y aussi la seine en crue, des pigeons, des statues
on manque de rien à part peut*être d’un rer, d’un disquaire
d’un distributeur, d’un rappeur, d’un footballer connu
depuis nos provinces complexées, que de princes déchus
de ligaments croisés, d’éditeurs qu’ont rien foutu
le secteur est rurbain, un dealer un peu chafouin
peut klaxonner un tracteur qui, pour le coup, se fâche moins
comme en prison, heureus*m*nt, quasi tout le monde fume des joints
fin fond 77 ou 91, ou chope aussi le rhume des foins
avance, putain ! putain mais oh ! file ta gauche !
tiens, tu me largues au rond*point, moins cinq, on est synchro
sacrosaint kebab du coin, pas de dab, putes [???]
les animateurs bafa comptent sur nous pour l’art*déco
d’un nouveau secteur jeunes qui tiendra dans un algeco
ouvrez vos locaux ou bientôt z’aurez plus de sono
un coup de cul pour lever le bitoniau de certaines renault
au cumul, t’imagines comment leur mépris me répugne
et comment personne n’a jamais pu faire sauter mes prunes
tu m’as vu, tu m’as vu
menotté, numéroté, mené manu
menue monnaie, main nue, gratter une blonde à l’aumônier
dans un ancien couvent, j’aurais mis mes ongles à curer
que mon injure, c’était juste pour jamais être juré
mes reflets m’effleuraient : je refusais de les voir
mes re*frè me flairaient : je refusais de les voir
est*ce que je le referais ?
je sais pas, fait chier
devoir tout recommencer ?
je reviens sur mes pas seulement pour me rappeler de ce à quoi je pensais
le but c’est de pas revenir, à la base c’était bien fermé
a chaque fois que je fais demi*tour, c’est toujours bien fermé
arrivée d’eau, arrivée de gaz, la porte qui joue du jazz
on sait jamais, un jour, j’irai peut*être jusqu’au bout d’une phrase
parle à ma tête, parle à ma tête, mon cul est malade
ou à mon cœur, parfois il bat la r19 chamade
avant de taxer une cigarette ou deux, ce serait l’idéal
pour ma première bague à la tirette j’ai dû taxer 10 balles
et vu que les normes sociales cond*mnent le célibat
j’évite les demi*baguettes, les ébats dans mon lit une place
tombé si bas : mes relations s’achèvent par des menaces
pour mon anniversaire, j’ai reçu qu’un message d’mma
eh mais moi, je suis resté droit, l’histoire finit très mal
ah bon ? même pour mon frère siamois, mon frère i trema ?
de là t’écris un texte, un micro et tu le pé*ra
ou on te foudroie ou on te foutra au trou ou on te floutera
termine bien tes rimes avec “foutraque”, y a foutraque
ou entérine ton contrat d’intérim chez tupac
n’importe quelle boîte, moi, n’importe quelle boîte me fout le trac
le jour où je claque la porte, j’ai une tournée de deux dates
deux dates ? pourtant j’ai un passé vendeur
bien qu’un rappeur a souvent moins de vécu que son manager
bandit d’honneur ou donneur, l’une ou l’autre loterie
mais la même idolâtre : nino brown hégémonie
et j’aime autant vous dire, pour tout vous dire, que je vous ai pas tout dit
méfiez*vous, méfiez*vous : je suis aimé par des fous !
sous un ciel de normandie, cousin, je sais même plus comment faut que je m’habille
après la taule, y a plus jamais eu de photo de famille
je veux pas d’enfant, je veux pas être père alors j’ai fait des nièces
qui tirent sur mon index, trouvent ça marrant quand je lâche des caisses
des quelles seront grandes, c’est à souhaiter qu’elles soient laides ou lesbiennes
les pervers s*xuels vont pointer qu’une fois par semaine
qu’à cela ne tienne qu’à un fil, je m’en suis sorti œdèmne
un autographe sur la joue, un nombril à la bedaine
qu’à cela ne tienne, qu’à…
qu’à cela ne t… uh !
que chaque seconde s’apprête enfin à accoucher d’une deuxième
bien abrités dans des mains, les clap*clap de fin
dans les leurs seulement l’heure où toc*toque le tocsin
a trop citer atrocités on intoxique nos saints
enfin enfant, enfin enfant, l’enfant prodigue des soins
jusqu’ici, la pharmacie m’a farci
quand j’ai eu faim, quand j’ai eu froid, l’huile d’olive a durci
a ce sursis, j’ai aucun regret, du moins de mon plein gré
puis on t’épingle et te transmet la fièvre de la jungle
jusque là, j’étais pingre : j’accueillais au pain grillé
au jus de robinet un joyeux 14 février
‘fin j’ai reçu du courrier : ne pas gerber ne pas plier
je l’ai ouvert : le cœur y est, le cœur y est
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