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freestyle paris-brooklyn #55 - sopico lyrics

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[couplet 1 : sopico]
toujours à la page mamen, p-sse la zeb
un verre de whisky, p-sse à l’étage mamen
la pasta verte, on fait des cascades
on n’est pas stable mais tu nous verras pas grave schlaggués
avant qu’les bâtards l’achètent, pète mon ep
l’inspecteur t’a relâché
pour mes scars-la check [?] j’vais finir par m’l-sser
mais nan j’rigole, j’vais la tenir par la chaîne
parle ap, tu t’fais croquer par la chienne
c’est l’déballage babe, j’suis dans les parages yeah
revenez pas là, vous allez finir par rager
c’est bagdad, j’cracherai mon packetage gars
c’est bientôt la guerre, aucun ne m’partagera
des barbares [?] m’regardent avec amalgame
j’ai cette flamme [?] et c’est déjà pas mal gars
ces putes sont stupides, j’ai le regard d’mad max
[?] j’connais pas d’sage femme
y’a qu’des t-ss, en général ça s’capte
t’es d’jà mon con si tu piges, fais tourner l’pastaga
j’boxe mes rimes, j’fais pas krav-maga
on fait p-sser les traîtres, la ganja par la cave
j’sors d’la cavalcade, pas d'[?], j’roule comme mes kamas
j’kicke pour que mes canailles backent

[couplet 2 : fa2l]
j’ai pris ce foutu ballon
mc tu sais qu’j’ai le bras long
j’avance sur le rrain-te
feintes de frappe et du cash t’allongent
car j’ai ce foutu talent
lorsque je dribble au ballon
c’est pas balle au crossover
swich de salaud, range rover je vise le magot
la victoire sur un plateau
la vie d’gloire dans un château
reste en bas à boire du pago
j’ai compris que tous les murs étaient faits en placo
tu sais qu’le fall est planant
le style est trop nonchalant
j’arrive dans l’game les bras ballants
trop longtemps qu’j’ai le ticket gagnant
j’ai dû lâcher des salauds
former ma seleçao
tu sais qu’je plais aux ados : lmfao
oui oui le fall est fameux
p-ssements d’jambes et vamos
? étale de bolosses
pas d’scrupule du moment qu’on gagne
c’est qui qu’atteint le panier ?
tu sais qu’c’est fall cette année
dans l’actu comme les pakistanais
tellement de rage que j’ai failli m’barrer

[couplet 3 : sopico]
le jour se lève sur ma ville, pédé j’rappe du bout des lèvres
chaque peine qui nous élève nous laisse des marques, sur ma vie
commerce de crack sur l’navire, pas jamais fait pousser l’herbe
t’arriveras pas à m’toucher, mec, j’te mettrai ap sur ma liste

[couplet 4 : 1spire]
j’suis dans une logique kafkaïenne
vrai qu’ça date pas d’hier, destructeur, j’garde de sales manières
mon gars j’croyais arriver par l’arrière
et prendre les devants en évitant l’tas d’barrières
j’me les suis prises, tu vois l’visage
les sales bails viennent à la chaîne, tu captes l’image ?
je suis celui qui s’barricade
l’écriture est casanière, j’m’enferme avec marie-jeanne
a la tienne, j’bois d’la bière, j’fais pas d’virage
a l’arrêt, la motivation, j’pratique pas
j’suis pas d’ta cl-sse moyenne, tu parles bicrave
c’est ta vie, bâtard pas grave, moi j’rappe la mienne
j’crame la zeb, it’s the last spliff man
j’finis par l’inhale, hé, l’euphorie est p-ssagère
car en france tas d’cistes-ra, j’nique ta race aryenne
j’gère ça mitraille les lepenistes, ça j’l’admets
je fuis vite mais j’ai pas d’cayenne
le défi parallèle c’est qu’quand j’rappe, j’mets d’la matière
en fait je dévie, grave à l’est
hé oui, ça m’amène un couplet crade sa mère

[couplet 5 : lonepsi]
nous si on était doués, c’était pour traîner tard en ville
squatter des bars en crise où les peines pouvaient s’attendrir
si tous les soirs on tizait, que nos pensées ralentissaient
c’était qu’on était poussés par l’envie d’oublier que nos parents criaient
quand on leur parlait culture, ils nous parlaient cinéma français
je n’ai jamais tué personne mais crois moi l’idée m’a tenté
caché dans un brouillard blanc à s’niquer la santé
j’aurais beau citer les grands hommes, moi j’ai pas d’idéal en vrai
sors de ma vie, sors de ma vie
j’suis un gosse de la ville, placé hors de l’abri
et si je suis pas défoncé, c’est que je suis mort de fatigue
je ne connais aucun homme qui, nul part s’élève
comme ce nuage céleste qui -ssume sa défaite
et se meurt avant la nuit pour qu’la lune paraisse belle
dans la ville du monument de gustave eiffel
j’ai vu la détresse à travers la vitre abîmée d’un bus arrêté :
comme si tous les maux des p-ssagers auraient voulu s’abréger

[couplet 6 : vesti]

[couplet 7 : fa2l]
moi j’ai commencé le rap il ya genre six ans
complètement rhabat dans un bâtiment
pour te dire la vérité, c’était un accident
deux, trois rimes, ça devient palpitant
moi j’ai tellement souffert dans ce bâtiment
niqué trop de temps bêtement
mit des douilles, changé de vêtements
porter mes couilles, laisser des flaques de sang
(f.a, dit moi c’est comment, c’est quoi le plan?)
on a trop galéré, entre nous on se comprend
jamais connu le bonheur même un laps de temps
la vie c’est douloureux comme une rage de dent
t’as mal, et tu pourris sur les mêmes bancs, les mêmes gens/
p-sse ta vie à rouler, fumer le même chanvre
les mêmes échanges et on se la met dans les mêmes plans
en même temps, han ! dans le bat’ j’ai vu défilés les clients
la bac sortir des petits plans dépliants
défoncer des portes de manière bruyante
la seul loi que j’connais, c’est la loi du silence
money, money, money, coffre bien tes finances
le bat’ est petit, mais la peine est immense
mais viens donc faire un tour ici, y’a pas de dimanche

[couplet 8 : népal]
4-4 p-ss téléphoné c-sse-dédi trace tv
gosse débile remix à la postérité
tout c’que vous voulez mais pas d’trans
y’a pas d’chance suffit d’savoir caler ses pas de danse
la raptance trompe l’ennui, t’essaies d’le dompter
j’aime pas compter mais j’espère avoir pris d’l’avance sur lui
hé, puis on fait bluff on s’y connait
dieu m’a donné la foi comme l’autre blond-sse siliconée
donc je redémarre en balle, démarre pas d’en-bas
pourtant j’péra comme un paro qui rendait tes parents pâles
wesh c’est cadeau, juifs muz bouddhiste et les cathos, les scato
ceux qui foutent du teu-shi dans les gâteaux, hé
on en reparlera en partant, épatant
comment j’fais semblant d’avoir pas l’temps
des barres, une ville un squat des pav’
a toi d’voir si t’es un humain ou une caisse d’épargne

[couplet 9 : sopico]
j’n’ai pas 10 fans dilapidés
mais la bonne carte, je sais qui l’a tirée
j’danse la polka, check la piraterie même
j’ai la tech à pogba avec une xxx primée, eh eh
fuck la pinacothèque
j’ai un plavon rentable ‘vec la fille d’à côté
j’ai d’la weed tah popeye dans une villa trop belle
j’mets des gifles à copé, j’ai les tifs à gotenks
parle ap, mon gars minato paye
toutes les b–tchs c-kées veulent une bite à poteler
ouais j’suis décapoté, j’examine la go, check
on m’a mis l’anneau jet dans un minable hôtel
j’suis pas à l’abri d’un golden paquetage
mes rats viennent bâtir un totem, sale keh
j’vais laver nabilla ‘vec un c-cktail fatal
j’veux la paix, la pillave, j’veux un gros verre d’jack da’
eh, moral dans les baskets, j’ai cette finesse d’attaque
eh, mes gars d’l’hygiène tab-ssent ta race
t’laissent en chien dans un garage d’arabe
ferme ta schneck avant qu’on t’l’arrache caralho
portugais, chinois, sénégalais
fortuné, tu m’vois j’file et balais
faut qu’ces enculés d’fils de pute moi j’en n’ai pas l’air
v’là les rancuniers qu’sont les culs-d’jatte quand j’les balaye
j’ai tué bambi yes, j’suis ambidextre
pétard en ville, j’vise les fenêtres comme bill gates
ninja bandit gère, boit du brandy sec
la rue en direct, y’a pas d’galant’rie, chienne
j’suis v’nu sans tricher, j’fais pas d’gentil check
mets du son dj, mon flow comme antigel
bouge ta tête, du sky dans l’pichet
eh yo mon khey la fosse est pleine, si t’aimes pas on t’y jette

[couplet 10 : aska]

[couplet 11 : sopico]
j’prépare l’homicide, préviens tes colibris
j’suis plus chaud quand je m’attaque au riddim
une matraque auditive, j’p-sse ma cl-sse au meeting
douleurs cognitives quand j’lâche mes coups de coude à la tony j
j’viens du xviiième, j’suis loin de ton idylle
le paradis de vanessa peut bien repartir demain comme e.t
j’pense à djazaïr mec, à ma kabylie
viens voir à tizi, qu’là-bas, même les patrons rentabilisent
où est ta limite ? -ssez d’argent pour couler ta mini
t’acheter deux fois les terres du village d’kamini
pas loin du stalinisme, d’la mort de bouarrache ou d’ilan halimi
ces tristesses que même le temps ne peut pas stabiliser
en espérant détruire ce que des familles prisent
loin d’l’époque des c-ssettes et des pages de panini
avant même les bouquins, les écritures pas lisibles
viens voir par là, les plus mesquins t’attendent par ici
méfie-toi, rien n’est conclu même lorsque paris signe
qu’tu sois l’roi d’france ou d’ton cul, une pute en bas résilles
le plus grand philosophe t’encule et tu sens pas les signes
j’ai d’jà vu des vrais soldats se faire tromper par l’estime
d’un baratineur chevronné mais ‘faut pas le dire
roule ton oint-j dans ta chevrolet, t’es pas ali g
t’avais d’jà la bave aux vres-lè, quand j’t’en parlais p’tit

[pont 1 : sopico]
j’sais qu’c’est plus facile de se faire du mal
mais quand le soleil se lève tu n’as pas peur du noir
garde le sourire, pourquoi pleures-tu man ?
tu n’dors pas dans la rue jusqu’à 6 heures du mat
c’est facile de se faire du mal
mais quand le soleil se lève tu n’as pas peur du noir

[pont 2 : lonepsi] x2
je n’suis pas seul
je suis avec toute la clique, hey
radio vl
c’est la session acoustique, hey

[couplet 12 : lonepsi]
je tente de ne pas changer ma nature au profit de l’argent
pour ça, serais-je prêt à voler comme l’a fait jean valjean ?
qui sont mes ennemis ? liront-ils ces belles lignes ?
auront-ils le cran de m’affronter dans un tel vide ?
j’m’en fous que l’on m’récite l’histoire
mes pensées coulent et se noient dans un long précipice noir
à boire et fumer trop, je crois que l’on s’élimine soi
et si tu te retiens un soir, dis-moi, ça signifie quoi ?
il ne m’est pas difficile de m’imaginer loin d’ici
surtout quand l’attache est plus dure et que nos malheurs s’anticipent
clope, clope, café, clope et bonbon mentholé
trouve-moi dans des manteaux longs
dissimulant des secrets que le monde veut démanteler
j’gagnerai la bataille, dormirai près des châteaux
je n’ai rien contre vous mais, pour moi, c’en est déjà trop

[pont 2 : lonepsi] x2
je n’suis pas seul
je suis avec toute la clique, hey
radio vl
c’est la session acoustique, hey

[couplet 13 : népal]
on m’apprend pas à faire la grimace, j’suis une sorte de rafiki
dis à tes mc’s d’retourner danser, faire du graffiti
j’ai l’soutien des garces mimi, oui, j’ai un flow grave liquide
torrents d’mouille et j’les électrocute avec un raikiri
wesh, l’ancien, t’es méchant et fripé, on dirait babidi
flé-gon et faux à la race, un peu comme le boule à nicki
7.5, on vient s’installer à long terme un peu comme arditi
le bailzer est magnifique, chavaud tah la martinique
quand j’suis pas en train d’rimer, j’regarde les postbadb-tches
j’suis un putain d’pervers
quand j’roule j’deviens comme larry flynt
si j’allume mtv base, j’vois que des sketches comme ali g
sapristi, il m’faudrait une carrière à la patti smith ou mary j
frère, on tre-ren dans l’lard, on fait pas d’chichi
dédicace à levy lev quand ça rappait à place clichy
plus j’regarde les alentours, plus j’me dis qu’on est pas d’ici
ma session, 2fingz, rond barré, dojo family

[couplet 14 : vesti]

[couplet 15 : népal]
on s’en bat les keu-stea nous on kick au millimètre
dis-moi pourquoi ton équipe fout des claques dans l’eau
parait qu’le peu-ra c’est plus que pour les midinettes
ou bien pour les similis men qui font des cr-sses dans l’dos
fais ton propre truc, fuck les grosses putes
rip son posthume, drogue dure ou niaks dans gove
la magie tah les moldus
mets ton costume, nord-sud, losse, pub, place vendôme
peut-être qu’un d’ces quatre
j’roulerai en cl
mais pour l’instant j’-ssure sopac’
avec le freestyle à radio vl
et tu connais les bails
quand j’me balade sur l’instru
on ken tous les instrus
yeah, check le truc
qui va enchaîner ?
bordel de merde, c’est quoi les bails
fa2l, balance ton diez

[couplet 16 : fa2l]
je t’avoue ne pas me reconnaitre dans leurs symboles
wesh les mecs le niveau dégringole
on arrive avec une dalle que tu connais pas
on se répand comme un virus on est le choléra
j’sais pas si t’as vu mais la vie elle est bien trop folle
trafic d’enfants car ici-bas tout se monnaie gars
l’histoire sombre dans le sous-sol d’un monégasque
les riches dansent et s’enjaillent en méprisant la m-sse
j’suis parti de la vase, maintenant j’en décolle
wesh toujours le fusil à l’épaule
paris-est j’en ai fais les ghettos
on t’enlève la vie pour toucher…
y’a deux camps dans ce monde pélo je le constate
ceux qui gagnent, ceux qui se mangent des grosses claques
les défaitistes et ceux qui gravissent les obstacles
la vie ces wacks, ce n’est qu’un sport de contact
un drôle de bail, un éternel combat
y’a ceux qui les donnent, ceux qui les subissent les coups bas
j’ai fais du sale mais dois-je me sentir coupable
un homme devient un animal si le coup part
mais dis-moi qui tire les ficelles, je le veux en visu
click, clack, bleh, de la part de ceux que l’on bizute
je flippe papa de ne pas accéder à mon but
le monde est fucked up, chaque jour est une nouvelle lutte

[couplet 17 : sopico]
vrai qu’j’écoutais du lunatic avant
mais ma musique aujourd’hui peut ralentir ta bande
cherche pas l’bonheur dans un feat ou dans un truc à vendre
j’peux pas tirer sur un type, ce à quoi tu t’attends
mais j’peux tirer sur la corde si y’a des putes à pendre
yes j’suis bien préparé, y’a ma bande qui s’avance
‘vec les sk!lls les plus carrés pour que les lou-ja tremblent
on les laissera bien s’emboucaner, on vise les bougs à temps
j’écoute encore du tandem, my man
stone sous népalais j’en ai bavé pour étaler ma merde
souder mes paniers, c’était parfait, mais pas tes manières
gravir des paliers pour dépanner mes gavas, mes bannières
j’pourrais t’pousser d’la falaise, pas échanger ma mère
musique sortie des gouffres, des tanières : j’voulais chanter ma peine
j’suis sensible j’couche des balèzes, des requins, des baleines
j’me sens parfois étouffé par l’air j’sens déchanter ma quête
yes, j’me sentais porté par dicidens
75.0.18 mille raisons mais pas d’récit d’ange
peu d’enjeu mais beaucoup d’règles qu’on t’explique au couperet
pour ça qu’maintenant j’suis plus dense que tes partic-p-nts
intégration certaine même si t’es pas d’ici, grand
couronne d’épines serre-tête fait mal, oui le plus fragile s’y plante
un grand verre d’eau au goûter, avec la peau poupée
démarche d’enfant perdu hésitant, la tristesse est si grande

[couplet 18 : 1spire]
peut-être qu’t’en as marre de nos poèmes tristes
mais j’vais pas arrêter d’soulager mes maux d’l’esprit
tu connais p’ti j’suis pas la pour t’causer biff
tous mes collègues riment et réfléchissent demande a lonepsi
pendent q’les rolex brillent, j’reste sombre
j’pète le skonk, même au levé j’tire sur des gros g d’weed
mais j’veux qu’mes projets glissent, ça c’est b-n-l
j’amène ma rage pour vous baiser, en toute modestie
avec hakim, aska, un sale état d’âme
les prof disaient qu’j’raterai ma life, j’crois pas en cette prophétie
j’suis paro j’t’ai dis
emprisonné dans ma tête, c’est des barreaux qu’j’effrite

[couplet 19 : lonepsi]
les yeux rouges à kurenaï au cours de la journée
dis-moi, qu’est-ce qu’on pouvait faire mise à part mal tourner ?
on était fous, on était jeunes, on pensait qu’à s’bourrer
au quartier, c’était pas marrant quand la bac tournait
est-ce que tu repenses aux gens qui proviennent de ces durs labeurs ?
est-ce que tu dépenses autant que te le demande ta peur ?
pour pouvoir crier sans p-sser pour l’usurpateur
j’planterai l’encrier, répandrai le sang sur ma feuille
j’ai des songes quand j’suis loin, quand j’suis fonce-dé
mes réponses sont des points sombres, de longues trêves
tant que les gens me défendent, je ferai part de mes pensées
je ferai des phrases élégantes tout en maniant des mots sensés
quoi qu’il arrivera, il faudra que je reste debout mais
dis-moi, pourquoi durant des mois je doute ?
pourquoi ce n’est seulement la nuit que mes pensées voient le jour ?

[couplet 20 : népal]
ma constellation c’est la qu’j’vise
générer du biff comme lakshmi
j’parle pas d’encaisser comme jazmine cashmere
faire du savon grave j’did
cé-lan des fat gifles dans l’sage-vi autour d’chaque auditeurs qui l’achemine
conditionné comme des pochtards sous vide
habitués aux ambiances dont on garde aucun souvenir
et demande à tous mes couche-tard pas de cauchemar sous weed
juste un gros zdar, gauche-droite sous tise pour ceux qui dose mal
dans la rénovation comme haussmann, porteur du carré d’as
ils feraient un flop avec le cahier d’nas
c’est pas des blagues même si on s’marre
fidèle au poste comme les gargouilles de la cathédrale, case départ
paname all star, trou d’boulettes dans l’carénage
et si y’a d’l’eau enfoiré nage ici on coule pas
et pas l’temps de travailler une gestuelle subtile
gouairon à lunettes donc effet de surprise

[couplet 21 : fa2l]

[couplet 22 : aska]

[couplet 23 : vesti]

[pont 3 : lonepsi]

[couplet 24 : fa2l]
au fond de moi, je ne veux qu’un chose : tous les faire payer
en verts billets, racheter mes rêves de gosse éparpillés
les ‘blèmes s’acc-mulent, quand y’en a un, y’en a par milliers
j’ai grandi parmi les canidés animés d’sales idées
la mort, ça coûte et le payement sera validé
mes gars se shootent mais fument uniquement d’la qualité
pratique et micmac tactique, les petites frappes vont abdiquer
nique oit, je n’ai plus d’pitié
j’veux toucher les euros et le mal s’en mêle
mais à ce qu’il paraît, y’a de maille sans ‘blème
pris dans les tenailles, cela par centaine
on veut faire des billets verts pelo, mais pas d’centime
j’vais pas t’mentir, j’attends l’pire, j’roule un sbire
en attendant que ce soit à moi d’conduire
je sais que mes habitudes, à force, vont nuire
vous me faites vomir
malgré ça je me dois de rebondir
pas très sain je devrais me repentir
je veux resplendir, reste tranquille
j’estampille tous mes bails par “fall”
évoluer solo dans la ville vu la flicaille
ma vie c’est pas rigolo donc je tue des freestyles
on en a commis des cr-sses avec tous mes shaytans

[couplet 25 : 1spire]

[couplet 26 : hash24]

[couplet 27 : lonepsi]

[couplet 28 : mani2]

[couplet 29 : hash24]

[couplet 30 : 1spire]
ouais, appelle-moi pour tes couplets tristes
tout est dit, j’veux qu’ils soient bourrés d’rimes
aucun d’mes bougs hésite à découper l’beat
j’veux pas toucher l’ciel si l’très-haut fout des gifles
faut pas qu’t’écoutes c’qui p-sse petit gars
t’as l’crâne qui crame fissa, j’peux t’faire un cigare d’six grammes
ouais crois-moi c’est préférable, j’suis pas censé bédave
mais c’est pas à cause de moi qu’on a enterré l’rap
ouais j’essaye d’faire xxx pas m’sentir stressé tu sais
j’peux pas cesser d’lutter, marche en silence, exécute-les
j’veux pas être b-tté, frère tu sais
on peut pas s’affranchir des préjugés, ma hantise est décuplée

[couplet 31 : sopico]

[couplet 32 : hash24]

[couplet 33 : vesti]

[couplet 34 : hash24]

[couplet 35 : hash24]

[couplet 36 : lonepsi]

[couplet 37 : sopico]

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