pour tuer salement - mentalités sons dangereux lyrics
– zoss
dans mon coin j’m’y sens bien quoi qu’il s’p-sse
trop d’biz, trop d’li-sses, des coups d’couteaux qui t’laissent des traces
ça vient d’la m-sse où plus personne va à la messe
c’est la ram-sse, on dit même plus ça va mais tout l’monde dit labesse
ça t’blesse, ça sort du nord d’paris faut qu’tu t’rabaisses
dérouler l’tapis rouge et laisser p-sser les mecs de barbès
le 18 féroce, on pète les scores de la police nationale
qu’c’lui qui veuille teste, prépare son deuil pour d’goûter l’-rs-nal
c’est les forcenés qui prennent le mic et viennent pour tout péter
j’viens du 18e faut qu’tu comprennes j’fais que de l’répéter
là où une étincelle s’transforme en drame
sur l’macadam, une pet-te triste termine toujours en larme
là où t’achètes sur l’capot 7.5.0.18 goutte d’or roro
tu trouves des chaînes 18carats à 5euro
le 18 c’est l’bento le marché aux voleurs
là où y a pas d’gen-ar ici l’cuivre ça a d’la valeur
c’est plein d’voyous où tu connais très bien le bruit d’un coup d’tête
celui d’une patate ou d’une pute qui s’fait péter à quatre pattes
ça s’fight où sang et larme ont trop coulés
où les putes se font violer, où tout c’que t’achètes c’est du volé
j’viens d’là où les mecs mangent des grecs dès l’matin
picolent, enchainent deux, trois joints
enculant la vie, cette catin
cherche tous le butin, s’rait même prêt à buter
l’père noël et ses lutins viennent pas, ça sert à rien d’luter
le 18 en haut d’l’affiche de l’insécurité
où les flics sont mal vus, où les mendiants c’est d’la b-n-lité
trop d’qualités, des gros calibres d’vant l’inégalité
applaudiss-m-nt, m.s.d. 18e quartier
– davodka
dès le départ je débite j’élimine car je vise les tempes
trop de dégâts qui font mal je n’ai pas de limites car le vice s’étend
j’mets les gaz les gars s’égarent en cas de dégâts mes gars séparent
tu vois le vice sous l’emprise de la crise
qui fait qu’nos vies se brisent c’est dar
c’est m.s.d. ouais on n’se contrôle pas
si ma section mâche pas ses mots, c’est qu’on a tous une dent contre toi
l’alcool me colle à la peau je décolle et déconne
et déballe des tonnes de phases
la force de frappe débarque sur le mic
et te donne des claques et te cogne de face
je presse le pas car tise m’attire la routine des gens c’est de criser
car tu devines, ma devise c’est de viser, vide le vice qui divise pour nous briser
tu cherchais l’silence donc davodka est un coup dur
ça te la coupe, nos rimes cisaillent
dans tes tympans pas pour d’la grosse coupure
– zeuta
tu connais l’diable des avatars, une tornade quand ça va pas
ris pas, y a rien d’marrant car on est pas chez zavatta, gars
j’ai les avantages, les qualités de mes défauts
des hauts, des bas comme sfo
j’irai péter les plafonds
j’irai baiser les bas-fonds car la rue fait des coups bas
des coupables, fais chier, fais tourner le spasfon
je p-sse mon temps à jouer la montre sur la fin
et rappe pour la gloire de ma cité et d’ces parfums
quand tu déchante, bah, t’as l’air fin
confusion sur fausses promesses
ne va pas dire aux somaliens qu’ils peuvent avoir le mot d’la faim
on vit d’amour et d’eau fraiche, mytho, y a trop d’alcoolos
pourquoi mes frères fument la beu-her
car ils enculent les écolos
la france te té-sau et t’es la star de son p-rno
ramenez-moi un dermato car je suis mal dans ma peau
pas de pot mon gars on vient pas faire la messe aux b-tches
juste porter l’estocade, demande à dady.s-ovich
face aux vil-ci, j’développe au hiphop haut d’gamme
vos papiers, sapristi ! eh oh ! cousin on s’calme
le rap, spécialité locale
je m’y sens comme un poisson dans l’eau car j’en ai dans l’bocal
– peyen
présentez mic pour p-sser à l’attaque
en première ligne de ce texte, boom, c’est ma mine qui t’éclate
pah ! rec-di, jamais j’me coucherai sur le champ d’bataille de la vie
baïonnette au bout du fusil
m.s.d. si tu en tues un, tu sais très bien qu’il en reste pleins
18 sur l’éch-lle de richter
des putains d’rimes blessantes dans mon chargeur
tu m’as vu sorti d’nulle part comme le soldat inconnu
prêt à proser, poser, doser, causer danger, yeah, yeah, yeah
dans l’18 c’est l’armée des neufs, aimez c’danger
des putains d’combattants, toujours dans les temps
bataillons délite cric-cric, bam-bam clic-clic
m-ssive et précise t’claque ton système auditif craque
les faux réservistes craquent, et mon mic braque
on a pas seulement l’treillis mais la gueule de l’emploi
jamais à découvert sauf à ma banque à la fin du mois
technique ancestrale, mec, transmise par mes pères
tactique lyricale qui s’ressent chaque jour dans mes vers
j’ai tout laissé d’coté pour ne pas m’faire faucher
je sais très bien qu’j’ai rien à perdre, seulement tout à gagner
on est des soldats, putain, on fait pas semblants
et sache que quand on tire, mec on l’fait jamais à blanc
j’ai pas pris neuf balles mais moi, j’encule 50
j’ai des blessures qui font bien plus mals qu’un 22 long rifle
– kema
eh yo ! j’ai commencé d’bédave à seulement onze bougies
j’tiré deux lattes et j’toussais, dix s’condes, tout était groovy
j’te l’confirme, les conséquences s’ressentent dans chacune de mes glaires
donc je t’éclaire, j’peux te descendre un beuz en deux s’condes flash-éclaire
quand qu’j’roupille, la toux et l’ronflement causent un bourbie
pourtant quand on m’disait plutôt d’t’taper une bonne vieille groupie
mais c’est mon vice, j’m’enfume de thc à chaque cuite
mon pote s’énerve ensuite quand son p2 devient p8
mais c’est plus fort que moi, tout ça m’pousse à bout ça mousse salement
et puis la clope me refile l’haleine d’un berger allemand
donc on m’a dit que pour les filles, comme un con dans la file
d’un bureau de tabac à voire les minutes qui s’empilent
le beat part pour les bboys dès le départ
pousse toi baisse toi avant que le coup parte
tout partout par coup les rimes pètent, bam
v’là le mec barge de m-rs-ille à bès-bar
noir est ma colère, j’ai tout pour tuer
pas d’style frime en style-free j’rappe et vie pour m.s.d
– dady.s
j’vis comme un sale citadin mais j’me rends pas compte de ma chance
té-ma l’change le beat rend dingue, un spliff, un feat des balkans
j’déballe quand l’instru tape un clic et t’as pas l’temps
truc incurable t’procure tant d’sensas mais sans cure-dent
mais pourtant, quand t’imagine être un type important
s’comportant comme tous les autres hostile j’rappe à bout portant
le missile est ti-par j’finirai pas comme kenny
pour un penny, ça s’tape tous à table voici l’p-n-s
j’brutalise ta playlist deuspi kick dans l’hélice
d’l’hélico prend l’dico pour confirmer c’que j’dis
keus-dix, il fut un temps, maint’nant les putes attendent
les ingés d’maint’nance stressent j’roule un keu-sti
histoire d’oublier, même plier mes valises sous mes yeux
des balises nocturne dès qu’tu balises
j’suis pas trop balaise, d’la tise dans mon haleine
faut qu’j’respire, c’est la merde, reste dans l’darkness
quand ça claque laisse la caisse faire le reste
on acquiesce d’vant nos rêves
mais l’facies pose problème
– provok
j’-ssure là où j’atterrie, respire comme j’lâche des lignes
sur le qui vive, marche là où d’autres ont péri
18e sali mecs sereinement dangereux
si c’est du putain d’rap on est surement dans l’jeux
lyrical terroristes pété au teu-chi, à la bière
ta mère qui m’suce ma bite, tu lèves pas ton verre à la mienne
c’est pas la fête, on danse d’la tête et des mains
sur du sale rap parisien, le reste on verra demain
mutants du béton, on lâche pas l’steak, laisse bé-ton
le genre de mec qui s’sent bien trop fons-der dans la pénombre
les rêves s’effondrent, les bays se font, les glaciers fondent
les trucs se font et toi t’es là et t’as pas d’réponse
c’est trop d’raison du genre l’temps p-sse, faut pas qu’tu pètes un câble
heureus-m-nt qu’tout va bien lorsque tu pètes un flash
tout pour tuer, oxad, h.d.i., tous mes gars
75018 c’est tous les gars
– leader trice
ça y est j’m’installe au micro, 09 y a rien d’nouveau
toujours la dalle toujours les crocs
viens par-là faut qu’on cause
là c’est freestyle dans l’d’18 donc c’est la merde rien a changé
sauf que là j’ai tout pour tuer meurtre en série y a danger
a part ça là où j’habite, ça s’débrouille pour encaisser
la thune, y a l’illicite, ça rapporte plus que d’être caissier
l’argent ça nous excite comme sharon stone qu’écarte les cuisses
fait péter l’son dans ta caisse, tout pour tuer, tu peux pas teste
j’suis pas un mec de tess, j’ai pas b’soin d’ça pour kicker sec
jamais dit qu’j’étais le best, si tu parles mal, je te baise
vas-y man bouge ta tête, vas-y girl touche ta schek
wesh les keufs, j’ai rien fait, rendez-moi mes lacets
toutes ces les lois, ça m’fait chier, les amendes, c’est trop cher
surveille bien ta chérie si ça s’trouve c’est une chienne
comme la vie que l’on mène, comme cette fille que t’aimais
maintenant c’est la mienne, ouais c’est moi qui lui mets
t’as qu’à te jeter dans la seine ou sous les roues du tro-mé
technique parisienne tu pourras pas te louper
– d.a.d
que dire de plus qui n’a été évoqué révoqué
ils ont anéanti nos rêves, ok
auxquels j’ne perçais à travers l’mirage
mais la réalité trash vers mhyra
très vite m’irrite, mairie 18 né acculé, sans air
a être sans cesse censé, ils veulent qu’on s’enterre
j’te jure j’pourrais pas fêter l’centenaire
j’ai plus d’souffle mais j’vais pas m’laisser aller sans t’nir
ça va sans dire, donc on va s’en t’nir
a rester propre car la merde je la sens v’nir
suis-je en train de faire fausse route
p’t’être bien que j’déraille
ouais p’t’être bien que j’aime bien les fausses rousses
j’les vois dans la merde par effet d’troupe
ça donne son trou, une éthique qui s’troue fière d’être au trou
il s’trouve que je délire, jeux des rimes
mais au moins c’est ma pensée que je dirige
on dit que la roue tourne mais la routine, le tournis
c’est ça qui fait que les gens se retournent les autres aux uns
ils sont trop simples, et ceux qui s’sentent trop saints
esquivent sans trop s’interposer
– kholer
où qu’t’as vu qu’dans la piéce y aurait aucun niveau
rap sale, du nouveau où les gueusch foulent le caniveau
qu’est-ce tu veux qu’j’te dise d’autre regarde bien mon teint
drogues, skhy, mic, keufs, en attendant j’en démonte un
démarche cramée donc les dek. me guettent, p’t’être
obligé je marche avec le tier-quar dans la tête
guidé par ma paire de de air jordan
j’vois entre les doigts j’ai l’impression que j’gère à ‘dam
poch’ton d’weed sous l’habit par l’odeur imbibée
les p’t-tes putes qui m’la fument ne font que me biper
on peut pas vivre bien dans c’pays sans faire de l’oseille
autant être rappeur-dealer qu’un paysan, rhey
tout comme vous, j’représente plus de cent fous
substances, on s’en fout, l’état, politiques, tout ça on s’en fout
si t’apprécie bien notre tripe, tise à la notre
f-ck les putes qui pour un feat. te f’raient un striptease
– salo
ça y est, j’ai compris j’ai résolu la question
peut placer un f-ck à risoli au magasin d’la but
mais l’heure indique que non
tonton donc paie vite ton addition
avant qu’on laisse un bref et qu’on ne revienne à la question
mais à qui est-ce donc la faute si tu es dans le zef
est-ce à elle, aux autres si ça part à la renverse
non, je serai toujours là, si tu te vautres je ne rirai pas tout bas
une autre question, est-ce que ça suffira ?
y en a des tonnes comme ça
des réponses qui changent avant qu’tu t’poses les questions
donc si tu t’élances, pense à la réception
– tysho
instant chaotique avec ma voix sur la rythmique
personne ——————————————— car c’est trop tragique
mon district a le peu-ra hardcore, voir inaudible
j’écrirai plus de textes qu’il y a de versés dans la bible
on a l’horizon si proche, qu’on a l’impression d’vivre enfermé
chaque jour on pense à s’faire la belle, mais la pute a les jambes fermées
mon 18e est sale et fait gaffe si t’es pété
et les rhouy d’m.s.d. trop nocifs pour ta santé
le round est entamé t’as pas fini d’encaisser
des rimes acérées qui n’ont pas fini d’te faire morfler
mec réveille-toi, la réalité devient une fiction
les schtars me c-ssent les couilles, j’vais au comico
c’est téléphonne maison
là, j’appelle où certaines têtes peuvent te paraitre louches
té-ma l’cracker, deux s’condes plus tard
te v’là avec une pompe dans la bouche
– numa
a c’t’heure ci j’suis là mec, j’représente ça
m.s.d. mon équipe avec qui j’me fous ça
même si j’suis pas à la hauteur de certain
j’vais leur montrer de quoi j’suis capable
d’rentrer sur freestyle
même si j’suis pas many j’représente à main nue
putain, il me faut le butin
pour niquer ces catins, dès l’matin
ici-bas l’mal m’atteint
comme dans l’sablier tu vois bien qu’j’ai pas l’temps
j’représente à plein temps
maint’nant tu sais bien qu’j’suis partant
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