linguistyx - maestronautes lyrics
[verse 1: biliwald]
la forêt est dense plus j’avance plus le sentier s’empire
j’arborais l’aisance mais on y entre sans trop y consentir
il faut qu’on s’en tire à tout prix qu’on emprunte les raccourcis men
quand on p-sse les rats courent vite
même nu pied sous l’orage on rêve de gravir la montagne
ravi de vivre loin de la rue des braves ok ouais je vais garder mon calme
tout semble insurmontable vue du bas de la falaise
dépourvu de repère seul face au destin qui s’affaisse
fuck ça pas à pas je fais mon chemin je p-sse j’emmerde les contraintes
je pensais qu’on avançait mais ça a donné le contraire
mes erreurs sont concrètes mais pardonne moi je me confesse
je rap pour pas que la cause se perde et pour qu’un jour les cons se taisent
sentier ou pas jusqu’à la cime jusqu’à mon dernier souffle
j’aurai fait résonner ma voix avant que le porte vers les cieux s’ouvrent
besoin d’aide besoin d’être moi-même to the end
la pente est raide j’ai fait un choix comme dans tout dilemme
[verse 2: interogene]
un olympe comme l’était rome, interogene je me nomme
une plainte qui résonne, dans l’enceinte, scène aux hommes
la cité est belle mais morne, comme un film au style leone
de la tour de babylone, les sept merveilles sont moins énormes
j’ouvre l’œil avide au soleil, pyramide et l’or qui sommeil
guide les hommes à l’éveil, car seul les sommes d’argent paye
harem d’amertume et de haine, sur les dunes de jérusalem
ainsi sont les rêveries d’un bohème, et ses requiem
dans les ruines de pompéi, homologue à mon pays
je pense aux ordres et récidives, aux p-ssions qui brûlent vives
hérudit des grands chemins, j’étudie le genre humain
parallèle à l’hellénique, au maintient des rhétoriques
17 siècles et des poussières, sans une sieste de lumière
le phare étale ses rayons, d’alexandrie à outre-mer
oh fond terne de jouvence, l’heure se compte et se dépense
excentrique dépendance de grandeur et décadence
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