freestyle 50h de rap part 1 - oxmo puccino lyrics
je créé le fiasco comme loupé
je te met a l’ouest comme ken yeah
je veux être le meilleur comme john ou john délit
ça fait boum quand j’aterrie
c’est le drame si je périe
je n’ai rien d’un poly mais j’ai la folie de yann délit
le xxx t’emmène avant même que j’ai mis le son
tu connais ma mission
enchaîner les tracts comme l’émission
star chic comme select a
je m’en fou de tout les tout les tout les
explicite comme specta
une foulée de roulée boulé doulé
critique de base que j’avoisine
c’est avec du rap, pas du rock
que je vais chez la voisine
quand on rap, xxx
même quand ta femme l’ouvre
parce que t’entend mes images à la came loose
lunatique comme tu sais qui
je tape la démarche
entre
i am de n-ss
et et i am de mars
has been comme ta kinny
pas de quoi être timide
si je te p-sse out
c’est que je ne t’aime pas
tinny sois tu l’est
soit tu ne l’est pas
ça sent dans ton leus
moi je suis hiphop comme résistant être un d est un meust
pas de mégot sur le beat kick sorte de technique sur le krav maga
tu me connais, reconnait, c’est radical comme le mague
ça pue le spleen quand on crache un pavé de plus dans la mare
fait de rouge et de couleurs ternes, y a qu’la teinte de l’anar
le reste est rond et complaisant
trop de speel, trop de cling, trop de f-cking, trop de bling et bling
yo, et quant on parle c’est de bon ton qu’on m’apostrophe
je compare pas je fais des bon quand je tape mes strophe
se mordent la queue dans le présent
on se projete plus
le reste est trop exclus
comment nourrir ses rêves après 20 ans de leurre, tant de pleures, je prend peur, si c’est enfin le temps de l’heure, présence meur
et ce mutant de voleur du temps que je perds
pas plus d’entrinte aux 5 enfants dans de l’air
merde, je rappes comme une poussée de glair
y a plus de fleurs dans nos cheveux
on se fait raser les vieux
20 fois par semaines on se fait ramoner les yeux
embr-ssé par des larmes sans fond
gomme nos armes sur le front
gommé d’homme
dans le coin le doné plane
comme un troupeau de bonnet d’âne
ici c’est devant les vitrines que le benêt flâne
et c’est à la tétine que le goret se donne
y a comme une odeur de cyprine, sur le string, de cendrillon
des rêves qui se consument en primes dans des cendriers
trop de discours, plus d’idées
les détours sont dédié
aux secours on si plait
tant que même planté
c’est avec le temps qu’on tente de remonter la pente en rampant
on se bécote plus sur les banc public, je banc public
maintenant c’est sur le dance floor
qu’on crie quand on sort
ou plutôt qu’on pleur quand on prie son âme sœur
finir la garenne
les immeubles la galère
les flics veulent la gamelles
viens sur le boulevard charles de gaulle
la ou mes couches-tard squattent le hall
ça parle de boum bam frappe le gros
des poukavs et tout ça, ça me gave de trop
j’ai le blouse grave et tous croient que moi je gratte l’euro
mais que nenni j’ai que mes rimes et je révise chaque jours
et ce débit n’est que le récit que je méprise chaque bourges
mais ils me la mettront pas j’ai pas envie
xxx débarquent en ville les veston by garantie
pas besoin d’me présenter tu m’connais déjà … ou pas
au frais des pédales j’fais des dégâts et des vrais jaloux parlent
si mes phases blessent, vous verrez qui dit vrai
on a l’cul entre deux chaises donc on est des déséquilibrés
libre dans ma tête mais prisonnier de mes sentiments
sans tir-men j’avance gentillement en trimant
faut que j’me sente immense dans 10 ans
tranquillement dans l’ciment j’laisse mes marques en frimant
s’dandinant enviant l’temps qui manque j’vis ma vie enivrante en rimant
j’dédicace ces huit barres à mes frères d’afrique noire
ou d’afrique tout court ensemble on aura la victoire
contre ces ex colons vautours qui volent notre ivoire
changent notre histoire et nous traitent de primates
ils sont prêts a tout pour nous voir chuter ou pire, man
et si t’as pas cramé c’est q’tu dois t’shooter au pub, aie
négro la vie d’oim faut qu’on sb’arre avant d’tous die
on est venu pour le wali demande a mamen bloopa
et yo c’est deen frero
quoi d’neuf la mif’
pas d’bleuf j’arrive
et les rappeurs balisent
f-ck leur récits d’blaireau
ils gâchent leur salive
s’ils font du rap thug moi j’veux voir leur calibres
j’entend leur merdes malgrès moi comme un fumeur p-ssif
negro éguise leur canines
pire qu’des leader maline
si t’es une sister caline
j’devien k!ller de ma liste, allez dites leur qu’jarrive
ils sont prit d’peur panique
dans les dédalles de panam
j’n’ai pas d’égal j’me balade
pas loin des halles
où les daleux parle mal de la femme
et je déballe des tas d’phases
au départ j’n’avais pas d’bases
mais je taf et les raps sales que je lâche te laisse patraque
je n’aime pas les paper-sses
parlez pas d’ça
j’ai le bac mais le choix de ma vie c’est d’raper la night
gars ça c’est ma life
j’ai pris des tas de claques
prier tard le soir
grillé par la bac c’est pas marrant
j’ai gratter pas mal de phases de malades
si j’ai dragué ta femme c’est un acte b-n-l
je plane dans le noir, calme quand je dav-bé
j’ai pas le temps de parler aux fans a part aux t-ss-pé
gars j’veux pas d’gar-ba
j’vois que chaque tar-ba
te tacle dans l’fion et poukav a chaque garde-av
mental de champion
pas b’soin d’armes a feu
mais j’garde la hargne
et je crache sur ta face
prenez comme un hymne ce texte que je vous destine
j’porte dans mon estime ma team de l’est
j’n’ai jamais vu l’horloge tourner, même au sein de nuits d’automne
et monotones journées, j’ai une pensée maximum pour mes
murs teneurs, sur le coeur d’énormes souhaits
dialogue noué hurle leur qu’ils donnent tout et
qu’ils bossent dur pour un futur splendide
sous un ciel d’azur triple garniture de nourriture dans l’bide
mais j’suis mature pas de nature candide
j’en connais déjà qui enfilent des couvertures dans la ur sans vivres
pour la famille, le crew je kick ce coup
les p-ssant nous croient sordides ou sorties d’un asile de fou
cela dit mec j’ai peu d’amis nets dans ce périmètre
de nation à porte de la villette
j’suis dans mon élément végétant aisément chez des gens excellents
fédérant révérends et des grands mécréants dégénérant
accélérant déchaînant les présents célébrants l’événement
émettant des élans véhéments réveillant les vétérans
ça commence a être cramer, a nos trousse
une armée de camé, qui veut m’canner, j’te jure j’ai pas la frousse
qu’ils vont m’chercher, et s’ils viennent me faire cher j’leur colle une balle a tous
et c’est comme sa que sa s’p-sse chaque jour que dieu fait
la ville est mon casino je ne fais que bluffer !
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