dernier dimanche du mois - tedax max lyrics
[paroles de “dernier dimanche du mois”]
[intro]
check, check
de rue paul bert à place voltaire, tu connais l’corner
isma à la prod
écoute
[couplet unique]
moi aussi j’ai des droits, j’revendique sur la prod, détroit, [?]
we fly*y, no lie, you know, it’s ballin
j’me fais sucer dans l’bolide et c’est l’sien, fais*le sans les mains, bébé essaye ça
j’me rapproche d’l’essentiel, plus proche des nôtres aux cieux, à chaque birthday
je souhaite pas, un stringer bell à chaque barksdale
un sentimеnt d’bien être à chaque fois qu’j’rec
j’côtoiе pierre, paul, jacques et j’paye mes dettes, comme à castle rock
j’ai nouvelle paire, j’sais pas avec quoi l’rock
fais pas l’roc’, pas d’escale t’es au sol après un knockout
tu vois l’monde autrement, l’œil derrière un coquard
c’est l’retour de ceux qui rappent, négro, j’ai levé l’lock out
laisse*les kouma, pour eux, c’est que d’la chatte
sans rancunes, j’fais mon travail en vrai, c’est que d’la tchatche
j’prends d’assaut l’mic, j’suis tyson à son prime
ils seront rappeurs, le jour ou y aura des open mic à la g*y pride ou aux soirées d’extrême droite
j’veux finir dans l’bon rôle, mais bon, j’vais pas faire l’acteur
ils veulent faire l’actu’, les plus proches se font délateurs
prends un manteau, j’fais l’effet d’un ventilateur
j’ai aucun mentor, ni d’filon, dans ceux qui m’entourent
mes rimes : mon atout, c’est à nous*même que l’on doit tout
bientôt, j’suis partout, comme les barbecues au mois d’août
pas d’doutes, j’suis l’élite, c’est pas d’doublure, la foule nous adoube (n*gga)
j’suis pas d’ces rappeurs qui misent tout sur leurs ad*libs
maison blanche d’afrique, notre histoire recouverte d’acide
du bled au tier*quar j’vois qu’des gens qui demandent à fuir
j’affirme et j’confirme, endurant, les mecs sont confus
ancienne école, j’suis d’ceux qu’on écoute avant qu’on filme
j’suis bon mc, mais c’est pas suffisant pour qu’on signe
j’m’en tape d’leurs consignes, j’reste moi, j’enfile pas d’costume
les murs vieillissent, mais la jeunesse a la même posture
j’me dis qu’il faut bien vivre, quand j’vois la dernière caisse du pasteur
juger à l’insta’, j’fais confiance qu’à mon instinct
j’ai choisi mon couloir, qu’ça prenne ou pas négro j’me presse pas
avant d’marquer, faut pas en prendre, solide comme nesta
la concu’ c’est du nestlé, j’suis dans l’ambroisier, l’nectar
n*gga
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