res vs krok - rap contenders lyrics
[round 1 : res]
bon écoute kroky, là t’as pas encore perdu mais c’est tout comme
et soir ce, j’vais tellement t’baiser, qu’cette vidéo tournera sur youporn
eh mec, face aux darons, j’viens t’baffer les fesses
et t’la raconte pas hein, si t’as p-ssé la draft
c’est juste parce que ton adversaire a zappé son texte
yo, t’as pas d’chance t’es tombé sur le pire tapeur
j’suis ton dictateur, j’vais t’boxer à la street fighter
et trop d’respect, donc j’parlerais pas d’sa maman non non non, par contre, nique ta sœur
yo, ici c’est rc3, tu veux percer toi ? j’viens faire taire tes droits
et j’te laisse aucune échappatoire, tu t’reconvertis dj, j’te pète les doigts
yo, tu crois faire peur à qui toi hein ? à peine tu pousses, il crie cette tantouze
tu vas m’faire quoi toi, musclor ? t’es galbé comme ingrid betancourt
yo, moi j’suis l’rookie d’la draft, j’bousille ta race
j’mets ta sœur enceinte, j’la trompe avec ta mère et avec ta cousine j’m’arrache
yo, eh mec, on va un peu parler d’lui
yo, br-sser des gows, serrer des meufs, c’est c’que le gars prétend
mais en fait, il est tellement en ien-ch
tu mets des boucles d’oreilles à un cochon, le mec taperait dedans
yo, mec j’te ratatine, joue pas les grands scarla, j’t’aplatis
ce soir j’te mets en cloque et j’te vire #rachidadati
[round 1 : krok]
il dit qu’j’suis galbé comme un carambar, tu paries ?
quand il m’aura sucé, il va repartir avec des caries
moi j’en ai rien à foutre qu’on soit dimanche ou un jour férié
t’es qu’une sous-merde, j’vais te soumettre à ta condition d’esclave fermier
tu crois mettre des coups de griffes, mais l’homme t’apprivoise
on sait tous que tu t’fais poser des fausses ongles chez des zaïroises
nan mais j’vais m’faire chier avec ce débile c’est l’apothéose
j’pensais affronter un tigre, on m’file la panthère rose
y avait plein de bad boys, des vrais, des gars qu’ont pas d’costumières, fallait qu’j’me tape un mix, pokora – boyz ii men
nan mais le clash a cappella vit une époque de merde, y’a plus d’adversaires potables, y’a qu’des mecs qui veulent hip-hop le game
pis j’ai voulu mater un d’tes clips, dès la première phrase tu perds tout crédit
sors un truc genre, “j’vais pas pomper les cains-ri”, il est sapé comme une pale copie, casquette, baggy, c’boloss a toute la panoplie
t’es pire qu’un cliché, t’es comme la f-ck that ; une vulgaire parodie
eh, après c’battle, tu vas prier pour qu’y ait pas d’rediffs
tu vas chialer à dony, “s’te plait tej’ le film
t’as qu’à dire qu’y’a pas d’son ou un problème de pile!”
t’es bon qu’à foutre les battles en ligne, t’es qu’une salope de geek
fallait l’sauter dès les qualifs, comme pour les end of the weak
bref, tu veux percer mais les seuls trous que tu fais c’est dans la couche d’ozone
tu veux faire les rc, mais tu restes une plume de seconde zone
[round 2 : res]
donc moi c’est res, aka mc mc fly
j’monte dans ma machine à remonter le temps, 29 ans en arrière, j’retrouve tes parents, juste avant d’te faire, j’tab-sse ton père, j’engrosse ta mère, j’remonte dans ma machine à remonter le temps, me revoilà
alors fiston, ça fait quel effet d’battle contre papa ?
écoute l’anorexique, au pire, si t’es en galère j’ai un plan pour oit et tes part’ners, reste immobile sur l’trottoir, les gens qui p-sseront vont t’mettre des pièces dans la bouche, vu qu’t’es taillé comme un parcmètre
yo, et encore vous avez pas vu sa mère
c’est l’portrait craché d’son fils en plus salope
elle est tellement keus, comme lui et blanche, limite transparente
quand son père la baise, t’as l’impression qu’il enfile une capote
yo, tu kiffes tes sons, d’la merde, à croire qu’t’es scato, tu fais qu’tes tubes d’ados
miskine, le seul truc de lourd dans sa life, c’est l’gros cul d’sa gow
et quant à ton haleine, j’ai rarement senti un truc aussi nauséabond
quand il s’approche de oim, j’ai l’impression d’battle contre un berger allemand
yo, krok, t’es mou, montre pas les dents, t’as 2 d’tens’
t’as tellement une p’tite bite, quand j’f-ck ta b-tch
elle a l’impression qu’on est 2 d’dans
t’es qu’une merde, j’t’incise, mec on m’avait dit qu’t’étais bon
comme quoi faut pas écouter c’que certains disent
toutes mes condoléances à tes parents julien, ils viennent de perdre un fils
[round 2 : krok]
tu veux m’planter mais t’as une lame en carton
tu parles à un mur, ouais, mais arrête tes lamentations
j’suis tombé sur un xxx d’province qui joue les al capone
ton flow c’est entre l’flan et l’yaourt, on t’appelle mascarpone
bref, tu vas rentrer chez toi là ou y’a rien même pas une p’tite boulette
les mecs au fait, fumez pas sur ses oinjs, ils les coupe à la ciboulette
res, pourquoi res ? il est en h-ss
tellement en h-ss que j’l’ai vu rouler avec l’étiquette plastique d’une bouteille de soda
j’lui dis “oh, mais qu’est ce que tu fais ?!”, c’con il croyait qu’il fumait une feuille de coca
j’vous l’dis, j’suis tombé sur un gros mytho débile, plus de 20 piges
il croit toujours qu’une paire d’roberts c’est une encyclopédie
du rap français t’es la honte, l’idiot qui se prétend l’apôtre
toi et tes potes ça pousse la fonte, y’en a pas un pour relever l’autre
d’ailleurs c’est quoi ce crew d’bouzeux, voué à la loose
jamais vu d’esclave fermier chanter autre chose que du blues
laisse moi t’expliquer la fable, y’en a un qui s’appelle k-fü
l’autre qui s’appelle lhomé on se demande qui fait la femme
donc joue pas la carte du mec ghetto qui tue, j’ai débarqué dans ta skins party
t’avais la queue d’bugs bunny, les oreilles d’h-llo kitty
virez moi c’pelo d’ici ou j’vais l’envoyer sur la lune sans l’vélo d’e.t
[round 3 : res]
mec, t’as une dégaine épouvantable, t’es moche, t’es tout bancal
t’es l’fruit d’l’accouplement entre un clonage raté d’guillaume h–rau et un épouvantail
tu diras sûrement pour te conforter qu’y’a pas d’rapport
mais j’ai bien réfléchi et j’me dis qu’c’est vraiment pas cool de défoncer un gars qui a un corps de lâche et une dentition d’labrador
yo, mais f-ck, tu veux qu’j’f-sse mal quand même, y’a pas d’problème
j’commence par 4 roquettes dans l’abdomen, puis j’te rentre dedans en tractopelle, j’descends, dragon punch
t’atterris chez ta grosse mère, à la roch-lle
yo, t’es pas encore mort ? j’continue avec un hadoken
il respire encore ok, j’ouvre un tube d’acide et j’te l’fous dans les yeux
ensuite j’te balance à dhalsim qui sur toi souffle le feu
yo, mais j’te laisse pas en galère non non non, j’te paie l’opération
le docteur t’redonne la vision, me revoilà et j’te recouds les yeux
yo, tu croyais faire la fête, j’te pète la tête et j’te laisse crever mort à l’arrière d’mon estafette
puis pris d’remords, j’me tire une balle dans la tête, j’décède
j’monte au ciel, j’te retrouve et j’te r’fais ta fête
yo, eh, tu sais y’a des mythos, tous tes potes là qui t’disent que t’-ssures, c’est les mêmes qui tous les vendredis soirs, s’branlent à 2 ou 3 dans la bouche de ta sœur
yo, appelle moi gameiro, j’viens d’province mais d’vant l’bus j’blague pas, j’lâche que des gros missiles, on est dimanche soir et j’suis dégoûté aussi mais paris vient encore d’se faire torcher à domicile
[round 3 : krok]
le rêve de res, briller sous les str-ss, faire de la zik énorme
mais t’es aussi falch que ta bouche d’oreille en zirconium
bref, fais pas l’mec solide c’est du bluff, intérieurement tu t’questionnes
tes phases sont vides, c’est comme avec les meufs ça, rien qu’tu touches personne
t’es l’genre de ch-sseur qui tremble quand la bête rugit
rien qu’j’te bousille et toi tu restes en chien d’fusil
à chaque cartouche, t’es comme endolori, j’presse la gâchette, j’provoque xxx
quand j’pose tu mouilles de suite, t’es la cr-sse du hip-hop, on t’appelle boule de suif
tu rappes une chatte dans la gorge, t’es pas sur l’beat et tu t’essouffles
j’suis venu t’agrafer les lèvres, terminé les pets d’fouffe
mais y’a un moment, on va m’dire : “halte, -ssez !”
tu l’brutalises comme un joint mal t-ssé
moi j’dis qu’faut lui mettre une balle sans coussin matel-ssé
on mise pas sur un ch’val qu’a la patte c-ssée
bref, puis t’as les chicots pourris, à force de boire ton urine
j’vais tellement t’péter la bouche tu pourras plus embr-sser une rime
(ok p’tit choke)
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