épouvantail - mani deïz lyrics
[paroles de “épouvantail” ft. hartigan]
[couplet 1]
je n’combat pas avec la force du nombre
ils veulent la vie éternelle
je leur souhaite une mort encore plus longue
et qu’importe si le salut n’est plus disponible
j’avancerais vers les grandes fosses en sifflant du phil collinsj’en esquive mais les coups qu’j’reçois sont innombrables
et quand j’écris c’est pas la lumière qui guide mon bras
je chante comme un d*mné, j’rap comme un guerrier sith
et j’mérite l’indépendance comme un frère des îles
prendre du bif n’est qu’une question existentielle
j’viens rendre justice comme un fléau d’l’égypte ancienne
cette parole j’aurais pu la croire
mais j’déambule dans cette vie
comme un prêcheur qui n’a plus la foie
j’entends les uns dire des autres qu’ils sont fautifs
je porte en moi la méfiance de mile complotistes
je ferais l’effort de ne pas passer par quatre routes
on m’a donné d’la force j’ai quand même sorti un sabre rouge
[refrain]
je suis peut être là pour supporter l’insoutenable
et on ne soigne pas ses plaies avec des douze ans d’âge
je ne crains ni la solitude ni les coups d’lames
je suis planté dans la boue comme un épouvantail
je suis peut être là pour supporter l’insoutenable
et on ne soigne pas ses plaies avec des douze ans d’âge
je ne crains ni la solitude ni les coups d’lames
planté dans la boue comme un épouvantail
[couplet 2]
le fond d’un cœur n’a pas la couleur blanche d’un blizzard
et j’n’égalerais jamais mon père comme son goten
si tu veux m’joindre utilise une planche de ouija
j’finirais peut être les artères à l’air libre dans une chambre d’hôtel
je n’envie ni les puissants ni les sportifs
j’trouve une armée d’hommes pieux pour affronter mon exorcisme
entre les envieux et les faux frères
cette vie ne m’a pas ouvert les yeux
elle m’a tranché les paupières
lorsque la nuit tombe paris c’est tchern0byl
ici plus rien ne pousse frère
j’arrive des terres maudites
c’est la grande citée des rêves qui te les prends tous
et nos gosses verrons s’éteindre la grande ourse
mieux vaut voir ça que de perdre se yeux
[“quand” ? à 2:08] certains les remplaceraient par des pierres précieuses
comme personne ne veut savoir ce qu’un homme fier éprouve
j’attendrais que la terre s’ouvre et que le ciel s’écroule
[refrain]
je suis peut être là pour supporter l’insoutenable
et on ne soigne pas ses plaies avec des douze ans d’âge
je ne crains ni la solitude ni les coups d’lames
je suis planté dans la boue comme un épouvantail
je suis peut être là pour supporter l’insoutenable
et on ne soigne pas ses plaies avec des douze ans d’âge
je ne crains ni la solitude ni les coups d’lames
planté dans la boue comme un épouvantail
planté dans la boue comme un épouvantail
planté dans la boue comme un épouvantail
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