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épine. - oh..badkarma lyrics

[couplet]
blessé par la rose je garde le doigt sur l’épine
quand l’amour doit s’hurler j’fuis
le papier brûle et nos mots doux, les froissures les retirent
en ton absence le bruit de la pendule m’épuise
quand la rage dure t’effrites
tu me dis: “j’veux pas baisser ma garde mais j’me sens lasse du mépris..”

toutes mes rêveries babe y a que toi sur les titres
c’еst absurde et le pirе
c’est que tu chasses des têtes sans vouloir je sais qu’il n’y a que moi sur les primes
tu sors d’la pièce et depuis l’embrasure t’épies
j’dis; “avoue tout, assume!”, elle dit:
“j’parle de paradis mais j’suis même pas sûre d’être prise”
elle a besoin de mes mains pour vider sa tête
ses soucis se désagrègent
j’suis déjà prêt
à réparer ce que les degats créent
à subir les nuit que ceux qui veulent se quitter s’assènent
j’sais pas si t’es sincère ou si c’est la tise dans tes artères
mais merde s’il faut céder, j’accepte

on se retrouve on s’aime on se tej après
deux étrangers s’apprennent
elle veut les frissons que mes dessin prennent
le bonheur l’intimide et/l’intimité ça freine
y a que mes mains pour guider sa peine
pourquoi ses idées s’infectent
elle préférerait plus rien ressentir, même pas ce petit élan de vie dès que je l’appelle

[bridge]
et je m’autodetruis le soir quand ça va pas
j’dis: “y a toujours un truc qui me reduit le coeur” sans savoir quoi
j’ai plus mal quand le tremblement dans ta voix croît
parfois j’reviens à reculons vers toi sans avoir le choix

[refrain]
et j’en veux à mon esprit pour ses felonies
quand il me ramène à tout le bien qu’on aimait se faire la nuit
est*ce que c’est ma présence qui te poussait vers l’ennui?
est*ce qu’on est de ceux que la vue des larmes qui perlent enivre?
pourquoi mon seul réflexe c’est courir vers l’ennemi?
hier j’ai fait ce rêve où les deux cœurs sortaient de nos mires
j’me souviens de déclarations à peine audibles
j’aime ta voix mais j’suis maudit par sa mélodie

[chœurs]

[couplet]
je garde le souvenir de centimètres de peau
que tu me donnais sans t’y mettre de trop
sans l’ivresse de drogues
est*ce qu’il y a une époque où tu t’es sentie maître de toi?
l’opinel me touche
en moi l’instinct sanguinaire s’étouffe
avec le peu sang qui me reste j’te trouve
les sentinelles me bouffent
c’est le sort des gens qui t’aiment, c’est fou

s’il faut trimer, je le prouve*
j’sens les ailes sortir de mes épaules
siège des démons, je sabote quand le bonheur fait ressortir mes défauts
y a ce repentir mais c’est fourbe
c’est le pire en moi qui renaît de tes fautes
j’dis: “j’te hais”, c’est faux
soumis au besoin qui renaît de tes formes
[refrain]
j’en veux à mon esprit pour ses felonies
quand il me ramène à tout le bien qu’on aimait se faire la nuit
est*ce que c’est ma présence qui t’poussait vers l’ennui?
est*ce qu’on est de ceux que la vue des larmes qui perlent enivre?

parfois j’aimerais te croire mais je pense que j’perds l’envie
de faire encore fausse route en se guidant vers l’avenir
l’intensité des pensées qui déferlent empire
j’veux plus des regrets que les idiots qu’étaient faibles empilent
mais j’pensais faire la diff

- oh badkarma lyrics

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