épiphanie - noir lotus lyrics
[intro]
pour parvenir à ses fins
l’être croyant que tout lui est dû, ne peut être sujet aux doutes
l’ambition de l’autre, renaîtra dans le bûcher de ses rêves
[couplet 1]
f*ck avoir une baraque haute comme une montagne
je connais mon del’, mon thème
je préfère écrire des essais comme montaigne
dans les abysses, je suis bien plus à ma place que dans leur fête mondainе
en constante recherchе d’harmonie
je travaille pour l’art moderne (nice)
j’ai atteint la porte mais maintenant faut que je l’ouvre
pas que je me loupe
yozo tome 3, je peaufine mes toiles au couteau
c’est logique, m’éloigner du troupeau, j’entends l’appel du loup
j’œuvre pour que mes œuvres finissent un jour exposées au louvre (hein)
il me faut aucun traître même avec 12 pirates
que le chemin parcouru et leurs virages deviennent un jour viral
croire en quelque chose qui nous dépasse, je trouve ça inspirant
j’aspire à atteindre le château sortir de la spirale
20*22 faire des punchlines c’est obsolète comme un rappeur qui dab
moi contre la meta c’est plus trop équitable
les histoires de clash, de tass’
je veux même pas qu’on m’en parle
si cette vie n’est qu’une cour de lycée
je viens faire le remake de columbine
si c’est trop beau pour être vrai
c’est sûrement que ça l’est
plus le temps passe plus les plaies sont salées
dans mon cœur hormis les fleurs du mal toutes les autres ont fané
je plonge dans le désespoir en quête d’épiphanie
[refrain]
marcheur devant les portes recherchant pourquoi vivre
guerrier et empereur des rêves hétérocl*tes
durant l’hécatombe les hommes sont pseudos libres
après l’éclosion s’ouvrira le monolithe
remonter ton corps jusqu’à rome, l’exposer en ville
trouver l’épiphanie quitte à se jeter dans le vide
exterminer les doutes amorcent le périple
après l’éclosion s’ouvrira le monolithe
[couplet 2]
ce n’est pas la même, nouveau souffle j’amène
vie défile comme ari vatanen
finir prodige comme eddy van halen
f*ck les copies
j’ai l’impression d’être autiste
nl sur les gros titres
chaque projet mérite le goty
je manie l’arme jusqu’à faire des cloques
vision d’horreur en arrière*plan sublimera le décor
hécatombe devient cas d’école
je crois que je suis pas né à la bonne époque
je capte les codes
connards matent les doc’
découpe des têtes comme connor macleod
dans mon domaine pas d’égal
je pourrais te tuer par mégarde
oups, wait
je me sens comme ubik, je brasse les cartes
dans le scénar’ je suis un acteur du mal
automatique je tire dans le tas
ça court comme ramasseurs de balles
fils de pute
tu sais qu’ici c’est le midland, c’est pas hyrule (f*ck) vie rouge
f*ck, f*ck
chemin est tracé il n’ y a pas dix routes
il est grand temps de sonner l’heure de la déroute
j’emmerde vitruve, j’ai besoin de quatre bras comme grievous
je ne suis plus à ça près je peux encore endosser d’autres crimes (eh)
telle est ma doctrine
peu importe l’époque je brille
je pondrai mon chef*d’œuvre avant de finir sur l’île de böcklin
[refrain]
marcheur devant les portes recherchant pourquoi vivre
guerrier et empereur des rêves hétérocl*tes
durant l’hécatombe, les hommes sont pseudos libres
après l’éclosion s’ouvrira le monolithe
remonter ton corps jusqu’à rome, l’exposer en ville
trouver l’épiphanie quitte à se jeter dans le vide
exterminer les doutes amorcent le périple
après l’éclosion s’ouvrira le monolithe
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