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maadou vs. aparzite - roar (battle rap) lyrics

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[round 1 : aparzite]
j’vois qu’maadou est à sa place, maadou est un gangseuleu
tu t’la joues bad ass mais, si tu bouges en alsace, tu vas foutre ton schpatz dans des spaetzles
toi, un gangseuleu ? les gangsters me disent : “next*le”, mec, c’est l’heure
passe*passe, j’accélère ; dans l’excès, j’excelle, j’suis excellent, j’suis le excelleur
ta meuf t’aime mais elle te baise le cœur
j’crie : “bouh” dans sa chatte, j’lui fais un test de peur
au roar, c’est “maadou, gangseuleur”
à la maison, c’est : “va faire les courses, on est en hess de beurre”
cesse de faire le tueur, j’ai des éclairs de génie, je foudroie
j’ai le zizi fou d’vant sa fouf, j’ai le fou droit
elle m’dit : “t’es un fou, toi”, ouais, j’suis pas normal, niño
trop technique quand j’la ken’, cette fois*ci, j’crache dans sa schnek, elle m’appelle “molardinho”
que elle m’donne des surnoms, elle m’dit : “fais*moi des folies, jeune tueur”
au top quand j’la saute, elle m’dit qu’j’suis beau gosse, j’suis le joli jumper
toi, elle t’appelle “le youtubeur” aka “maadou live” aka “j’fais des *n*lyses, j’suis trop steak”
comme dugarry, tu diras qu’t’étais aussi technique que wojtek
à c’qu’il p’, là*d’dans, t’es doué mais est*ce que, plus tard, ça passera ?
moi, j’ai pas tout r’gardé, rien à s’couer comme un castrat
mais tu fais même des vidéos d’cuisine maint’nant, j’ai envie d’te dire basta
t’aurais eu un frère trisomique, tu lui aurais créé un compte insta’
la place de maadou, c’est la cuisine, mais pas d’jugement si tu trouves le kif grave bon
tes battles, c’est vingt minutes de private joke [?]
j’sais qu’tu vas pas vraiment m’attaquer mais j’ai cerné l’vice, garçon
t’as moins peur de perdre un clash que sa monétisation
[round 1 : maadou]
aujourd’hui, ça va aller vite, selon les puristes, j’bute
j’ai une grosse bite, on m’appelle “jolly jumper” mais, toi, tu viens plus vite que ton ombre, ta meuf t’appelle “lucky luke”
roar première édition : le thème, c’est disons
qu’on est àl’ car, l’art, nous maîtrisons
on va s’refaire le dicton, tu viens au roar
c’est pour voir barre sur barre comme une f’nêtre de prison
pas d’quoi s’en faire, mon frère, on fait des ronds
vous séparez, nous fédérons, j’veux pas voir de rébellion
j’suis v’nu très à l’envers : traduction
j’suis sur mon trente*et*un comme toulousain au réveillon
le battle rap, c’est clasher l’autre, j’fais ça d’puis grave gamin
clasher l’autre, c’est s’aimer soi*même et, ça, ça m’va bien
my man, faut qu’tu comprennes : tellement j’m’aime
quand j’me promène, j’me tiens moi*même par la main
toi, tu t’en sors pas, t’as l’air wack
moi, quand j’me r’garde, j’me dis : “c’gosse*là va faire mal”
quand j’bande, j’l’ai tellement grande
que j’marche jambes tendues comme un soldat d’la wehrmacht
j’cartonne car, dès midi, j’charbonne
j’ai l’aura, t’as la tête dans la marre tôt comme nicky larson
t’es pas d’bon ton, t’es horrible ; sur mon tonton, j’dégobille
tes chants séduisent les enfants, c’est des bonbons d’pédophile
on t’l’a avoué à ton adolescence, t’es arrivé par le fruit d’un hasard, plein d’complaisance
ta mère a bien pris la pilule du lendemain, malheureus*m*nt c’était le lendemain d’ta naissance
gars, j’ai trop d’problèmes, j’en ai marre de m’étendre
un peu comme nolwenn, trop courte est la détente
b*tch, place aux brutes, j’pointe aux putes et tire droit au but
pas comme l’om mais la marque de pétanque
ici, pas d’titre, pas d’juge, mieux : pas d’curieux ni d’purge élastique
tu veux contrer le contrepied, tu peux t’péter la cheville ; j’suis l’homme en noir au cœur du jeu comme si j’étais l’arbitre
bâtard, au fait, tous ceux qui pensent pouvoir plumer l’coq lâchent la moquette ; dès qu’j’entends “pull”, ayé, j’crache la roquette
à la base, cours, j’suis v’nu t’fumer, j’ai couvé un neuf entre mes couilles comme sanka d’rasta rockett
j’ai un corps d’homme parfait genre masse d’hormones ; j’gueule fort car, quand j’ordonne, ça m’plaît
depuis l’départ, j’suis l’chef, tu bouffes c’que j’te prépare comme si j’étais gordon ramsay
j’me rappelle, quand j’étais gosse, j’kiffais les bas*fonds
j’ai pris, j’ai mis des bosses, couché des darons
j’écoute plus les reproches, j’vais pas d’mander pardon
si j’peux pas être le boss, je s’rai leur patron
ils font des ratures, j’suis fédérateur
j’suis pas dans l’rockstar game d’ces pédés d’rappeurs
j’les nique, trop belliqueux, j’sors d’la marre
les liberticides veulent une trêve, or, j’étais ailleurs
toi, tu n’es qu’un amas de peurs, pas d’salade ou d’charade ni d’blague de sœur
t’es malade, gars, j’t’arrache le cœur ; chaque fois qu’un parasite vit, ma race se meurt ; gangseuleu
[round 2 : aparzite]
maadou, c’est un mec bien
mais c’est pas un mec bien vite fait, c’est un mec bien dégueulasse
un enculé d’sa race
tellement un enculé d’ta race que t’as poussé maras
moi, si tu m’pousses, j’vais m’enculer contre une plainte, j’vais perdre dix neurones
mais j’m’en bats les couilles : si j’porte plainte, j’ai dix mille euros
eh ouais, maadou, j’suis une petite pute
j’vais m’mettre à distance, j’vais t’jeter des trucs
j’dis ça parce qu’un jour j’ai jeté ma bouteille et j’me suis fait juger par des pnj
tu pousses un chauve sans pression, personne t’a rien dit, j’sais plus quoi faire pour qu’vous compreniez qu’j’suis incompris
en tout cas, j’ai hâte de voir la vidéo de c’clash
ainsi qu’celle où tu diras qu’t’as gagné l’match
mais, pour la première, y’a un truc qui s’rait pas mal
c’est qu’j’me fasse pas trop couper la parole par clash royale
sans déc’, t’es dev’nu une pute à clics
quand tu r’tournes au quartier, y’a plus ta clique
juste ils t’niquent, tu t’fais uer*t’, ouais, t’es là, tu piailles comme une mouette, ouais
ma [?] sur ta [?], t’était muet [?]
tu t’la pètes mais, ouais, tu sais faire la monnaie
un jour, tu vas offrir des porteclés à tes abonnés
un jour, tu vas t’mettre un rythme de ouf et tu vas tout donner
un jour, tu vas péter et y’a l’sperme de cheef qui va couler
après, j’dis ça pour toi, va pas m’envoyer un middle kick
après, si tu veux, on s’pose, on s’roule un middle kick
ou comme tu veux, on peut aussi s’rouler un kick raisonnable
j’ai p’t*être la dégaine d’une feuille slim mais ta gueule est plus cheum’ que mon premier collage
t’as du potentiel mais c’est dommage, j’sais qu’vous vous êtes mis à quatre pour me prendre
j’efface vos gueules ; edward snowden, j’sais d’où vient ta bande
trois ans qu’tu rêves que lamanif te fiste la fente
tu vas t’mettre bien, tout vient à point à qui sait attendre
tous les deux, vous êtes trop tendres, c’est d’l’amour ou quoi ? y’a un truc, j’sais pas, j’le vois dans toutes tes stories insta’
c’est l’seul qu’a les couilles de sodomiser un homme, t’es l’seul qu’a les couilles de l’inviter chez toi
y’a pas qu’karting et f1, j’suis en y, t’es en bus ; j’expose pas mon niveau trop [?], t’es trop bof
j’sais qu’ton père est africain et qu’ta mère est russe : “sénégalo ruskov molotov”
j’ai aussi vu ton freestyle torse nu : sénégalo ruskov trop beau gosse
mais, quand tu rappes, t’es perdu et t’es pas dans les temps : sénégalo ruskov chronopost
j’te gave de phases, avoue, t’es fraca’
cette fois*ci, la ‘teille part pas, “moi, hamdoullah, ça va”
[round 2 : maadou]
on a créé l’roar pour que perdure autre chose
régler l’flux face aux trucs que les men opposent
j’leur rougis l’cul puis les r’froidis, ils ont perdu l’eau chaude
j’ai mis un terme au mec, appelez*le “mercurochrome”
comme ta b*tch, j’suis v’nu monter la barre
ils parlent de moi comme si j’étais avare
qu’ils s’en foutent ou pas, le terrain peut pas mentir
j’prouve tout au ralenti comme si j’étais la var
j’te casse les reins, j’ai recette simili*parfaite
j’prends du poids sur le terrain : dimitri payet
cette mauviette met mes nerfs à vif
toi et moi, c’est pas l’même calibre, tu f’rais des chaussettes d’mes préservatifs
t’as pas d’charme, t’es pas beau, on m’fait des cadeaux, t’as pas ça
j’me fais des week*ends thalasso, toi des week*ends thalassa
blagues à part, ‘zite, tu prends ta part vite
t’es pas à part, t’es à moi, je m’accapare ‘zite
j’suis dans l’futur, j’ai un coup d’avance
j’ai fourré ta b*tch avant toi, mec, j’ai un coup d’avance
j’ai la nuque la plus longue, j’ai un cou d’avance
j’pourrais te fendre le crane en deux, suffit qu’mon coude avance
j’ai été béni tôt comme mussolini ; j’brise l’acteur, dis qu’t’as peur
j’ai un pénis tactile, c’est un d*ck tâteur
j’aime pas ta laideur, à t’voir, ça m’fait peur
pourtant, j’ai la bite festive, j’suis un malfaiteur
j’fume tellement d’verte qu’il m’appelle “maître yoda”
t’es maigre, on devrait t’faire des perf’ de coca
d’un végan, t’as la shape, tu d’vrais faire du yoga
mec, t’es tellement sec, j’suis sûr, tu spermes du lait de soja
j’te tacle et, là, y’a pas d’var possible
lâche la farine et l’lit, halte aux bars, il
tombe sur le ténor, j’suis comme pavarotti
j’donne tout sur l’terrain puis, quand j’sors, c’est comme pavard : rôti
parano qui joue à pablo, les mafiosi ricanent
beaucoup ont pas l’air de m’kiffer, mais c’est possible, j’divague
certains n’applaudissent pas, puis ça m’gêne car ton flow rance est minable
j’ai mille ans, j’suis sur une étoile ; ma cause : un autre astre
t’es dans un grand guet*apens, oh merde, t’as six balles
j’t’encule cher, sodomie fiscale, baciami la mano, b*st*rdo, j’engage ton pr*nostic rital
“aparzite, le cartel” ? j’te pousse dans les barbelés
t’as du duvet sur la bouille, c’est une barbe de lait
f*ck le cartel, toi, t’es le porte*jarretelles
si j’tire sur un membre du cartel, j’vais l’écarteler
là, j’m’incruste, j’schlasse l’intrus, j’ai v’là l’influ’
soit j’gagne, soit j’fais un larcin d’plus
ta putain, c’est la catin d’yutz
trouve*la sous la barre, entre mes deux poteaux comme un gardien d’but
arrête de croire que les autres prennent ton tour
prends*toi au sérieux, putain, rien qu’tu fais l’ffon*bou’
chez toi, y’a plus qu’ta mère qui est d’bon goût
t’es dead, y’a qu’au cimetière qu’tu peux faire ton trou ; gangseuleu

[round 3 : aparzite]
j’pr*noncerai pas l’n*word, tu vas vouloir me taper et m’faire mal
par contre, wojtek te l’a dit et, quand il a insulté ta cousine, t’as twerké comme si c’était légal
t’aimes pas qu’on t’dise que t’es noir et qu’on t’dise que t’es musclé
là, pour la couleur de peau, j’peux comprendre que tu sois usé
mais, à un moment donné, pour les muscles, tu sais, va t’faire sucer
t’en as marre qu’on t’dise que t’es musclé ? arrête de t’muscler
ouais, arrête la muscu’ même si, là*d’dans, tu t’éclates
des punks à chien vivent dans ton cul tellement qu’tu fais des squats
réveille*oi*t’, que tu pousses et exhibes ton boule dans un p’tit legging
t’écoutes du pop smoke et tu contractes devant la glace : “billie jean, billie jean”
d’la corne sur les mimines, tu t’es d’jà blessé en poussant, t’étais pas trop sûr
t’as dû soulever avec ta bite et, aujourd’hui, y’a des abdos d’ssus
va y avoir du sport mais, moi, j’reste tranquille
j’déboule avec mes p’tits os, j’ai pas des points communs
tu t’dis : “c’est quoi, c’bougre ? ceci n’est point commun”
j’t’écarte le boule, j’te rentre deux poings comme un (elle dira pas “négro”, négro)
mais y’a des choses que tu n’peux pas nier, t’es trop énervé
quand tu déboules à la caf, la meuf te sort : “j’vous préviens, monsieur, vous n’avez pas l’droit d’crier”
j’ai parlé d’la caf alors qu’c’est v’là l’cliché, trop d’impôts gaspillés
tu m’fous l’seum comme une game de sept heures avec deux feuilles et qu’j’ai pas d’briquet
fais pas l’niqué, tu déboules en mode : “it’s tupac back”
t’as qu’deux potes pakistanais, ça fait two pak*paks
y’en a un des deux, il parle anglais, il s’appelle pak
quand il va à l’épicerie, tu lui fais : “prends*moi two packs, pak”
j’rappe trop vite et les soupapes claquent
on peut pas tout t’dire comme si tu t’appelais moubarak
t’es costaud mais t’es deux d’tension, t’es un mou baraque
au bled, t’es dans l’action, t’as commencé des bouts d’baraque
(passez*moi une bouteille d’eau…)
certains font des bars, certains font des blagues : moi, j’fais du aparzite
counia manmanw, j’suis toujours pas raciste

[round 3 : maadou]
(merci à next level pour tout c’qui nous ont apporté
tous les gens qui r’gardent, merci à vous tous)
un jour, j’ai vu ce type monter sur scène en jupe
t’en prendras plein la gueule, ici, personne n’est juste
tous les pieds sur terre, ici, personne n’est buste
nan, pile pas ça ici, poupée, personne n’est russe
zut, ça d’vient personnel et plus
j’veux qu’personne n’exulte et que personne ne t’excuse
ici, personne n’est dupe, personne ne met d’jupe
t’es pas cond*mné à t’prostituer, personne ne naît pute
juste, n’y pense pas, lance*toi, personne n’m’arrêtera
j’te baffe des deux bras, j’danse “la macarenca”
t’es le chien du safari ; moi, j’viens du binks à paris
j’suis pas prince qatari mais j’suis l’prince qui a ta vie
la princesse finira bien salie
ouvre ton baba, toutes ces âmes que le prince allie
le prince a dit : “l’angle est que j’m’échappe en roue
mes gars n’suivent que quand le prince a ri”
fiotte sans b*tch, homme*sandwich
pas d’ami dans les tranchées, t’es le pain harry’s
tu pousses le prince à rire
à la maison, tu j*ppes, on mène ta graine à la baguette, t’es la pince à riz
restant d’inceste, pourquoi, princesse ? t’es d’jà pas beau
tu veux faire pire ? lâche un seize de collabo’
on aurait dit une pute sous crack, une salope sur le rocher
la princesse de monaco
j’veux t’voir imprégné, qu’tu sois bien peigné
t’es ma princesse, ce soir, tu m’f’ras plein d’bébés
j’vais quand même te forcer même si j’viens d’payer
c’est la monnaie, gars, ce qui fait qu’tu vois le prince régner
ici, j’suis un pilier mais ce pont m’va pas
chez lui, le pire y est, mec, honte à toi
pas d’pitié comme dans tout bon karma
tu finis plié, j’suis le piller sous le pont d’l’alma
j’suis un prince, bombez l’cœur
nous déboulons en groupe, faut qu’je rince mon secteur
loin des pinces, on met l’cœur
f*ck les doublons, moi, j’découpe à coups d’boule, on m’appelle “prince monseigneur”
j’te fais les poux sans t’toucher la tête
j’en ai marre, riez du prince mais, une princesse, c’est pas cher
comme toute beauté, tu t’achètes
j’ai d’mandé ta main à ton père, pour pas qu’tu la récupères, j’me suis doté d’une machette
dans c’game, j’ai l’trône, il n’y a pas d’mystère
des robb stark aux sansa, tu passes pas l’hiver
j’suis un ‘djo frais, j’t’ai mis la misère
“l’enfant roi” a perdu la main, s/o jaime lannister ; gangseuleu

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