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rentre dans le cercle - saison 2 : episode 1 - rentre dans le cercle lyrics

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[couplet 1 : landy]
pas d’cinéma, on parle pas trop
fiable, comme les roues du audi quatro
tu m’cherches au quartier, j’suis pas là
j’charbonne sur t-max akrapo’
du foyer à fleury-mérogis, j’ai fsouffert pour en arriver jusque-là
j’arrive du côté p-ssager, mais la victime demande “c’est qui c’ui-là ?”
pour que ma fille puisse dormir en paix, j’suis venu faire la guérilla
j’suis déter’ comme renato, j’ai la moustache, le maquillage
tellement cramé, comme les porcs, j’peux pas m’fonder dans l’anonymat
mais tout c’que je sais, c’est qu’devant le glock, ils restent tous sages, comme des images
eh, y a que ceux qui commettent qui connaissent
les commères, qu’ils aillent tous niquer leur mère
hier, elles faisaient tous les meufs, aujourd’hui, elles s’mettent tous en missionnaire
j’m’arrête plus, les freins relachés
j’sors du dépôt sans mes lacets
le baveu a fait qu’t’as follow, khal-ssé
il reste encore le bénef’ de la c
ils m’parlent tous des billets, des billets
vont jamais compter 100 000 euros
tu dis à tout l’monde qu’j’suis écroué
est-ce que tu connais mon numéro ?
elle fait que donner son cul, elle se met du monde à dos
elle veut les vacances ntah ph-ket, traîner avec des pirates sur l’bateau
les condés viennent faire un nettoyage, ils savent qu’on fera toujours du sale
crois pas que t’es devenu un voyou, juste parce que tu viens d’sortir du chtar
j’ai des gars dans l’four, des gars au mitard
j’ai cherché jusqu’à l’aube, j’ai dormi tard
que du liquide, que du liquide, faut rester solide, on se plie pas
tu veux savoir c’que j’ai dans le ventre, c’est écrit sur mes couilles
c’est le 6-35 qui les fait danser, et le tokarev qui les couche
j’sors tout droit de saint-denis, là où y a des vrais gangsters
je suis p-ssé chez so’, landy est rentré dans le cercle

[couplet 2 : walid]
maman regarde tous mes clips, poto, j’ai pas le droit d’être vulgaire
j’ai pas le droit de les cramer en feat, profitez-en allez prendre l’air
dans l’rap, j’p-sse le balais, mes potes, eux, sentent pas les coups
maintenant, la bac nous balaye, pas grave on sent pas les coups
si j’rappe, c’est pour mon palais
là pour gagner, on veut pas ouer-j
bien sûr qu’on est lourds, on est pas lég’
mon premier pe-cli sur un manège
j’suis v’nu prendre toutes les médailles, viens à sevran si tu veux voir les bails
tu m’connaitras dans les moindres détails, guette mes cicatrices si tu veux voir mes failles
eh, vas-y vite, taille tôt, j’suis v’nu rapper jeune, ils sont tous die tôt
j’ai pas d’temps à perdre, j’ai du chemin à faire
j’ai plus rien à perdre, il faut qu’on maille tôt
j’ai grandi d’dans, donc depuis tout c’temps, j’trouve plus grand chose d’illégal
j’croque la vie à pleines dents, j’en ai perdu une dent, donc il est temps que j’me régale
eh, on l’aura pas volé, j’vois les rappeurs s’affoler
la prof est fan, on est pas collés, pour le milli’ on va pas chômer
on a pas volé l’rrain-té, on a pas volé l’binks
on a pas volé d’vieilles, on a pas volé d’punks
on a pas vengé [?], on a pas changé d’veste
on a pas changé d’binks

[couplet 3 : baek]
+33, connard, connard, connard
fianso, tu m’as dit d’rentrer dans l’cercle
t’inquiète, ça fait 10 ans qu’j’les encule
quand j’rappe, elles kiffent, elles gesticulent
aspirine dans la chatte, ah ouais, ça fait des bulles
gneuh gneuh drogue, gneuh gneuh thug, j’m’en bats les couilles et je dunk
moitié k-mer, j’suis comme hulk, moitié rebeu, j’suis comme trunks
désolé j’peux pas être heureux sans blé, j’vois mon caca j’trouve que vous vous ressemblez
ils s’font embaucher pour s’faire licencier, ta schnek, c’est comme l’enfer : on va tous y entrer
un behelite, j’suis autonome
j’ai un bouton pour l’arme atomique, et toi, t’as l’bouton home
hé hé, tout c’qu’ils font, c’est faire peur aux mômes
t’façon qu’est-ce qu’ils ont de plus que moi à part un chromosome
eh, dis-moi, pourquoi tu déblatères ?
j’te prends tes morts et puis ta mère
eh, dis-moi, pourquoi tu déblatères ?
le rap français, c’est c’téléphone, j’le prends et j’l’éclate par terre
eh, ouais, toi, t’es où ? moi, j’suis dans l’cercle
eh, eh, ouais, toi t’es où ? moi, j’suis dans l’cercle
eh, ouais, toi, t’es où ? moi, j’suis dans l’cercle
ah, vécu d’la haine comme dans berserk
eh, ouais, toi, t’es où ? moi, j’suis dans l’cercle
(ça va fils de pute ?)

[couplet 4 : mansly]
soninké, sénégal, mauritanie
mort aux mythos, quand les keufs nous remontent au nid
sont dans un film, s’croient dans la peau de tony, gomorra
ne connaissent que la porte d’italie
la dalle depuis mineur, je lève le majeur
y a aucun rappeur sur le terrain
un gars d’chez toi m’a dit qu’t’étais un bouffon, et j’crois qu’lui-même s’en était un
bref, tu parles de calibre car j’en ai
je m’invente pas de vie, celle que j’ai est -ssez compliquée
parlez, il faut pas vous gêner, je n’ai aucun respect à donner, la vie, c’est compliqué
en baissant ton froc, t’as baissé dans mon estime
quand j’arrête le buis’, la monnaie s’tire
on veut voir le khalis, j’ai un doute sur le destin
mon zibroco rangé, je suis mon instinct
j’ai le ghetto dans la peau, ouais
ta vie de merde, j’en fais un poème
faire du sale, ouais, ça rapporte
moi, baisser mon froc pour un feat, ça va pas, wesh ?
quand j’étais au mitard, toi, où t’étais ?
quand ma mère pleurait, toi, où t’étais ?
quand j’ai pété les plombs, toi, où t’étais ?
hein, fils de pute, j’aimerais bien savoir où t’étais
me p-sse pas la pommade, je viens du 9-3 comme zyed et bouna
l’argent fait le bonheur des mécréants et des tains-pu
moi, il m’lève que de bonne heure
j’ai été déçu, moi, baisse les mains, parle-moi doucement
un secret gardé à trois est bien enterré quand deux sont morts

[couplet 5 : caroliina]
at-tude, pull-up, at-tude
é caroliina na parada rapaz
mon son ele faz bang bang […]
ele sobe ele faz pa pa
na cabeça ele faz bang bang
no coração vem, ele chega ele faz pa pa
automaticamente quando você escuta ele você não para de dançar, hey
prepara o refrão que agora eu vou mandar
eu chego meto o pé e vou entrando com as amigas
hum gostou, então me siga
meu nome é poderosa e meu apelido é bandida
hum mafiosa, eu sou conheçida
xxx do top, capa de revista
chego roubo a cena eu sou atrevida
peito p’ra frente e cabeça p’ra cima
hum, recalque p-ssa por cima
po po po po po po po
favela rah
po po po po po po po
é caroliina
po po po po po po po
mafiosa rah
po po po po
é caroliina mafiosa da favela
eu vou te mostrar como chega quebrando tudo
essa dança aqui é m-ssa isso aqui não é macarena
brah meu flow vai, brah meu flow vem
pega pega pega na cabeça e no compaço, prepara a posição
quando eu vou mandando vai descendo uma pressão
não no joelho vai subindo a tensão
eu quero ver quem é que dança nesse som de tamborsão
brah brah ta ta ta ta […]
stop! viu que isso aqui não é macarena
vem p’ra cá p’ra cá, aqui é la cité des femmes
vou começar a chamar aqui a la brasiliana
eu quero ver a colombiana
mostra aí a jamaïcana
come é que faz a africana
hum a la parisiana
a la brasiliana
ici c’est la cité des femmes
é caroliina na parada rapaz
bota a cara só p’ra ver vagabundo
rentre dans le cercle

[couplet 6 : 4keus gang]
pour t’éteindre, il faudra t’allumer
les cartouches de balles en-dessous du pare-choc
j’ai presque tout vu, donc plus rien n’me choque
tu diras qu’j’suis jeune, et qu’c’est du bluff
ancien devant l’tabac allume sa clope
lunettes sur le nez, café dans la main
j’me branle sur l’instru’, normal, j’suis à 5 % d’mes capacités
ton blase de ma bouche ne s’ra pas cité
f-ck les faux-culs et les hypocrites
il me critique, mais j’le connais pas, qu’est-ce que j’ai fait pour être le mal-aimé ?
qu’est-ce que j’ai fait pour être si mal aimé ?
cette question me trac-sse quand j’suis isolé
force à toi, enfermé, aux isolés
c’est rien, c’est la rue qui a fait qu’t’en arrive là
déter’ comme dans les 300
bourbier à régler, on règle ça à moins d’quatre, ouais
eux, ils m’font tous les bandits, parlent de mmes-gra, de los-ki, c’est des lopes-sa
[?], 4keus connus d’tout-par
la moula, d’la mort bien sûr qu’il y en a
toi, tu fais l’plein aux as, t’as rien pour khal-ss, on pique, on a pas d’cœur
ton million sur l’viseur, rien qu’il s’enraye
le million, million, on l’fait par son
moi, anti-keuf comme manolo, libérez les kheys, gusta, simso
au tieks, en tn, les bleus né-tour, la bsp enquête mais on fait tourner l’four
remballe ton luxe, ouais on sait [?]
on fait la diff’ donc reste attentif, très sale est l’motif
faut mailler, donc ça s’lève tôt l’tin-ma, de bonne heure on s’motive
on est trois, mais on est 4keus gang, une équipe collective
quand on attaque, on bourrine tout, donc ne joue pas à la défensive
eh, pour un bitume qui fait pas d’thunes, pourquoi s’faire la rre-gué ?
rentre dans l’cercle, fais-moi péter, la foule, j’vais la choquer
une p-sse dé’, j’t’en ferais bien une mais tu sais pas t’démarquer
un conseil, fais pas l’mariole si tu veux pas m’voir débarquer

[couplet 7 : chris karjack]
on remplira les zéniths et les cercueils
billets blanchis comme jackson michael
à l’heure où les folles s’affolent sur le nouvel iphone
j’fous l’feu, des rafales sur feuille
j’rentre dans l’uber, j’lui dis “mets la clim'”, j’lui dis “mets lacrim”
écoute bien, bientôt, j’arrache un audimat, putain, j’me paye un audi mat
l’atmosphère est propice, hein, aux gros vices, hein, aux gros gamos puissants
les condés veulent grossistes, hein, complices, hein, ils pistent avec insistance
une fois dans les filets d’la juge, quatre piges de moins ou quatre piges de plus
sur le terrain pas besoin de quatre fiches de paye pour embaucher quatre fils de putes
on a tous des cœurs, c’est donc ça, sauf qu’aucune poubelle n’en voudrait comme ça
on a tous des peurs, plus peur de l’échec que de crever comme martin luther
on a tous des fleurs, mais elles sont fanées car nul ne respire sous le cellophane
nul n’aspire à nourrir les flammes, soit c’est nos putes, soit c’est nos femmes
et puis les singes descendent de l’arbre, puis, me félicitent sur snapchat
shl-ss, shoot comme à los angeles, bibi la chnouf comme avalanche de neige
j’ai dit les singes descendent de l’arbre, puis, me follow sur ig
connaissent toute ma vie, le goût de ma bite mais ne savent pas où j’habite
le savoir est une arme, l’harissa est tunarde, mais l’rebeu est marocain
l’pilon est fumable, le filon est durable, comme chez les saoudiens
j’ai scellé mon cœur, serré la ceinture, serré l’moteur
rayé la peinture, la vie, une putain haute couture qui m’guette avec un air moqueur
qui m’guette avec un air moqueur, qui m’pousse à faire des choses que j’voulais pas
sous les yeux du commissaire qui m’dit “continue, comme une coupe on t’soulèveras”
puis on nique les racistes, y a des p’t-ts blancs dans mon équipe, si grands dans mon estime
des rappeurs qui m’critiquent, font des cauchemars où on feat, des rêves où ils font mon lexique
sont pleins de swarovski, mais leur cerveau se barre en couilles, et leurs narines se barrent au ski
c’est l’apparence qui trompe, vu qu’avec un seul on fait quatre litrons
donc, peu importe que tu f-sses de l’argent propre ou de l’argent sale
tout comme peu importe que tu sois devenu large en promenade ou large en salle
faut viser les cieux, vi-ser les client, mettre de l’essence dans la fusée, messieurs
faut niquer les bleus, qui déboulent en criant, nous gazent pour enfin nous voir plisser les yeux
ils ont l’immunité, mais notre terrain est illimité, comme celui d’olive et tom
la timidité, c’est le charme d’une femme, l’humilité, c’est le charme d’un homme
dans ce monde de chien, où chacun shl-ss l’autre pour graille avant d’daller
t’y es faut le tâcher, les amg, pour aller chez les chiennes qui crachent avant d’aller chier
solidaire d’sale équipe, on s’tape sous liqueur, ou dans l’absolu, bibi et drogue sous cello
y a mon nom sur ses lèvres, toujours pas célèbre, et mes yeux transpirent, solitaire en cellule, c’est nul

[couplet 8 : kams]
j’suis dans la rue comme toi, j’galère comme toi
deux jambes, deux bras, poto, j’suis pas cobra
j’ai pas dénoncé, c’est dans mes gênes
sur les lieux du crime, on laisse pas d’adn
j’ai signé l’contrat, et tant qu’on [?]
ouais, j’suis plus fort que toi mais t’mesurer t’essayes
vécu d’ancien, couramment capuché
on a dû dealer, on a dû voler pour r-ssasier le frigo pas pour ces fils de putes
ils convoitent la lune donc je vise les comètes
salis pas mon nom, c’est ta jambe que j’ampute
et j’pourrais t’en placer plusieurs dans les pommettes
j’rappe pas comme eux et ça, tu l’ressens
sur l’périphérique j’ai ma tête d’innocent
j’arrive sur paris j’pense aux grammes, aux p-ssants
des cl-ssiques j’écris, tout comme guy maup-ssant
et puis j’entends des cris, ça crie plus, ça descend
ça nettoie ma té-ci même quand c’est pas décembre
j’surveille mes sœurs, des baffes dans la gueule
goûte le fer, cousin, y a pas d’pur club
ton frelon m’écoute et il demande sa pics
en moins d’une pige, j’ai fait la diff’
tout est carré même quand j’rentre dans l’cercle
là, à 19 ballets il est temps d’faire le ménage
même à la cité, les envieux m’ont lancé un club
comme mbappé, sur l’terrain, j’suis efficace
on veut tous des sous, chez moi, c’est la folie
cagoulé sur l’deux-roues et on f-ck la police
faut qu’j’les traumatise, faut faire les choses carrées
j’ai pas d’préservatif, j’vais quand même les baiser

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