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on verra plus tard - mentalités sons dangereux lyrics

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– davodka
dans c’monde on voit qu’des cœurs qui s’vident
la preuve, j’ai d’la rancœur, si j’rime, maint’nant, tu sais c’qui m’brise
même si j’ai plus l’temps pour des pleurnicheries
j’suis qu’un squatteur de banc qui boit pour s’enterrer
car j’ai pas eu besoin d’faire l’armé pour voir mon statut s’dégrader
j’veux plus grimper dans l’rap
comme ça tu m’diras pas qu’j’me bats pour la maille
vu les valises qu’j’ai sous les yeux
il s’rait p’t’être temps que j’me f-sse la malle
j’emmerde la ‘caille, j’me les caille donc y a d’la c-sse quand j’suis déker
j’atteindrai pas le 7e ciel parce que ma place se trouve six pieds sous terre
si j’utilise des termes qui t’choquent
c’est que cette vie m’enterre, m’emporte
j’m’accroche à mes potes car j’reste fier en faite
je n’ai que de la peine en stock
en fait dans c’texte, en scred, j’m’entête à t’décrire cet enfer
j’me perds dans ma tête, dans une tempête
et sans combler l’temps qu’j’perds
j’encaisse mais bon, j’emmerde tous les bureaucrates
c’est pour ma mère qu’j’ai l’plus grand trac
quand j’vois qu’des mecs carburent au crack
té-ma les rues qu’on squatte, quand on débarque
les keufs appellent les renforts
a croire qu’la taille de paire de couilles d’un keuf s’observe au microscope
on pète les portes sans surprise, si t’aimes les porcs, on t’supprime
plus j’trime plus j’vois que si tu touches à mes potes, c’est sûr j’crise
faut survivre, y a que dans la tise que j’vois ce brin d’espoir
ça craint n’est-ce pas ? y a pas d’autres issues
voilà la fin d’l’histoire

– refrain (davodka / salo)
ici parle pas d’av’nir, les jours à v’nir sont comme un froid d’décembre
car t’es moins sûr d’finir / en fac de droit que dans une flaque de sang
et qu’t’as deux sens / t’avance dans l’vice sans savoir où ça t’mène
la tise ça désaltère, moi, j’pose mon son toujours armé d’sales thèmes
ici parle pas d’av’nir / les jours à v’nir sont comme un froid d’décembre
car t’es moins sûr d’finir / en fac de droit que dans une flaque de sang
et qu’t’as deux sens / t’avance dans l’vice / sans savoir où ça t’mène
la tise ça désaltère / moi, j’pose mon son toujours armé d’sales thèmes

– salo
on change pas une équipe qui gagne
y a pas d’places sur l’organigramme
ça s’frac-sse le crâne avec c’t’amalgame
crame les grammes de la marijane, mais rien ne me calme
même la marinade pourtant quel bon mariage
tel père tel fils, on s’noie pas dans la sangria
mais moi, j’veux pas finir coincé à garder ces grillages
on verra bien comment mon futur, lui s’écrira
pour pas changer, je reste le même avec les mêmes cris d’rage

– d.a.d
je recherche c’qui est perdu, ce détour me perturbe
ça d’vient fou, hyper dur mais rien à foutre, je perdure
le mental, mon armure qui a déjà trop murit
voir pourrit, pas loin d’mourir car le mur est l’maque d’amour
j’cours après c’qui est parti pour recoller les parts p’t-tes
pour pouvoir repartir, ensuite bâtir c’qu’on n’peut aplatir
mais l’tout m’échappe, l’atout, j’ai ap
faut rentrer dans les rangs, déranger me touchez ap
p’t’être rebelle, mais sûr, battant
j’lâch’rai pas, j’ai pas l’temps mais faut qu’tu partes « vas-t-en »
alors on veut l’même délire mais avec c’que j’aurai voulu
plus l’temps d’se démolir, il faut s’construire, qu’on évolue

– refrain (davodka / d.a.d.)

– zeuta
moi, mon av’nir, à l’horizontale, six pieds sous terre
entre quatre planches, j’t’avoue y a pas de quoi en faire la fête
tu vois j’en perds la tête, content si j’vois demain
demain c’est loin, j’ai pas la main et puis mon espoir est bien mince
et tant pis mec, la france n’est qu’utopie
j’ai l’av’nir d’un gars qu’est pas coureur de fond en ethiopie
j’ai compris et j’en deviens complètement maboule
j’ai tellement pas d’futur que ma voyante en perd la boule
ah bon ! vois-tu j’abats les tabous
et je ferai pas long-feu comme un gi en plein kaboul
c’est pas cool alors je flatte mon égo
tu demandes un peu d’soutient mais qui te répond, ton écho
le monde est con, voilà la mort qui fait sa maligne
j’ai l’espérance de vie d’un grain d’riz en somalie
j’ai ma ligne direct-direct avec mon av’nir
mais bon, il m’voit v’nir, il m’dit « laisse-moi tranquille, fais ta vie »

– refrain (davodka / zeuta)
(davodka / peyen)

– peyen
si tu permets pour l’av’nir, on verra plus tard
qu’ma vie soit un présent, j’m’en suis rendu compte un peu tard
a.v.e.n.i.r. 6 lettres qu’engendrent chez moi, tout un tas d’maux
d’ici là, faut que j’roule ma bosse comme un chameau
le pire est à v’nir si j’m’en tiens à c’qu’on m’annonce
mon futur ne p-sse pas qu’dans l’choix de p’t-tes annonces
mais j’avance sans jamais savoir c’qui m’attend demain
la peur au ventre mon frère mais surtout, la peur du lend’main
et quand j’y r’pense, c’est sûr qu’ça m’fout les boules
et elles sont pas en cristal, nous on vit pas à la cool
et j’encule ces bâtards qui, genre, prédisent l’av’nir
c’est pas madame soleil qu’avait vu l’réchauffement climatique
avec ma clique, p’t’être qu’un jour, on f’ra l’olympia, inch’allah
dieu seul sait c’qui nous attend ici-bas
d’ici là, on s’débrouille, on vaille-tre, depuis l’début on s’débat
les embrouilles, la lèr-ga, y a les hauts, y a les bas
bad boy, ton vécu, c’est la prison ?
alors choisi où tu vas et à l’av’nir, fait attention
retour vers le futur mais moi, j’en parle trop peu
penser à la vieillesse, c’est sûr, ça m’rend soucieux
faire des projets sans thune, putain, ça fout l’cafard
alors si tu permets, pour l’av’nir, on verra plus tard…

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