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les rues de paname (bonus track) - rochdi lyrics

[couplet 1 – madj]
les belles années p-ssent vite, l’avenir entonne des chansons insolites
quand les boulevards se vident, la lune reste mon seul guide
nous sommes des véridiques, nous en avons laissé des traces
le diable on le regarde en face de peur qu’il ne nous évite
on écrit, on kick, on jack, on smoke, on fornique
le ciel finit de vomir ces beaux modèles, on le regarde et on l’imite
on s’moque de nos limites, on a des caractères dopés
fort confiant, toujours opé bientôt [ ? ] bloqué

[couplet 2 – rochdi]

les rues de paname frère ,des glocks et des carrière bloquées
des guerriers perdus dans d’obscur blocks ,des cigarettes couverte de bloque de résine brune
des fioles de poison qui le long des gorges coule à foison
de la poudre blanche comme des nuits torrides [ ? ]
perdu dans la brume des albums qui n’sont jamais sorti
des leurdi des femmes qui tapinent dans des rues sordide
des rimes faibles ,des perles lyricale ,des cauchemars pour un jeune mc
des clochards qui dorment comme des morts vivants au milieu des rats ,des cafards et des pigeons malades
ça s’p-sse sur le boulevard dans les faubourgs de paname
4h du mat ,réveillé par une crampe d’estomac ,impossible de changer le monde
minuit un homme tombe,frappé par la foudre d’un fusil a pompe
créature de l’ombre j’ai jamais trouvé l’repos
entre les bras d’ma blonde ,poète du bitume
pris à la gorge ,mon ami est mort ce jour la j’ai changé d’corps
la nuit ma vu rennaître nos album de marcherons jamais
peut – être que t’as raison si la [ ? ] ne veut pas de moi
les cafards de la cave me tendront les bras
tu veux savoir pourquoi ,je n’serais jamais un vendu
par amour pour mes soldats ,qui m’ont toujours défendu
des tonnes de papiers noircis ,des larmes de pile noir
j’arriverais à mes fins quitte à finir à bois d’arsy
laisse moi seulement trois ans et tu pourras m’voir
dans les beaux quartiers ,au volant d une lotus élise noir

[ refrain – joubinn ]
on a des rimes des putains de rimes qui puent la street
des rimes qui sentent le s-xe mais cent pour cent écrasent le beat
commence pas l’sh-t si tu crois qu’on s’en l-sse vite
si tes couilles te servent qu’à prendre la fuite évite la street
et oui ma p’t-te ici les putains règles sont strictes
[ ? ] peut – être qu’il baisse régulièrement son slip
et j’crois qu’l’histoire est encore pire quand ,quand on s’pique
chacun son trip ,nous c’est le peu-ra depuis bientôt onze piges

je pratique l’art de l’écriture pour soigner mes blessures
le sort n’ai pas du genre à faire dans la demi – mesure
l’existence j’ n’y vois plus qu’un triste processus d’usure
le privilège c’est d’être pris au piège ,j’espérais voir tomber la neige en pleine été
de peindre comme le corrège [ ? ] d’être pris au piège
attacher à la fosse de l’idéal amoureux fou ,d’un rêve fou qui me refoule ,qui me refuse même le moindre des rendez vous
on a prit le risque de sortir un disque sale ,comme un impacte de bal
sur une chatte causé par un 38 spéciale
on a fondé nos édifices sur de monstrueux volcans
j’ai depuis longtemps choisi mon camp
fils t’as trop de vises , ta compagnie n’en vaut pas le coup donc je fous le camp
on fait du son comme d’autres ne font que du boucan
désolé d’être si offusquant, j’aspire à quelque chose de bien plus grand
des rêveries qui s’impose [ ? ] trop gourmand ,non ,ma princesse à moi m’dis jamais non
j’n’aurais jamais d’enfant c’est pas pour ça qu j’vais m’envoyer une bastos dans l’palpitant
et moi j’suis sure de moi depuis le coup d’envoi
car en moi je sent quelque chose de cent fois meilleur que moi
tu comprends pas j m en bat t’avais pas
trop traîner en bas j’bosse comme dix ,sans écouter s’qu’on me dit
j’ai délaissé les fausses combines ,lady, comme dit joubinn ce soir c’est en enfer qu’on dîne
si tu parles mal de nous , nous nous c’est ta putain de mère qu’on pine et j suis vulgaire comme le destin comme le coup de pioche qu’t’on ennemi t’ foutrait volontiers dans l intestin
souvent tout n’ai qu’histoire d’instinct
en un instant un destin [ ? ]tu rates une femme cousin , pour un choix trop mesquin
j’ai choisi l’horizon serin ,des chemins de la pensée comme augustin
un peu comme une intuition partout ou je vais l’impression d’être un clandestin
incandescente destinée ,seul du début à la fin ,j’ai jamais souri à ma fin

[ refrain – joubinn ] x 2
on a des rimes des putains de rimes qui puent la street
des rimes qui sentent le s-xe mais cent pour cent écrasent le beat
commence pas l’sh-t si tu crois qu on s’en l-sse vite
si tes couilles te servent qu’à prendre la fuite évite la street
et oui ma p’t-te ici les putains règles sont strictes
[ ? ] peut – être qu’il baisse régulièrement son slip
et j’crois qu’l’histoire est encore pire quand ,quand on s’pique
chacun son trip ,nous c’est le peu-ra depuis bientôt onze piges

- rochdi lyrics

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