j'empile - sous sx lyrics
[paroles de “j’empile”]
[intro]
da*danbarry
[couplet 1]
c’que j’sens là c’est spécial (c’que j’sens c’est spécial)
la kush que j’fume là elle est spéciale (la drogue que j’cons’)
la b*tch sur c’canapé elle est spéciale ([?])
elle pense qu’à l’espèce ([?])
elle pense qu’à la kich’ épaisse (kich’ épaisse)
grosse chienne veut grosse laisse, spécial (grosse laisse)
même quand j’dis des mots simples, ça devient spécial
ils s’le prеnnent comme 38, ils s’le prеnnent comme .38 special
c’est simple, c’est réel
fort comme codéine coincée dans les reins
dans les enceintes, ça s’propage comme la peste en lowkey
j’ai pas commencé, ils disent : “c’est quand il s’éteint”
[refrain]
ah, ils fêtent ça pour rien, nous ça prépare dans notre coin l’festin
au début j’voulais être médecin
j’ai capté les médicaments c’était pas l’best hein (ah)
j’prie mais j’sais c’que j’vis c’est pas l’destin
c’est un film, c’est une scène, c’est une prise, c’est un test
c’est une prise de tête, l’appart’ j’empeste
j’m’enfume sous ça sous ça et plus
j’prends mes sous sales et j’empile
j’prends mes sous sales et j’empile
[couplet 2]
c’est que en prenant les risques qu’j’aurai l’empire
ce petit fils de riche il croit qu’j’ai peur
j’vais pull up chez ce nerd et sa daronne va pleurer
j’étais jeune, ma madre à 7 heures elle m’disait : “tu fais quoi ?”
j’avais l’sirop dans la main, le joint au doigt
train d’vie à rien faire, c’est violent tu serres
travaille avec des salopes et tu perds
c’est normal, ils veulent tout récupérer
y a trois mois la b*tch était super
maintenant elle m’dit : “crois*moi je t’aime”
alors qu’ses vices j’ai repéré
j’suis réel, j’continue à [? à 1:15]
j’m’en bats les couilles d’ces p*ssy, ces putes
j’m’en bats les couilles de ses fesses
elle elle m’parle de giuseppe
blasé j’me balade, dans la pénombre m’pavane
partout démons attendent que tu té*mon
et moi j’fais ça sauvage mais [?] dans la savane
t’es pas sur mes côtes si tu m’atteins pas la cheville
sous*estime, on t’achève
sous*estime, on t’achève
on est là depuis t’es fougou
t’es long à la détente pour capter la vague, le nom
sx, tu veux t’affilier mais c’est non
des faux frérots j’ai croisé par milliers, ils disaient qu’j’suis un bon (a*a*ah)
il m’disait : “t’es un bon” (a*a*ah), mais il a du décompte
le temps s’écoule et il m’a pris pour un con (a*a*ah, a*a*ah)
princesse, la vie c’est pas un conte (a*a*ah, yah)
mon passé, s’tu veux j’raconte (a*a*ah, yah)
est*c’que la vérité tu l’affrontes ? (a*a*ah, ah)
en tout cas j’ai affronté la mienne (a*a*ah)
j’les caillasse, après j’les frappe avec la fronde
depuis tout petit, j’prends tout pour un affront
on a eu faim, on a eu froid
on a eu chaud par des grands du square
on les a refroidis, embuscade un soir (ah)
quand j’dis “on” c’est moi (brrr)
toujours en solo, pas en squad (basic)
toulouse, paris, bordeaux
d’appart’ en appart’, trap houses on a squatté
et même si y a rien à faire j’sais quoi faire
toi t’as pas les plavs’, tes diezs ils sont ratés (t’as rien)
b*n*l, j’fais mes affaires
bande appart, fais bande à part, ça fait bander les sœurs
mais une banane, tu finis par terre (basic)
be*bellek, des bâtards partout
on n’est pas tous nés avec un kit d’kichta sur terre
toi t’es prêt à quoi pour ton parcours ?
[refrain]
ils fêtent ça pour rien, nous ça prépare dans notre coin l’festin
au début j’voulais être médecin
j’ai capté les médicaments c’était pas l’best hein (ah)
j’prie mais j’sais c’que j’vis c’est pas l’destin
c’est un film, c’est une scène, c’est une prise, c’est un test
c’est une prise de tête, l’appart’ j’empeste
j’m’enfume sous ça sous ça et plus
j’prends mes sous sales et j’empile
j’prends mes sous sales et j’empile
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