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inquiétant - soleil noir (rap) lyrics

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[paroles de “inquiétant”]

[couplet 1 : swift guad]
amer comme un café noir, pas du latte macchiato
encore une autre chez inquiétant, tout l’arraison est accessoire
le ble*sem est un peu plus bre*som qu’un beat de ***
le suspens est insoutenable comme dans un film de hitchc*ck
on est là pour te donner ta dose d’horreur si tu aimes ça
inquiétant comme ta meuf qui s’promène dans une p’tite ruelle sale
j’ai pas peur de manquer d’kérosènе dans véhicule tesla
j’aime frеddy kruger et biff tannen mais j’vesqui usa
les temps grince, les princesses s’enfuit quand j’fait l’grand prince
et qu’le reste j’les enfreins et tout c’qui s’en suis c’est qu’des chances minces
c’est peu rassurant d’avoir rarement la panse pleine
les gens pincent pour l’obscur, les 500 d’chez tranxene
l’ambiance qui règne est menaçante et ça finit en crise d’angoisse
a ma f’nêtre j’ai vu un crime perpétré sur la fille d’en face
faut qu’on exorcise mes démons, des pilles de cauchemars qui s’entassent
l’important c’est de faire des sons, l’important c’est la mise en place
[refrain : euphonik]
inquiétant comme la nuit qui tombe *comme la nuit qui tombe*
j’vais tout flingué comme dans nikita *bang ! bang !*
j’écoute pas c’que les gens racontent *c’que les gens racontent*
j’préfère les pianos sombrent, les petites guitares
*inquiétant comme la nuit qui tombe… comme la nuit qui tombe*

[couplet 2 : dooz kawa]
un béret vert sur les mains ici et en treillis dans l’studio j’rappe
on boit des bouteilles de whisky comme des chevaliers d’l’ordre de malte
c’est pour ça qu’on devient bien fou, les cicatrices nous piquent à force
j’me vois parfois *** comme si j’étais patrice de carfort
les chirurgiens de guerre opèrent désormais même dans ma ville
depuis le tchad résonne encore le son des orgues de staline
par des pédophiles gouvernés et les familles **** de paris
pour ça qu’depuis l’humanité résonne les orgues de barbarie
musique militaire, joué par des machines d’usine prolétaires
mon père me voyait ouvrier mais j’étais trop libre pour me taire
covid pour l’hiver, brebis solitaire mais l’eau à coulé sur mes sons, j’ai appris à nager en hiver
des films d’horreurs, des mangas gores
plus personne ne parle du cœur parce que *****
inquiétant parce qu’on sait tout faire et qu’on s’méfie des gens qui dorment comme un connard en scooter qu’est toujours dans mon angle mort
enfant à l’école, on me note, la prof a des p’tits jets d’cyprine
de voir qu’j’ai toujours les meilleurs note mais qu’suis au conseil de discipline
de rêver d’avoir fait des meurtres et qu’au réveil ça reste entêtant
et lorsque ça sonne à la porte y’a un inspecteur enquêtant
inquiétant d’être inquiet, d’s’éveiller à quatre heure du mat’
rêver pharmacie du quartier, pour braquer un trésor de xanax
dvk, swift guad et old rage
quand euphonik passe pas l’calumet, on a pas la lumière à tout les étages
alors qu’on est tous allumé

[refrain : euphonik]
inquiétant comme la nuit qui tombe *comme la nuit qui tombe*
j’vais tout flingué comme dans nikita *bang ! bang !*
j’écoute pas c’que les gens racontent *c’que les gens racontent*
j’préfère les pianos sombrent, les petites guitares
*inquiétant comme la nuit qui tombe… comme la nuit qui tombe*

[couplet 3 : davodka]
oppressant comme les fins de moi, les factures d’un père honnête
tu crois que t’avance mais tu l’as dans comme une fracture du péroné
des gens qui gisent dans l’froid, qu’on croise dans l’noir à croire qu’on vit sans l’voir
la vie est un combat contre soit même comme la maîtrise d’une crise d’angoisse
des gens discrets, des gens qui gueulent, des gens qui s’aiment, des gens si seul
l’ambiance qui s’créé est sensible entre anti*stress et envie d’meurtre
en vrai y’en a assez d’dissimuler un tas de peine immense
a gober plus de cachets qu’il en faut pour toucher l’intermittence
ce monde m’inquiète, créé la froideur dans l’dos comme un frotteur dans l’trom, comme un camé dans l’hall, comme c’t’ascenseur qui bloque à mi*hauteur quand j’zone
les yeux fermés, j’pourrais t’traduire le sourire du faux dèrche
mais comprennent*ils la souffrance qui s’cache dans l’fou rire du joker
notre société est anxiogène comme un cri dans la nuit et jette un froid comme un hiver pour une vie sans un prix
les gens s’disent bien aimant et tu sais quoi ? bah j’y crois pas vraiment
moi c’est c’monde qui m’inquiète bah j’crois qu’pour ce monde c’est moi qui est inquiétant

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