le retour du v - vald lyrics
[paroles de “le retour du v”]
partie 1 : la machine
[refrain]
je l’sens, je l’sens et je sais qu’c’est pas une hallucination olfactive
tous mes organes impactés, cette b*tch est radioactive
est*ce que c’est ça l’amour ou c’est que psychosomatique ?
est*ce que c’est bien la vie ou c’est qu’un code informatique ?
ca je sais qu’c’est ma bite et pas de 9 automatique
la solitude rend amer, je fume de l’arome magique
tu chantes sous la douche comme si tu voyais pas la machine
la fin du monde qui arrive, c’est même pas d’la magie
[couplet 1]
b*tch qui me, b*tch qui me parle, je n’entends rien
j’rappe sur un pied comme à moitié terrien
toi tu vaux rien comme la moitié de rien
tu peux rien faire, même pas nous tuer de rire
dlav tu ne le vois pas venir
mais j’abandonne, je ne me vois pas le dire
la foule en délire et je n’ai fait que des rimes
imagine si en plus je savais [planter ?]
je sais qu’l’importance c’est d’avoir la santé
pourtant j’la mets tout l’temps entre parenthèses
c’est à cause des culs, maintenant j’me détruis qu’en vrai, j’fais les trucs en vrai
c’est bien les nudes, maintenant j’veux les trucs ambrés
j’vais les dénuder, j’vais les démembrer
tes rappeurs enculés qui rec’ que cambrer
qu’ils restent en paix
vald le d c’est pour le danger
dalv le v c’est pour me venger
j’dis n’importe quoi, c’est pour ne pas changer
j’ai fait des m, j’voulais juste manger
[couplet 2]
wow, j’maîtrise un kungfu ancestral
j’suis au labo quand ils prennent la foudre, comme le joujou d’frankenstein
crucifié, j’ai pas tort, j’multiplie les métaphores
quand j’urine à même le sol, ton équipe accuse le sort
quand j’arrive à prendre du recul, c’est là que j’avance enfin
plus je fais le tour du monde, et plus j’aime la france en fait
[refrain]
je l’sens, je l’sens et je sais qu’c’est pas une hallucination olfactive
tous mes organes impactés, cette b*tch est radioactive
est*ce que c’est ça l’amour ou bien c’est que psychosomatique ?
est*ce que c’est bien la vie ou c’est qu’un code informatique ?
ca je sais qu’c’est ma bite et pas de 9 automatique
la solitude rend amer, je fume de l’arome magique
tu chantes sous la douche comme si tu voyais pas la machine
partie 2 : nouvelle industrie
[couplet 1]
t’sais qu’on r’part dans pas longtemps, qu’on fait la course pour l’ballon d’or
après dix feuilles, là qu’on dort, je suis mauvais si j’me comporte
regarde*toi et tes consorts baver sur notre dos dès qu’on sort
je n’cherche que du réconfort et dans vos daronnes j’suis confort
putain d’saperlipopette, ça s’voit j’ai pas votre temps
frérot, téma les chaussettes, ça s’voit j’suis d’un autre gang
mais que pouvez*vous me dire ? je ne parle pas votre langue
je ne traîne pas avec vous, y’a comme un parfum d’outre*tombe
vive la race humaine en vrai, son historique, ses immondices
on exploite encore des enfants, on fait des emplois saisonniers
je ne crache pas dans la soupe, c’est juste mal assaisonné
nan, je ne crache pas dans sa coupe, c’est d’l’amour déraisonné
toujours sur l’nouvel album, dépêche*toi faut qu’je décolle
c’est pas l’industrie, c’est les hommes, j’ai deux*trois potes comme à l’école
[refrain]
c’est pas des hommes, c’est des sommes, c’est pas des sommes, c’est des tonnes
des fois des tonnes et des tonnes, toi pour combien tu déconnes ?
toi pour combien tu déconnes ? toi pour combien tu déconnes ?
toi pour combien tu décolles ?
[couplet 2]
j’ai la recette, j’ai les cotes
si l’mauvais sort toque à la porte, j’ouvre la fenêtre j’me téléporte ou bien j’me france télécom
j’pourrais cruiser pénélope, exploser des météores
je date d’avant les réformes, j’suis là depuis l’cd*rom
je suis en tête tout devant, j’veux qu’t’aies en tête l’entêtement
on me regarde on se demande : “mais en vrai, est*ce un bête ? nan !”
franchement, souvent c’est pas faux
pour ça, j’mange les miettes de [bafo ?]
mais rien à faire j’suis affamé, rien à faire j’vais les baffer
je n’ai pas l’cœur à la fête, est*ce que c’est que de ma faute ?
fais comme moi porte tes couilles, t’auras le cœur à la tête
je lève le pied sur la cons’, j’ai rendez*vous dans deux heures
croyez pas je vends du rêve, je suis le même que sur l’annonce
j’fais l’père noël à noël et tous les jours c’est noël
tu pourrais tout annuler, j’viens d’faire mon bilan annuel
[refrain]
c’est pas des hommes, c’est des sommes, c’est pas des sommes, c’est des tonnes
des fois des tonnes et des tonnes, toi pour combien tu déconnes ?
toi pour combien tu déconnes ? toi pour combien tu déconnes ?
toi pour combien tu décolles ?
partie 3 : ce soir
[pré*refrain]
ce soir je vois personne
ce soir je vois personne, ça me dérange pas, dérange pas
[refrain]
ce soir pas de show, ouais ouais, personne dans la fosse
ce soir j’roule un gros comme celui de la veille
tu connais j’suis le uno, enfoiré, t’es le dos
crois pas qu’t’es le frérot ou le sang de la veine
ce soir pas de show, ouais ouais, personne dans la fosse
ce soir j’roule un gros comme celui de la veille
tu connais j’suis le uno, enfoiré, t’es le dos
crois pas qu’t’es le frérot ou le sang de la veine
[couplet 1]
c’est moi l’personnage, b*tch, à l’intérieur de moi
sauf dans le film, je t’aime inférieur au trois
même si aucun regret, on aurait pu mieux faire
les choses sont telles qu’elles sont et ça n’sera jamais autrement
prends pas la tête, j’sais c’est quoi l’but de tout ça
délocaliser chez linda de suza
pour nous rattraper, maintenant faut du courage
bientôt dix ans dans cette merde, b*tch, on connaît les rouages
j’veux pas ber*flam, j’veux juste indiquer (quoi ?)
la route est longue et surtout sans briquet
ils m’regardent tous comme si j’étais impliqué
j’avoue, d’vant mon miroir j’ai rappé appliqué
[refrain]
ce soir pas de show, ouais ouais, personne dans la fosse
ce soir j’roule un gros comme celui de la veille
tu connais j’suis le uno, enfoiré, t’es le dos
crois pas qu’t’es le frérot ou le sang de la veine
ce soir pas de show, ouais ouais, personne dans la fosse
ce soir j’roule un gros comme celui de la veille
tu connais j’suis le uno, enfoiré, t’es le dos
crois pas qu’t’es le frérot ou le sang de la veine
[couplet 2]
effusion d’placenta quand le jnoun sort
quand le destin te sourit, ils font la grimace de bulldog
j’sors des rimes de toutes sortes
quand je boxe avec les mots c’est un blood sport
gros, j’ai jamais fait le tri, nan
j’ai toujours été solo, et roi comme le client
j’rappe comme un robot, ou au moins avec un trident
b*tch, tu veux toujours sortir, c’est intriguant
[pré*refrain]
ce soir je vois personne
ce soir je vois personne, ça me dérange pas, dérange pas
[refrain]
ce soir pas de show, ouais ouais, personne dans la fosse
ce soir j’roule un gros comme celui de la veille
tu connais j’suis le uno, enfoiré, t’es le dos
crois pas qu’t’es le frérot ou le sang de la veine
ce soir pas de show, ouais ouais, personne dans la fosse
ce soir j’roule un gros comme celui de la veille
tu connais j’suis le uno, enfoiré, t’es le dos
crois pas qu’t’es le frérot ou le sang de la veine
[outro]
j’me ressers et j’me demande : “qu’est*ce qu’on a accompli ?”
si c’était keus pour l’éternité, faut réessayer
partie 4 : where are my lovers?
[couplet unique]
nan, on s’connait pas
j’reviens d’l’au*delà
sous te*shi loin de là
j’demande pareil qu’au départ (je me demande pareil)
where are, where are my lovers?
where are, where are my lovers?
where are, where are my lovers?
c’est toujours la même question
comme si y’avait d’autres questions
where are, where are my lovers?
where are, where are my lovers?
partie 5 : bien sûr
[refrain]
bien sûr, bien sûr, bien sûr
tu m’as l’air bien sûr, bien sûr
bien vue la ceinture, bien vue la teinture
bien sûr, bien vue la bien pure
j’enchaîne le vingt sur vingt sur vingt sur
j’arrive et j’assure qu’j’assure
remets un jack sur l’jack sur l’jack
[couplet 1]
je t’jarte et j’recommence la sieste
j’reste pas, j’vais finir aux assiettes
j’entertain même après la scène
jamais moyen de se prélasser
tu m’méprises car t’es dépassé
je les maîtrise en télétravail
ces fossiles témoins du passé règne que parmi les gravats
j’peux compter sur mes deux bravas même s’ils sont keus, au bout j’ai deux mains
dedans, de quoi faire tout un drama et faire sécher les larmes de ta mama
j’suis spécial, t’es plutôt b*n*l comme un cadavre dans le c*n*l
babygal t’es plutôt pas mal
j’peux nous défrayer la cavale, j’peux même défrayer la chronique
j’peux même effriter la chronique
torture du moyen âge, j’leur fais mêmes des anachronismes
j’ai l’savoir si j’ai pas l’brolic, toi et moi c’est vegeta broly
t’es pas d’taille espèce d’impoli, ce flow choque ton métabolisme
[refrain]
bien sûr, bien sûr, bien sûr
tu m’as l’air bien sûr, bien sûr
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