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murphy - vh lyrics

[couplet : vh, et jetsyko]
(yeah)
j’suis en face des deux tours de l’usine
toujours peu lucide
il sera seul le dernier homme tout comme y’avait pas de [?]
j’me sens assez similaire
j’capte j’assimile r
ma chambre j’ai fais qu’brasser du vent
j’ai chantais dix milles airs
personne se doute de toutes les plaies que t’as ouvertes
que les traces dans le lavabo sont coulеur rouge pétard ou verte
et tu l’as montré à pеrsonne tu t’es pas donné en spectacle
même à l’époque j’le savais t’étais respectable
j’entends l’bruit des voitures un peu moins fort que l’esprit qui m’habite
et chacune de mes barz fait monter la chaleur climatique
ils font la forme comme si j’tais né à l’époque [?]
pourquoi j’ai l’air repoussant dès qu’il y a un truc m’attire ?

[couplet : vh et jetsyko]
(yeah)
et cours avant qu’le teh s’éteigne
[?] passer
un jour la mort vient à cause d’être incertaine
j’étais à côté
dans ma tête c’était un véritable bordel
impossible j’veux vivre comme ci j’étais pas mortel
c’est comme instinctif quand j’fais les k!lls
j’suis comme michael caine quand il fait tomber les [?]
j’ai une patate je la place entre les incisives
j’ai la balle et la passe est décisive
j’repars un trou dans l’cœur pourtant j’avais bien démarré
ils font golri, ils reviennent, ils peuvent bouffer mes couilles et ma raie
j’me suis barré demande pas pourquoi
si l’ciel me foudroie c’est tout droit même contre vents et marées
et ma rime elle brûle elle est aride
elle peut redémarrer comme la rolex elle prend pas d’la ride
et la fume, la pige ça nous attire
dès qu’je vois un kho ça tire
j’ai du mal à dire les choses depuis qu’j’ai des choses à t’dire
[refrain]
(yeah)
qu’est*ce que j’vais laisser quand je die
j’me fais tout p’tit, les soucis sont de taille
(eh), j’voulais l’ouvrir j’avais pas l’cran
le [vivre ?] était flagrant, le temps change de page
j’suis comme murphy j’ai la tête vers les aliens
mais j’redescend vite quand on passe de l’été à l’hivers
j’ai la vue sur un gratte*ciel
mais sur un tas d'[ciels ?]
et derrière c’est les montagnes qu’on a gravit hier

[couplet : vh et jetsyko]
remplit d’éthanol, c’est pas un état n0ble
tu t’fais baiser chaque année
la bite de l’état est pas molle
j’arrive, forme olympique
avec les crocs d’un pit’
j’les ai baiser sur la session et c’était plutôt limpide
j’arrive comme la balle, comme le bruit, comme l’impact
ils savent à l’arrêt d’ma rue
putain d’signé comme un pacte
shedim m’a dit vasy tue les
une voix dans ma tempe j’ai finis par m’y habituer
du sang sur les canines
jamais je les aide là je les sème dès les qualifs
ils paniquent, ils s’replient comme des canifs
je sers, et je f’rais pas de save
fier comme un coq, discret comme un cops qui contrôle le bas de [?]
on a r, j’y repenserais dans la [herbe ?] paris copenhague
pas d’retour en arrière
j’aurais trop d’peine à dire
j’m’active car depuis les moutons sont partis
j’suis trop fort et sous*côté comme le buteur de tottenham
et j’peux le faire à [?]
dix ans avant après on veut passer de la sarbacane à la scène à cannes
j’suis à la tag, j’m’approche de la raquette
on s’partage la quête là dans la pièce on sert à 4
j’ai vu le reflet de tes yeux sur place de la gare
le jour où la monnaie arrive je la place je la garde
et si on reste à l’écart c’est pour la paix ou la guerre
t’façon le jour où l’bonheur viendra on en voudra guère

- vh lyrics

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