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marti vs espiway (1/4 finale) - rap contenders lyrics

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[marti]

[intro]
vive le roi !

t’es un clown triste
t’as l’air d’un sacré clown là je peux te le dire
allez vas-y fais le clown là on y va

erwan, t’es qu’un fils de pute

[couplet 1]
le pénis touche le plafond, sale con, les “qu’en dira t’on ?”
t’aimes pas le combat, peur du contact, je vais te faire saigner comme dans platon
si je p-sse à l’action, je pousse le respect dans les bas-fonds
plus je te regarde et je constate : tes testicules tiennent dans un flacon

je t’emmerde ‘spiway, t’es venu pour gagner, sans blague ?
tu veux que je te prenne au sérieux, hm, commence par rapper sans masque
pendant que les cr-sseries s’ent-ssent, erwan viens gratter des voix
et quand tu parles comme ça bah, t’as le bon flow pour ta campagne

souvent tu me fais sourire, ton album c’est du joli
j’adore la huit, tu parles d’argent, que sans thunes on peut tous vivre
mais t’es grispou ou skippy ? parait que t’es un clown gentil
non je miserai pas sur toi par peur que ça me coûte un bras comme georgie

[refrain]
tranquillement, je te le demande gentillement, joue pas le grand méchant j’aime pas ça
sinon dans dix ans quand tu seras mendiant bah j’irai pas checker c’est pas grave
t’as la jambe qui tremble et j’ai le sentiment que t’as jamais connu de grand dérapage
est-ce que tu te sens vivant ? tu vas grandir quand ? comment ? juste en tisant des carafes ?

nan ! j’emmerde ce clown triste, tes jeux de mots pourris
t’es un pure autiste, utopiste naïf comme mowgli
tu me fous le cafard comme oggie, évite de te lâcher trop fort
tu manges pas de viande pourquoi t’exhibe aux autres que t’es travers de porc

les seuls jours où t’as du flow c’est quand ta grogn-sse se doigte
tu manges des légumes, tu manges bio, du soja, des avocats
tu rêves d’un monde sans boulot, qu’on cultive nos aromates
je me lève tôt, je paie mes impôts, traite-moi de connard de droite

[couplet 2]
c’est la cl-sse à ton âge, de te venter quand t’éjacules
mais si j’arrache ton masque, sans me planter je t’émascule
espèce de grande pédale, tu devrais prendre des baffes
juste pour apprendre, fils de lâche, à fifa tu prends le réal

t’as-t’as-t’as un futur de mec faible, dans mon ludus tu serais dead
c’est quoi ton message aux jeunes ? hein ? la culture de l’échec ?
comme une endive je vais grattiner, ta mise en bière est planifié
je fabrique un cierge satiné avec ton nez rouge en babibel

tu manges pas de viande mais t’es très gras
dans ton créneau y pas de demande, t’arriveras pas à me vendre tes blagues
un monde sans argent ce serait cool, moi je vote pour un monde sans erwan
t’aurais pu faire de l’audimat dans danse avec les schlags

je t’emmerde ‘spiway, tu feras jamais un carton plein
si la nature reprend ses droits tu te feras ken par un ragondin
t’es mon idole vite fait, dans ma connerie je dis vrai
la vie c’est dur, je suis de ces gens qui se battent, toi de ceux qui se plaignent

t’es qu’un sosie de coluche, il a fallu que tu salisses son âme
car t’as la voix de patrick bruel, les idées de francis lalanne
pour produire autant de clips, faut bien que tu ramènes le cash
dans le rap t’es aussi authentique que mes claquettes de plage

[refrain]
tranquillement, je te le demande gentillement, joue pas le grand méchant j’aime pas ça
sinon dans dix ans quand tu seras mendiant bah j’irai pas checker c’est pas grave
t’as la jambe qui tremble et j’ai le sentiment que t’as pas connu de grand dérapage
est-ce que tu te sens vivant ? tu vas grandir quand ? comment ? juste en tisant des carafes ?

nan ! j’emmerde ce clown triste, tes jeux de mots pourris
t’es un pure autiste, utopiste naïf comme mowgli
tu me fous le cafard comme oggie, évite de te lâcher trop fort
tu manges pas de viande pourquoi t’exhibe aux autres que t’es travers de porc

les seuls jours où t’as du flow c’est quand ta grogn-sse se doigte
tu manges des légumes, tu manges bio, du soja, des avocats
tu rêves d’un monde sans boulot, qu’on cultive nos aromates
je me lève tôt, je paie mes impôts, traite-moi de connard de droite

[outro]
espèce de fiotte
je vous ai pas traité de clown c’est comme ça qu’on s’appelle
on dit, ouais, quand un gars fait une causerie on lui dit arrête de faire le clown. c’est simple
alors arrête de faire le clown s’teuplait
je trouve très étrange votre manière d’être à gauche

[espiway]

j’arrive masqué tel un brigand … c’est intriguant
en m’affrontant t’es sur un terrain glissant
ton personnage comique n’est plus vraiment bien vivant
t’as perdu la flamme comme un dragon impuissant

j’ai écouté tes sons j’ai finis nauséeux
pas l’choix vu qu’c’est trop dégueu
t’as raison d’faire des parodies vu ton niveau c’est mieux
car t’as pas -ssez de talent pour être pris au sérieux

ta mère t’as inscris au sport de combat j’avoue c’est chou
mais chuis ceinture verte de golf j’te baise à tous les trous
depuis qu’tu fais d’la mma t’as pris de l’-ssurance
maintenant tu manques pas d’air t’es comme mes flatulences

pour me sher-cla tu flanches car t’es mon plus grand fan
ca fait longtemps qu’ta plume est comme ta bite : en panne
t’as pas mangé un clown mais t’as gobé ma teub : ça fait h0m-
malgré toi tu feras ma promo

lorsqu’un bouffon affronte un marquis
lequel des deux amuse le plus la galerie
tu kiffes les t-tres moyenâgeux, si on en crois les rageux
t’aurais du t’appeler trou duc ça s’rait d’jà mieux

j’comprends pas tes délires, on dirait qu’t’essaies d’faire des hits
mais t’as autant d’impact qu’un anesthésiste
j’vais voir c’que t’as dans l’bide pour ça qu’j’te mets des fists
seulement t’as fais plus de dossiers qu’un ébéniste

vu c’qui sors de ta bouche je ne flippe pas trop
tu nous sers que d’la soupe, “vive le royco”
tu veux que des tas d’félines te déchire le stard-co
mais tes lignes attirent les thons faut qu’tu quittes le bateau

nouveau type de gastro, vu les merdes que tu déverses aïe
j’ai un style de chard-clo dans ton bercail
tu manque jamais d’maille
car ta maman a autant de liquide qu’une niakoué dans un hentaï

le rap t’a accouché après un trou d’capote
t’es déprimé tu trouves la vie d’château atroce
t’as du mal à t’garer chez toi y’a trop d’carosses
t’oublies d’vouvoyer ta daronne et tu t’manges une grosse calotte

tu perds toute crédibilité quand tu fais l’fougueux
prêt à tout pour la célébrité ça en devient douteux
dans ton cas devenir rappeur c’est plutôt coûteux
tout comme la schtrumpfette en chaleur t’es en manque de pouce bleue

t’as pas de textes divins, t’es pas un écrivain
des piments dans son cul j’en ai mis plein, tant et si bien que dès qu’il geint le mec y d’vient un chanteur mexicain et j’sais qu’t’apprécies hein ?
avoue qu’tu pensais pas qu’j’irais si loin ?

pour faire le clown, tu mets des lunettes, des costumes et tu changes de voix
je n’crains aucunes attaques venant de toi
mon cd tourne dans ta gova plus que ton volant je crois
de plus tu bandes salement quand je rappe

il faudrait que tu changes de cap, t’es pas “super che-ri”
tu cherches une aiguille dans une botte de foin pour qu’tu perces vite
mais t’es qu’une supercherie, un lorenzo du pauvre
arrête ton cirque t’es face au bozo le plus beauf

après freddy j’affronte ce gosse minable
c’est comme s’refraire le niveau 1 après le boss final
dès que t’accélères tu poses si mal, c’est trop tricard
je t’ai troué, trace ta route avec un corbillard

- rap contenders lyrics

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