journal de quêtes - luther (lutherantz) lyrics
[paroles de “journal de quêtes”]
[couplet 1]
j’accorde plus trop ma confiance, un sourire, t’sais pas c’que ça cache
on vient prendre la température, deux*trois snaps et on s’arrache
quand j’les vois, moi j’me la racle, tmtc qu’on s’refait pas
elle était moche ma vie, quand on trainait l’soir et qu’on s’levait pas
j’ai du zèle pour les mauvaises choses, l’apparat, ces cinq ans y avait qu’elle
rendez*moi mon temps, j’ai trop la rage pour essuyer ma peine, j’ai quelques lingettes qui traînent
la flemme de passer l’permis, j’restais ‘vec la plaquette qui freine, oh lala
fallait voir ma tronche, quand j’ai fait mes premières thunes
j’ai pris un dix meujs, une paire de baskets, j’ai adopté nouvelle attitude
j’suis passé de squatter le vieux banc à tartifume
à m’faire sé*uc par des népos, des bourgeois avec des noms à particule
[refrain]
ils pensent savoir c’qu’on a dans les yeux
mais ils l’sauront jamais c’est comme ça
j’pouvais die, briller, j’fais les deux
j’fous le feu pour casser les nœuds
ils pensent savoir c’qu’on a dans les yeux
mais ils l’sauront jamais c’est comme ça
j’pouvais die, briller, j’fais les deux
j’fous le feu pour casser les nœuds
[couplet 2]
kid, j’trouvais pas grand chose d’archi lourd, seul, ma mère m’a acheté mon pc, c’était archi lourd
sun, k!ll sur k!ll, j’ai une enfance digitale, j’me canne devant l’ordi ‘vec mes digi*balles
faire le bien ça fait s’sentir mal, j’veux bien prendre 20, 50, 100k chez bolloré
mais j’me trouverai quand même honorable, d’pas m’sentir honoré
tout est gris, rien n’est coloré, qu’est*ce qu’on s’fait chier, sa mère
c’est souvent du toc si les rêves qu’on t’propose sont trop dorés
porter le poids du vide, ça te donne un mal de dos, ça m’fait mal au cochi
c’est qui le mec qui chiale dans le studio ? même quand fait beau, j’irai porter des habits chauds
j’aimais déjà pas la lumière, déjà petit j’me cachais sur les vidéos
[refrain]
ils pensent savoir c’qu’on a dans les yeux
mais ils l’sauront jamais c’est comme ça
j’pouvais die, briller, j’fais les deux
j’fous le feu pour casser les nœuds
ils pensent savoir c’qu’on a dans les yeux
mais ils l’sauront jamais c’est comme ça
j’pouvais die, briller, j’fais les deux
j’fous le feu pour casser les nœuds
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