un allongé (version freestyle réglage) - vil squal lyrics
il est temps que j’remette la main sur le katana
il est sacré celui*là, tu sais qu’il tranche peu importe l’armure
la mienne je la dépoussière, j’ai pris du recul dans ma vie, j’sais qu’des fois j’dois remettre les points sur les i, faire des réglages pour mieux m’aiguiller, ma boussole indique la belle vie, la grande, la douce, eux cherchent encore la lеur dans motte de foin, poto j’ai combattu
c’était mon destin
j’suis prochе du festin
j’aimerais qu’chacun suive son propre chemin, c’est clair qu’on se croise, j’suis solitaire j’ai pas la science infuse
par contre j’étudie j’me suis sorti de lourdes souffrances
avec des plans d’évasion qui font oublier des raisons, j’suis pas revenu pour m’justifier, raconter le passé
j’fais c’qu’il file au cours de ma pensée, et c’est net
des lieux antiques m’ont apporté le souffle qu’il m’eût fallu
pour apercevoir des anges qui ont fait l’choix d’m’aider, de revenir avec moi dans les bagages, je leur en suis reconnaissant, ils sont anciens, ils sont méga jolis, j’suis p’tetre perché moi j’pense pas, ils sont venus bénir les terres par où j’suis arrivé, c’est clair que j’vis très haut dans l’ciel c’est actuel
et des fois j’redescends mon éch*lle
histoire d’être à l’étage, sur la fréquence qui peut les toucher ouais j’accepte des défaites
pour jouer j’ai fait des fêtes aussi j’parle pas de basseses j’dis quand ton cœur vibre c’est bon perso ça fait longtemps
comme un con j’ai trop voulu l’offrir bêtement
j’sais qu’c’est le feu sacré j’préfère faire comme les autres désormais donc être silencieux à ce propos c’est bien plus beau pour moi
j’t’ai dit j’refais des réglages
j’leur donne pas, j’perds rien, toutes les fonctions j’ai foutu partout c’est l’ère qui me fait récupérer même quand j’suis hors ligne
c’que j’écris y’a moyen qu’ça soit ni du rap ni de la musique mais j’ai avancé de cette sorte c’est pas malheureux mon vieux grâce à ça j’ai pu être pieu atteindre les cieux
enfin
je me dis aussi que si chacun qui sait parle
peut*être qu’on évoluerait
t’inquiètes les lucides sont écoutés sans s’écrouler perso je les reconnais
et heureus*m*nt
l’humain cet ingrat
qui t’craint dès qu’il en a l’occas’ fait genre qu’il ne te connait pas
c’est bien pour ça qu’à tout moment j’sors de son étui l’épée
et c’est sa lumière éblouissante qui fait s’auto détruire le mal, qui
rappel à l’ordre et remet sur les rails quiconque enfin mon prénom vient du latin vient de lumière
la lumière est au delà des valeurs de bien et de mal
elle vit dans la pénombre, ça y’est j’suis déjà parti trop loin alors je reviens
pour n’pas m’égarer j’refile à mon étage tu sais qu’il est feintant
j’suis plus dans le tourment
t’sais que certains m’attendent encore au tournant
cependant
j’vais tout droit moi, pour t’expliquer
j’suis né pour ça
pas bloqué entre le sol et en haut
et dieu sait qu’entre deux c’est long
même pour ceux qui sont vifs mon pote
j’t’ai dit que même tout en haut c’est feinté ça ressemble au sous sol, sauf qu’ici c’est le firmament et qu’en levant les yeux bah y’a des étoiles, et mes amis puissances, archanges et anges j’te dis qu’ils me tendent la main, j’leur en suis tellement reconnaissant de m’entourer et puis
pour aiguiller sur les réflexions c’est le trajet de chacun , suffit d’être spécialiste, et faire ses choix personnellement j’en suis là
crois moi c’n’était pas joli
mais c’est cette vie
elle est physique
moi j’vis l’amour à ma façon
seul dans mon caleçon
j’te l’dis parce que c’était pas ça mon sort, j’suis presque en holocauste
tant qu’elle n’arrivera pas, peut*être qu’elle est déjà là
ma descendance s’exprime comme elle le peut
j’me suis rappelé que jacquemin d’arc aka jacques du lys est un aïeul
tu m’étonnes que j’rencontre à tout hasard la descendance de la famille hugo
quand j’accomplis, sur un grand chemin je suis
et l’âme guerrière, eprouvée de milles manières
n’a rien à craindre pour son avenir
j’ai pu rouiller, c’était nécessaire
j’sais pas qui j’étais
pour hériter d’ces gènes, pour hériter d’une doctrine quasi toute fête
et des voix qui quand j’étais enfant m’disait d’accomplir ma mission, de changer le monde, attends comment l’faire comprendre, moi j’sais pas qui j’étais
en tous cas sûrement quelqu’un qui a travaillé sur la transmission de vision, de savoir et surtout de goût
bien supérieur aux opinions
qui j’étais, tu ne vas pas m’croire, un roi
qui a mis en œuvre les choses pour traverser les époques et récupérer des fragments chaque fois
en tant qu’lucas deleau, aujourd’hui, j’pense que j’ai le gros lot qui m’attend
j’ai rien demandé, depuis très longtemps, j’pouvais ne plus agir
c’que j’demande est en code secret , aucun mot ne pourra te le faire capter, insaisissable, ça n’est j’espère pas l’absolu, j’en serai bien trop gourmand, or c’que je mérite je recevrais, sans avoir besoin de m’en cacher
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