a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

eren jäger - oub lyrics

introduction :

couplet 1 :
je connais les crises, et l’écris s’emparеnt de ce que jе vois
cris à la vue de ce monde
je connais les risques qui arrivent en balle
quand t’es inattentif une seconde
je rap pas pour devenir hyper célèbre
et celui qui s’envolent il perd ses lests
je reste terre à terre
combien font les mauvais choix
et remettent ça sur le père céleste?

il était grand temps de s’élancer
fallait se sentir compris et cer*lan ses fans
c’est lent, c’est fade, merde
c’est toute ma vie, ah mais c’est l’encéphale
tout le monde s’en va, alors méfies toi
concentre*toi que sur le mec seul que t’es
calcule pas ce qu’ils disent, sache que toi
t’es toujours salis par plus sale que toi

je suis pas comme eux, ils la critiquent
pourtant ils s’emparent l’aide
je suis reconnaissant, tu reconnais zinc
les traîtres se savent même sans parler d’eux
je connais des gens qui assument r
toi t’es pas de ceux qui assumèrent
notre histoire était la nôtre
mais à part nous qui a su merde?
fini le jeune idiot de “cœur humain”
alors je t’aurais en courant pas
je veux pas finir encore en bad
j’ai changé de bords, mon corps empanne
les mois passent, elle se dit c’est bon
je l’apprécie, elle et moi, c’est beau
pardonne*moi, si je t’écœure en balle
mais j’ai un cœur encore en panne

refrain :

je garde mes larmes quand je pleure de joie
et puis quand ça va pas je me planque solo
je connais les faux reufs
les grosses galères quand tu veux plein de soues
les procédures relou, les flics
les amendes et les plaintes, saoulant
on jure par l’équipe sah, alors on sort à plein de salauds
je connais la haine quand on te remplace
à te demander: c’est qui la*cui?
je connais l’amour quand il s’en va
la désillusion qui la suit
je connais la solitude de l’âme
quand tu te demandes si t’es humain?
pleurer pendant des nuits entières
face aux malheurs que t’énumères
couplet 2 :

est*ce que la route en vaut vraiment la peine
quand à l’arrivée t’as les mêmes soucis qu’au départ
on est haï parce qu’on ler*par
le respect il connaît pas alors t’attends que le kondé part
et on devient vraiment malheureux
en voulant se prouver qu’on l’est pas
tu te trouves un but, vu que t’es duper sans cible
mais où sont mes défunts?
je me suis détesté d’être hypersensible, ça m’a sauvé des fois
alors tu sors gratter un peu
t’as tellement de textes à remettre au neuf
a errer la nuit dans paname, et rater le dernier métro 9
les gentils partent quand il s’avère, qu’y un che*lâ aux environs
mais moi je suis pas un sauveur
des gens qui parlent mais qui savent r
j’ai beau criser, l’hypocrisie, les moqueries sont des maux grisants
c’est de la biture…
mais je viens d’amiens, t’sais, ça j’ai l’habitude
je dois honorer les miens, si t’es comme moi on s’entendra
mais bon, je suis pas un prophète aucune parole qui s’étendra
les cieux sont une couverture
le manque d’ouverture c’est un drame
l’enfer c’est une allumeuse, et le monde s’éteindra

refrain :

couplet 3 :

y a tellement de dettes, on les rends pas
on erre, on part, lance un skeud ah
mais les rents*pa c’est des remparts
s’ils partent, t’as perdu tout ce que t’as
j’en ai ma claque des coups du sort
des périodes de doutes à rallonge
faire du son ça résout autant
que faire goûter le mur à ses phalanges
tous pour la frime, je trime mais tous se meurt
je prie mais le sot mord, beaucoup sont morts
crime en prime, c’est la déprime dans mes ceaux*mor
j’ai fabriqué mes perches solos
là ils les veulent, mais j’en tends pas
légende en balle
les gens t’empalent mais j’entends pas les gens d’en bas
dehors le soir à grelotter, j’attends gaby vu que je dors chez lui
devant le désarroi
mais qu’est*ce qui te réconforte quand tout s’écroule autour?
dire tout va bien à la mif, mes inquiétudes elles sont cachées
frauder le métro, sauter des repas
recompter ses tunes à chaque achat
une vie de galère mais on se vengera
on se mettra tous ces poids à dos
j’ai l’amour de la famille, je ferai jamais ça pour qu’on m’aime
descend au grec d’en bas, 2 balles de frites pour un repas à deux
on l’a tombé fait tomber sur un sol sale
et on l’a graille quand même

outro :

nan, nan! ohlala c’est une dinguerie frère
oh p***** tu fous la rage
oh j’ai le démon
tu fous la rage
hé vasy t’sais quoi n**** sa mère
viens on s’allonge par terre on les mange
vas*y toi!
tema il reste de la sauce dans la barquette là
envoie du feu
tiens

- oub lyrics

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