walls vs. marco - roar (battle rap) lyrics
[round 1 : marco]
merci à mon ami rik*t, tu as torché bat et il s’est assombri
bravo bat, tu as réussi l’imitation d’nem : on a effectivement rien compris
chaque putain d’pierre à ton édifice, c’est des cailloux, pas d’minerai rare
tu joues les fous, j’explique l’écart : tes battles mous, ça m’distrait pas et, sans maadou, t’existerais pas
chut, commence à m’parler poliment avant qu’j’me fâche
ce serait pas toi, l’enculé d’imposteur ? moi, j’ai fini toutes mes tâches
à moins peut*être qu’il m’en reste une
expliquer pourquoi ta présence compte pour des prunes
mettre walls en avant n’est qu’un projet de porc
ton drapeau, c’est un arc*en*ciel ; le mien, c’est une grosse tête de mort
y’a t*il vraiment quelqu’un qui trouve prometteur walls ?
rien qu’un gentil qui joue les méchants, comme le professeur rogue
j’ai checké ton ancienne draft d’un niveau à peu près dégueulasse
j’me rappelle juste qu’au premier rang, y’a olive brune en jeans taille basse
et, depuis, certains disent que tu ressembles à cheef
moi, j’milite pour la peine de mort pour ceux qui disent que tu ressembles à cheef
j’pensais pas qu’on pouvait être aveugle genre aussi bien
ceux qu’ont dit ça : payez*vous des oreilles ou un rendez*vous chez l’opticien
si t’étais pas aussi heureux qu’on parle de toi, j’serais p’t*être indulgeant
parce que, pour toi, c’est flatteur mais, pour cheef, c’est presque insultant
tu as plutôt une gueule à t’ambiancer sur l.e.j
tu ressembles à cheef, c’est vrai ; d’ailleurs, moi, j’ai un p’tit air de kery james
mais t’as un master en psycho’ mention bien
tu vas pas insulter ma femme ou m’traiter d’fils de chien
tu vas faire quoi ? m’*n*lyser, sonder mon âme ? je suis roux, je n’risque rien
docteur alexandre d’amico
va te pendre sale nigaud, dardargnan, aspicot
t’es plus fragile qu’une élitiste de tinder ou une féministe de twitter, et c’est l’défaut d’cet homme
alexandre, regarde*toi, parce que, ça s’voit, t’as peur de la testostérone, vieux naze
tu refuses d’évoluer tel un pokémon de base avec une pierre stase
car, là, t’es plus puéril que joli, t’es moins viril que nollie
t’as la carrure de bigflo et la grosse tête de oli
tu mets un marcel à walls : ça y est, c’est dobby
et je sais qu’c’est dans tes habitudes
mais tu pourras pas miser sur les phases racistes lors de cette superbe joute
t’as traité sedj de voleur, il a fait un pas vers toi, t’as fait prout
paraître raciste pour faire crier l’public ? on l’sait tous, tu mentais
c’était l’erreur du babtou ou bien la faute de français
ta présence est une insulte, on va vite l’voir, quelle zoulette
je laisserai le vaincu raconter l’histoire, c’est tout bête
t’aurais voulu t’imposer ici, c’soir, c’est too late
l’imposteur s’fait éjecter, c’est une victoire des crewmates ; time
[round 1 : walls]
milo creed, pourquoi t’as un style aussi horrible ?
j’balance des kilos d’rimes hostiles, espèce de minot hypocrite
“wow, wow, wow, wow, wow, c’est marco, gros”
bah, c’est pareil non ? ils écrivent ensemble
marco donc ? j’ai jamais compris ceux qui trouvent ce marmot trop chaud
t’as fait toute une expédition pour que j’t’enfile : marco polo
va dire à milo qu’c’est moi le vrai chat noir du battle rap
car si, sur youtube, toutes mes vidéos sortaient
si l’son de celles en ligne n’était pas pété
tout l’monde saurait qu’pour moi t’es qu’un sac de frappe
donc j’vais les surprendre comme si j’marquais par madjer ; j’t’apprends à rapper, sale tapette
t’as rien à faire là comme un athée à la mecque, comme un sachet à la mer
t’iras jamais bien loin comme un raté qu’a la flemme
comme un camé qu’a pas d’rêve ; j’vais t’arracher ta sale tête
t’es discriminé ? moi, j’suis “rouxciste” donc, te frapper, ça m’apaise
nico k puis toi, j’enchaîne les roux comme si j’partais à la neige
car nico k puis toi, c’est un terrain glissant
j’suis en roue libre et te percute car j’ai les freins qui flanchent
quand j’te bute, j’le fais avec la manière
dès qu’c’est ton tour, les mecs zappent, t’es comme une athlète qu’a pas d’fesses
j’ramène ta tête à la terre, t’as déjà l’air grabataire
le peu qu’on t’voit, c’est déjà trop, t’es comme une averse à m*rs*ille
ce putain d’jeu, c’est mon terrain, j’me sens comme arès à la guerre
toi, tu fais sourire mais tu tiens pas la route, t’es plutôt comme la neige à m*rs*ille
tout nous oppose : t’es surcoté, j’suis sous*coté
j’fais ça pour la culture, tu voudrais être couronné
tu fais tout pour qu’on t’remarque ; moi, j’reste simple mais kiffant
t’es un breton, un parisien ; moi, j’suis intelligent
la seule solution pour toi, c’est l’don d’organe
marc, t’es l’seul breton avec un prénom normal
vous êtes des alcooliques, c’est réaliste comme avouer à une femme que tout homme ment
c’est l’comble pour un breton de boire comme un trou normand
puis la phrase que t’as l’plus entendu étant p’tit ? “rajoute du beurre”
la phrase que t’entends l’plus quand t’es au lit ? “rajoute du beurre”
puis vous êtes trop chauvins, pire qu’à m*rs*ille
pour marco, tout vient d’bretagne : le boulgour, les fajitas
le couscous, les pâtes chinoises
c’est dans l’nom, même hakim le fils du forgeron, breton ?
vous êtes des tarés et j’m’en branle si, là, j’m’emporte
l’herbe est p’t*être plus verte en normandie mais, la vôtre, elle est vachement forte ; time
[round 2 : marco]
(tu t’arrangeras avec les normands après, ça, c’est pas mon problème)
quand les fans parlent de toi, ça t’donne des *rg*smes épiques
quand un mc pr*nonce ton blaze, ta prostate frétille
tu alimentes ta vantardise avec des discours prép*b*̀res
j’t’enverrais bien t’faire voir mais, qu’on t’regarde, c’est ton désir le plus cher
ne nous confonds pas, moi, j’aime la bouffe : dans mes rêves, y’a des lentilles, d’la saucisse
toi, t’aimes la foule : dans tes rêves, y’a des gens qui t’applaudissent
tes textes pseudo*techniques me font l’effet d’un laxatif
j’te rends confus comme onde folie ou le gamin qui fait ça pendant arnô/lamanif
mais, excuse*moi, la folie, toi, ça t’connaît : tu soignes les dingues qui font des balades dans l’capitole
les cas graves dans la picole, les malades en camisole ?
t’as le qi d’einstein, des vraies qualités d’pédagogue ?
eh non, bolosse, t’es juste un apprenti psychologue
pourquoi tu t’fatigues à écrire des tas d’poignants jeux d’mots ?
ta meilleure punchline, c’est : “merci madame, ça fera soixante euros”
soixante euros l’heure, putain, ça m’ferait stresser
à la place de tes patients, j’serais pas pressé
car, même si ta potion a l’air bonne, il faut pas faire de cul sec
eh ouais, tes mots ne soignent personne, c’est pas les larmes de fumseck
tes grigris, c’est l’or du pauvre, mais t’as rien qui sort du lot
tes p’tites techniques misérables ont sûrement inspiré victor hugo
ta capacité à t’croire utile est vraiment anormale
ça fait trois ans qu’j’ai plus d’père, enculé, à qui tu veux faire la morale ?
walls, je voudrais qu’tu m’écoutes, parce que t’as quand même dit qu’tu voulais faire plus de rap quand t’auras fini tes études
moi, j’espère vraiment qu’tu vas trouver un taf à la fin d’tes études
si j’crame le mur, les carences fondent
t’intéresses vraiment pas grand monde
comme ce gars face à nekfeu, c’est logik konstantine
toi, y’a pas un battle où tu mets l’feu, c’est logique qu’on s’en fiche
mais dieu soit loué, tu sais écrire, ça m’éblouit, j’en ai l’cœur gros
alors vas*y, fais*moi des barz, des patterns, des jeux d’mots
j’ai même cru qu’t’étais un aigle tellement, ta plume, elle est immense
s’te plaît, “le mur”, déconstruis*moi, toi dont le contenu est si dense
arrose*nous tous avec ton intelligence supposée
toi, le tout petit clasheur se croyant sous*coté
tu veux conduire ta carrière ? alors c’est parti, en route
mais n’oublie pas que, le pire, c’est qu’tu t’imagines sans doute
que t’es là pour ton talent, toi qui n’es rien qu’un vantard
qui pense que tout le monde l’attend mais, gros, t’es pas un train en r*t*rd
alors vas*y, grimpe les échelons, “le mur”, c’est bien
t’en es à quoi ? trois/quatre mille vues ? revenus certains
tu t’es lancé dans l’battle pour arrêter d’être personne mais c’est pas ça, l’pire, j’veux juste faire l’lien
le pire, c’est qu’tu penses que t’es devenu quelqu’un
[round 2 : walls]
contre parano, t’as dit qu’boire était une qualité, j’voudrais pas te faire de pub trop gênante
mais t’es alcoolo, marco, t’es coach sportif et alcoolo, tu donnes l’exemple
quand j’sors du sport : verre d’eau, viande blanche et j’file au lit
quand tu sors du sport : pelforth et c’gland mange des kilos d’chips
là, des clients, t’en as plus trop, bon, c’est pas une grande déduction
c’qu’il vous dit pas, c’est qu’il est puceau, mais aussi coach en séduction
j’te charrie, en réalité, j’te félicite, le temps passe si vite
t’as une relation qui commence à durer d’puis dix piges ; le mois dernier, ta meuf, elle en a fêté dix*huit
mais depuis qu’elle est majeure, ta meuf ? j’suis le genre de mec fort qu’elle aime aussi
ça te laisse un goût amer comme kalamansi
quand j’la prends, elle s’dit : “mon god, quel amant, c’type”
c’est toi l’coach mais c’est grâce à mon sport qu’elle a minci
j’lui ai fait vibrer ses sens dessus, elle était sans dessous
j’la fais rêver même quand j’suis sans le sou
j’te sens déçu et, là, elle sent le foutre
car y a plus de dembelé en elle que tous les centres de foot
elle est peu ravissante mais, rien qu’pour ses gros bzez, je te mets l’plomb plein cœur
c’est une gun bar vivante, elle a les yeux révolver et les tétons flingueurs
j’suis assez blagueur, j’lui mets mon bout dans l’train, tchou tchou
j’suis l’seul qu’elle laisse finir dans ses cheveux, j’suis son chouchou
quoi, tu vas m’dire que, l’angle de la meuf, c’est wack ?
déjà, j’t’invite à réviser la culture battle rap
mais tu sais c’qui est wack ? quand, sur scène, tu rigoles seul à tes propres blagues connes
mais, vu qu’c’est des blagues google, dans l’fond, tu ris aux blagues des autres donc j’te pardonne
mais tu sais c’qui est wack ? “tu s’ras mon sac à foutre comme ta p’tite sœur” dans ton double contre sartre et valyz
alors qu’vous aviez dit : “pas les familles”
puis, dans l’interview d’p*h : que des grosses barres, ce p’tit con parle, il critique ceux qui lâchent des angles interdits
t’as dit qu’tu peux compter sur une main les connards qui font ça, t’as oublié d’dire que t’en fais partie
c’est quoi ? être un trou du cul, c’est ton nindô ?
sur ce round, rien qu’j’t’ai fessé, vous allez dire : “walls, rien qu’t’es méchant”
mais tu t’es fait pote avec wojtek pour monter, ça montre que t’es quelqu’un d’intéressé à défaut d’être intéressant
pour monter, t’as tenté d’pomper, et sache que j’ai d’autres exemples
tu ferais tellement tout pour monter, tu seras jamais un homme décent ; time
[round 3 : marco]
j’ai beau être breton : pour mardi gras, pour toi, y’aura pas d’crêpe
c’est donc ça la gueule des mecs qui pensent que c’est vrai avec la guêpe ? (tu parlais d’ça)
alors comme ça, tu préfères être un vrai gentil qu’un faux méchant mais, alexandre, regarde*toi
même si tu l’voulais, tu paraîtrais jamais méchant, t’as pas vraiment eu l’choix
t’es cond*mné à être c’que t’es, un gars sans style, et c’est tant mieux
j’confonds ma meuf et mon plan cul ; toi : gentil et prétentieux
mais j’suis ravi d’affronter un tocard puriste, archétype basique du connard sudiste
c’est quand même bizarre d’s’appeler “le mur” quand t’es galbé comme un flûtiste
arène 8 : parlons d’ton sweat super mario
ton sweat super mario, t’as vu l’vendeur, t’as dit : “bonjour monsieur, le s, c’est trop grand et ça n’me va pas”
il t’a dit : “salut mon grand, le rayon enfant, c’est par là*bas”
toi qui flottes dans ton sweat mario : ça, c’est l’horreur
tu vas t’faire voler ta meuf par un roux : ça, c’est bowser
j’ai pris son string et puis ton corps, et j’me suis fait une arbalète
tes avant*bras dans un carquois pour recharger mon arc avec
alessandro d’amico, descendant de materazzi : sans blague, je ricane, j’m’en tape du rital
mais essaie d’insulter ma sœur, j’te réapprendrai le langage de zidane
tu veux tester mon honneur, j’vais te baffer, sale rat
t’iras pleurer chez ta meuf, oh bah, ça, quel hasard
j’viens pour gaver c’bâtard
puis j’découpe de la viande maigre, ça fait du magret d’canard
ça s’appelle “être authentique”, monsieur, alors est*ce que c’est dur ?
tu m’as pris pour un fantôme ? c’est vrai, parce que j’traverse les murs
et, si j’prends du recul, ne crois pas que je fuis
je surveille juste le mur comme la garde de nuit
je compte te boire calmement comme un délicieux jurançon
et j’vais t’tirer les oreilles puisque, apparemment, les murs en ont
t’entends pas la vérité comme cet alcoolo qu’a trop bu
car, oui, les murs ont des oreilles mais elles sont loin d’être absolues
dans c’game, ta vanité, ton arrogance te serviront de sépulture
c’qui t’énerve, c’est qu’malgré tes efforts, personne ne s’trouve au pied du mur
en revanche, toi, dans c’game, t’es qu’au pied d’la montagne
ton admiration pour cheef fait qu’t’aimes un peu trop l’allemagne
walls devient raciste telle une sale pub de guerlain
roar, c’est 89, la chute du mur de berlin
arrête, arrête, arrête le battle rap, reste en psycho’, ta place est dans un zoo ou coincé face aux types de l’asile d’arkham
tu vaux pas plus que tous les mecs qu’ont percé grâce aux face cam’
quand tu rappes, j’ai envie d’brûler des bébés chatons
les femmes que tu charmes sont riches en lardons
tu n’es rien de plus qu’un suceur chétif
va faire de la trottinette sur le périph’
j’veux qu’un lombric énorme tombe dans ton assiette de nouilles
j’veux qu’tu marches dans ta salle de bain et qu’tes chaussettes se mouillent
t’es vraiment tout sauf un garçon bien
ton patronus, c’est un ragondin
la réussite te fait parler à tort, c’est une fiesta à laquelle personne t’invite
le ridicule ne tue pas, d’accord mais, dans ton cas, ce serait bien qu’il insiste
[round 3 : walls]
dans ta grosse tête, mes gros mots sonnent ; ton p’tit truc en plus, c’est un chromosome
j’ai pas envie d’prendre partie mais, au rayon virilité, j’pense pas qu’maadou voudrait ranger krome aux hommes
j’sais pourquoi tu bois, marco
tu n’as pas confiance en toi car tu sais qu’t’es qu’un imposteur, ça donne des excuses à chaque choke
moi, j’me plains des vidéos, parfois ça m’coupe l’envie mais, bon, j’me force
toi, tu t’plains des chokes car tu bois mais, ça, c’est de ton ressort
dans l’fond, tu fais preuve de bon sens, mon gus
tu bois car t’as pas confiance en toi : t’as raison, moi, j’te fais pas confiance non plus
et puis t’as voulu t’faire rassurer avec tes potes, donc t’as parlé, mon con
de là à faire les pr*no’ d’un event dans lequel y’a marqué ton nom
gros, respecte les autres mcs, respecte*toi
tu parles trop sur discord donc j’te distord vite
j’te disloque et j’te diss, faut dire
qu’en dix strophes, j’provoque dystrophies
j’te vois comme un gamin : dès qu’on te dit “stop”, tout devient une dystopie
“walls est ennuyeux, on s’identifie pas à walls, c’est nul“
sur vidéo et sur mon dos, vous avez cassé l’sucre
moi, j’suis resté silencieux pour mieux venir te casser l’cul
qu’est*ce que tu vas m’apprendre, gros ? tu rigoles ?
qu’est*ce tu vas m’apprendre ?
au début, tu pompais wojtek, maintenant lamanif, fais pas d’bluff, c’est pas beau
vous voulez savoir ce qui est à la mode ? regardez les battles de marco
parce que tu suis la mode et fais d’la merde sans réfléchir, mec, t’es comme shy’m
vivement pour toi qu’ce soit la mode de simplement faire des bonnes lines (eh oui, gros)
et puis tu parles d’among us ? on l’a vu sur among us
en fait, t’es juste un beau parleur
tu ferais croire à une sainte que t’es un ange, tu ferais croire à un chêne que t’es un gland : oui, ça, on y croit
t’es un beau parleur et tu forces, mérites des empreintes de phalanges, j’casse tes techniques claquées
tu fais croire aux gens que t’es d’gauche, t’as un exemplaire de mein kampf dédicacé
par wojtek ?
sale breton d’merde
les bretons s’nourrissent exclusivement de kouign*amann
moi, j’retourne vivre dans les antilles me nourrir des counia manmaw
pas la tienne, j’respecte, pourquoi insulter ta famille ? t’es qu’un enfant, on t’connaît
c’qui pourrait vraiment t’blesser, ce serait quoi ? que j’vole ton nez ?
(non, j’te l’rends parce que t’es pas très beau)
bats les c’, j’pars loin de cette abomination visuelle
outre*mer où y a rien qu’des avions
donc, si j’zouke vos mères, c’est pas d’l’appropriation culturelle
c’est juste une question d’intégration
bon, j’en ai fini, c’est mon dernier battle avant un moment, donc j’tiens à remercier tous les gens qui m’ont soutenu depuis l’début
j’tiens à remercier maadou qui m’a offert une place au rc sud, comme il l’a dit
et puis, écoutez, j’tiens aussi à m’excuser auprès d’das raizer parce que, notre battle, il a été annulé plusieurs fois
et puis, pour finir sur une bonne note…
(qu’est*ce qu’il y a ? pourquoi tu souffles, gros ? reste fairplay, t’es un taré)
et donc, du coup, j’voulais dire : j’fais un peu tirer, mes excuses
artik avait ramené le rap au rc, ça faisait bien longtemps qu’il était au rc sud ; time
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