9,50 - r.e.d.k. lyrics
[paroles de “9,50”]
[couplet unique]
j’me fous d’vos études sur les stup’, j’suis pas le type à sonder
j’suis pas ce gus qu’a la vue qu’sur ses thunes, obstiné par son blé
de plus, parler putes en rut, je suis ma lutte pour pas sombrer
j’envoie des scuds de manière brute, f*ck les tubes, j’suis pas plombier
le but est de ne pas finir écartelé
cond*mné à chantonner, pour cartonner, j’peux pas donner
de plus, d’embûches, le chemin est p*rs*mé
jе bûche, j’fais qu’charbonner pour qu’le jugе puisse me pardonner
on va y aller gentiment, tranquillement, gars, le temps qui percute
issu des bâtiments, j’suis parti d’en bas comme un uppercut
j’peux plus être star, balance au mic des parpaings hyper bruts
plus d’espoir, j’suis la version insomniaque de martin luther, zut
j’repars de plus belle et j’vous tue
han*han, encore un bijou dans les poubelles de youtube
on score, on se bagarre ; l’mot d’ordre : pas être avare
d’efforts ; sans être bavard, aux porcs, on donne du caviar
rimeur à part, pendant qu’ils se battent
pour ma part, j’me marre : ah, l’histoire de l’homme noir…
je reste attentif, un pied en europe
et en amérique, le cœur en afrique, quelques corps dans l’atlantique
et j’me sens comme écartelé
lacéré, pendu à des branches par des barbelés
regarde*les, ces dindes, se dandiner dans de débiles débats
j’me sens beaucoup plus proche des causes pour lesquelles kémi se bat
qu’ils misent ou pas sur moi, j’m’en bats les reins
tu vois, vous êtes ttus*ba’, sournois, vous n’valez rien
j’tue ça, au calme, j’t’éteins dans tous les cas, compris ?
j’te sors mon prime quand t’attends mon déclin, comme benze’ ou luka modrić
bref, restons calmes, je les laisse faire l’comptage
je n’ai que faire de vos bayes d’experts*comptables
tu m’croyais p’t*être dead, comme d’hab’, ou dans une belle pierre tombale
mais j’suis dans l’texte, frère, et découpe à la dexter morgan
pépère, venez apprécier les sk!lls, on s’ra pas sélectifs
j’vais tabasser les beats, les fracasser, les bras cassés m’évitent
j’vais pas t’lâcher, j’t’explique, viens pas clasher les kings
ou tracasser l’équipe, tu vas cracher tes tripes, gros, va t’acheter des streams
c’est l’heure, time, si, si, mec
j’ramène du neuf, man, que des œuvres d’art xxl
certains meurent, die, puis viennent des heurts graves
car, quand les keufs craquent, les victimes saignent
f*ck le buzz hype et p’tites disquettes
meufs, maille et stings ficelles, ça leur parle vite, direct
et j’bluffe pas sur l’prix, tu sais, j’mettrai l’album
à neuf euros cinquante, tu l’as ? neuf balles et 50 cent
[outro]
aïe, aïe, aïe, que des conneries…
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