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première impression - selug & kyo itachi lyrics

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[couplet 1]

on s’rappelle de la première impression (impression)
pourtant on s’rappelle pas des photos (on s’en rappelle pas)
tous mes vrais potos sont sortis d’nulle part comme les bons chiffres du loto (ding)
il s’peut qu’ça soit l’destin, il s’peut qu’j’active le semi*auto
rafales en cadencé, j’espère toucher les plus gros poissons, les 1%, t’façon faudrait rebalancer
jeune homme commence la vie, maîtrise le rap stadе avancé
j’aime l’or, l’alcool, le bif, la weed et j’incarnе c’que le talent c’est (ha ha !)
j’suis l’genre à rester vrai même sous les projecteurs
j’pensais finir par perdre la foi, j’suis bon qu’à suivre mon projet d’cœur (yeah)
si la porte est fermée, c’est pas grave jusqu’à l’apogée j’gueule
leur genre de rap, j’l’incinérerais, sur eux les crochets pleuvent (hey)
ils parlent de maille, oublient qu’les vrais trésors sont invisibles
ordonnés, on rappe, surpasse le désordre de cette impie, ‘s*y
gros j’suis là pour te graille, les crocs jamais à court de bails
j’ai carrément l’temps d’m’allonger, les voir jouer à la courte paille (hey)
pour être précis comme selug, faut être apprécié des syllabes, pas réfléchir à être célèbre
le frigo vide rappelle qu’il faut remplir un stade, ça d’vient une obsession, une autre session, un micro, une prod delete
ma mère m’apprend vite qu’esquiver marche pas à tous les coups
que même si l’système est mal fait c’est pas mal un atout les cours
au lycée j’ai pas 50 cent et j’prends 9 balles sans bullet proof
j’rê*, j’rêvais de m’endormir et j’faisais c’constat tous les jours

[refrain]
tous les jours, ha, hey, hey, tous les jours
tous les jours, ha, hey, hey, tous les jours
tous les jours, tous les jours la même rengaine
et ça fait tous les jours, ha, hey, hey, tous les jours ha, hey, hey
tous les jours, et chaque jour j’vais rapper quand*même, ha
tous les jours, ha, hey, hey, tous les jours
tous les jours, ha, hey, hey, tous les jours
tous les jours, tous les jours la même rengaine
et ça fait tous les jours, ha, hey, hey, tous les jours ha, hey, hey
tous les jours, et chaque jour j’vais rapper quand*même, yeah, yeah

[couplet 2]

faut qu’mon s.o.s vole au*dessus d’tout comme un gros satellite
mon reuf m’a dit “rapper sur tout, toi c’est comme ça qu’t’es libre”
comme ça qu’j’me retrouve dans ta playlist alors que j’suis du trou
tu l’as cherché si tu m’trouves, tu sais mon cash j’le cache très vite
j’suis un gars b*n*l c’est d’jà pas mal, j’viens d’limoges, j’suis à paname
né pour éradiquer leur musicalité qui a pas d’âme
toujours l’iris dans l’ciel, le talon sur le macadam
j’découpe comme à l’ancienne, tellement qu’le talent souille le katana
yeah, ma vie ça a toujours été tourmenté
aucun suspens, la descente, le coup d’blues chaque fois que tout r’montait
l’après*m’ à toulouse, le soir à s’demander où rentrer
j’ai la win et you lose, comme n.i, j’te laisse épouvanté comme elie
j’prends le rer c, fan de rap, c’lui qui m’a bercé, qui m’a percé, qui a fait mentir mon père, c’est c’que j’souhaitais du plus profond d’mon âme
la vie inversée, le bien attire le bien, la morale tue, le mal l’intercepte
j’te, j’te coupe une instru une camel en bouche
les rappeurs m’écoutent pour prendre du niveau, j’les amène en cours
auront affaire à ma classe digne d’un classe affaire
j’ferme la plaie à double tour avant qu’ça tourne et qu’ça s’infecte
atmosphère lourde comme la sociedad (la sociedad)
le cœur à gauche, la tête aussi dans l’enfer sociétal
faut pas en foutre partout, évidemment qu’ça sauce les tal’s
y a tous les mc dans une partouze, moi et mes sos’ on s’les tarte
j’veux courir après le temps, mourir après longtemps, pousser mon dernier cri, m’réveiller là où plus l’entendre
te faire voir par mes écrits que même vivre n’est qu’une mésentente
la tristesse, la colère nous crible, on en sort libre en plaisantant
j’veux courir après le temps, mourir après longtemps, pousser mon dernier cri, m’réveiller là où plus l’entendre
te faire voir par mes écrits que même vivre n’est qu’une mésentente
la tristesse, la colère nous crible, on en sort libre en plaisantant
selug
[outro]

tous les jours, tous les jours, tous les jours, tous les jours la même rengaine
et ça fait tous les jours, tous les jours, tous les jours, toujours j’vais rapper quand*même
et ça fait tous les jours, tous les jours, tous les jours, tous les jours le même problème, yeah, yeah, yeah
j’vais rapper quand*même

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