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encore - vald lyrics

[refrain]
allez, allez, encore un son qui mènera nulle part
fume, ça roule un bon stick et tape une barre
n’abuse pas ma puce
j’acc-mule un tas d’trucages, du grabuge dans mon fuselage
j’ai d’l’actu dans mon futal

[couplet unique]
encore un matin pas si mal en tant qu’zigzag dans l’corridor
encore une clope matinale, machinalement j’en rigole
on va m’demander si ça va et ça même sans qu’on s’connaisse
j’fais des chansons d’poètes, ah bon, c’est dans l’fond d’causette
ça y est, maintenant c’est honnête, tu pourras dire que nan
aucune envie d’me faire épauler par le fils de kant
j’t’-ssure qu’j’ai du sang d’philosophe, éduquant l’microphone en kimono
vagin dans le ciboulot, j’collectionne les virus microsoft
encore un faux raccord dans l’corps-à-corps du rer
l’histoire dégénère et ça d’vient dérisoire que tout reste éphémère
encore une fois : j’vais d’voir m’en battre les couilles
le soir, reparler d’foufs, me gratter l’boule et puis m’en r’battre les couilles
encore un conseil qu’ira finir dans mes chiottes
et un don per’ qui m’annihile sans effort, me fragilise l’encéphale
ouais, c’est l’aspirine quand c’est flasque et les activistes andémol
viennent m’astiquer dans les loges et activer l’essuie-glace
encore une suceuse à nibards payée pour sourire comme une conne
pour courtiser l’audimat, arrache des soupirs aux lucioles
et j’préfère mourir aussitôt que d’me soucier d’vos images
même me pourrir au pinot et devenir soumis polygame
encore une propagande de s-xagénaire israélienne
qui lavent à la main leurs c-sseroles pour que brille la vaisselle
c’pédé tise ma réserve, ça m’épuise
parait-il que l’amnésie m’apprécie (mais j’sais plus qui m’l’avait dit)
pourtant à s’égosiller, j’ai fait les mêmes choses hier
ce même air obstiné devant ces treize gros billets
ces mêmes fesses tonifiées sur internet p-rnifié
j’invente des mots et pour ma mère (j’ai eu la moyenne au lycée)
encore un mec qui boit tout près d’pigalle, s’met minable pour sa festina
qu’il estimera dans plusieurs périodes estivales
des cavus, il s’égare dans des débats tous interminables
des barres de rages intestinales, dégueule sur un insecte qui p-sse
pas besoin d’s’isoler des frères pour ciseler ses veines
et rester prisonnier des fesses, j’fignole des mijaurées sévères
et j’ai b’soin d’rigoler mes vers pour me sentir libre
libre d’être un consommateur guidé par son chibre
allez, allez, encore un son qui mènera nulle part
encore cette sensation d’vivre pour donner son trou d’balle
j’avoue sans station digne de c’nom, j’écoute vald
et quand j’rêve de tory lane, j’lui mets des coups d’schl-sse
et tu vas jouir putain d’grosse pute
à voir les mêmes choses tous les jours, j’en deviens golbute
mais tant qu’ça m’occupe, j’occulte les faux-culs cocus dodus
les obus qu’on fume bossus et les ventes d’hocus pocus
encore un focus dans l’calbare de v
pendant que tu mates master chef, encore un wack martelé
encore une ‘t-sse m’harcèle et j’en ai le braquemart fêlé, bâtards
vous voulez du magma venez, l’slogan c’est : “val’ c-sse des nez”
j’emmerde vos tas d’c-sses-dédi, dégaine le taga, j’l’effrite
devant la saga d’freddy, l’cerveau en pagaille, j’écris
pendant qu’un pet-t pédé plein d’haine, un genre d’illettré sincère
crois gêner la société lorsqu’il caill-sse les flics
j’ai des messages farfelus, j’déboite des tas d’chattes velues
venu d’ailleurs, y’a d’l’absolut, j’m’en veux pas dans l’absolu
mais j’en ai plein l’cul, ça va d’entendre ces quinze putes bavardes
alors à l’insu d’la m-sse, j’te baise sur c’t’instru d’malade
encore une feuille qui tombe et une autre qui s’roule
si t’as peur fiston, dis-toi qu’j’ai les fils qui s’touchent
car le peura, ça rend cool c’que j’dis
même si des fois, j’pars en couille, j’reste vrai, j’ai les pires discours

[outro]
encore un matin où j’me réveille dans une mère solitaire à qui j’aurais pas dû percer l’hymen
nqntmqmqb 2, bientôt dans…

- vald lyrics

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