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monde libre, pt. 2 - lucio bukowski lyrics

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[paroles de “monde libre, pt. 2” ft. oz, mysa & mani deïz]

[couplet 1]
zéro dose, pilule rouge, on connaît les chiffres comme les nécrologues
compas, grimoire, k!llu’ à vie, j’raconte l’histoire comme hérodote
ce monde n’est qu’un asile à ciel ouvert, j’contemple ces n*z*s avec leurs coups bas
contre la matrice, les ai découverts, mais la masse n’est pas prête pour le coup fatal
conditionnée par les tendances, les médias, les conflits, les on*dit
les poncifs, les comptines, les tromperies, les conneries, la peur construite dès la plus tendre enfance
monde libre, j’vois la marque du sheitan partout
dans l’œil du cyclone, on prend que des disquettes, des cartouches qui sonnent, j’me sens paro comme gibson
la vérité coûte cher, ferme les yeux en gucci
j’connais les coulisses depuis l’irak, depuis busch père, belek à tes organes si, ton toubib, c’est kouchner
demain, c’est loin, mais je n’ai plus le temps d’attendre, je rêve de voir
grand embras*m*nt et jour de gloire, [?] leur monde, je n’en rêve plus
on est des milliers, des millions, à vouloir l’éclaircie, leurs milliards vont rien faire
dieu merci, c’est la même route avec grosses jantes vingt*cinq pouces sur le corbillard
élévation gaspillée, grave d’échéances brûlées [?] sacoche
génération sacrifiée par les écrans, j’suis c’vieux con qui [?]

[couplet 2]
fils de barbare dégueulasse au cul d’l’europe qui s’protège des tentations d’l’antéchrist
et, vu l’nombre de fils de pute dehors, élever ses enfants dans l’amour, c’est pas leur rendre service
un*deux, un*deux, est*ce le bon c*n*l ? est*ce que mes propos sont cond*mnables ?
j’fais l’effet d’un tony montana, pourtant, j’mets que des p’tits coups qui ne font pas mal
crache pas sur marianne si tu t’caches sous sa jupette
quand j’les vois pigner, dans ma te*tê’, j’écrie “youpi” comme un youyou qui dégaine la calculette
j’fournis pas la colle pour l’étiquette, j’aime donner la migraine aux skinheads
le seul poster dans la chambre de mes fils, c’est un putain d’tchétchène avec des mitaines
multiples traumatismes salutaires, libre comme mon prénom, c’est factuel
j’suis bon qu’à rater l’coche et ça m’perturbe, mais j’reste fort comme le hercule de [?]
té*ma’ leurs gueules quand j’dis qu’j’vote as*p’, manif’ de pauvres, j’brandis l’portable
les mioches rêvent d’avoir l’empire d’sosa, pourquoi pas uber dans l’trafic d’organes ?
monde libre au bar, moi, j’trace ma route, j’absorbe comme cell
même marc dorcel plaint les p’tites wejdene dans les chambres d’hôtel des saoud’
des grosses lopettes s’érigent en faux prophètes, des flics provoquent et touchent la cotorep
pensent pouvoir nous gruger, mais y’a pas meilleur juge que l’chronomètre
[couplet 3]
j’pose mes valises sur le parvis d’leurs pensées malsaines et leurs mœurs que leurs procès valident
leur centre névralgique a une encéphalite, on n’a pas l’même dieu, leur symbole est phallique
j’suis un français pas libre, lucio, oz et mani, fallait bien qu’les astres osent et s’alignent
j’viens poser ma ligne, j’suis v’nu poser la lead sur leur propagande fausse et maline
quand leur liberté abolissent tes principes pour que tous se croient libres comme des femen
j’suis pas choqué d’voir la police être ainsi, protéger c’qui nous guide vers les ténèbres
amour éphémère dans la dopamine qui nous contamine jusqu’à laisser faire
une année sévère annonce une famine, bientôt, l’fentanyl sera nécessaire
quand la raison s’enivre, ce monde devient chiant comme une prison sans livre, comme une maison sans wi*fi
des parents aliénés t’font des enfants livides qui changeront en crypto toutes leurs rentes en liquide
un trafic d’humains en leasing à l’usine, quand les egos se forgent un physique abusif
la fin d’l’humanité, j’en vois les signes, j’hallucine, j’appelle ça “la liberté” si t’apprécies ma musique
on mériterait des roses, on nous sort des flingues et, si on s’fait justice, ils vont porter plainte
ils te parlent des lumières, ils ont la torche éteinte, te plaquent au sol comme la bac avec une forte étreinte
on reste forts, n’aie crainte, la dure vie qui nous amène à éclairer ce que leurs troubles enfantent
on a commencé seuls mais avec conviction et sincérité, au final, on se retrouve ensemble lors des mouvances

[couplet 4 : lucio bukowski]
j’veux que d’l’amour mais ça peut coûter cher, pense au corps d'[?] dans une ruelle d’oran
néofascisme sur toutes les chaînes, nouveaux prolétaires noyés dans le torrent
la bourgeoisie, c’est le vol ; mai 68, c’est le cachet de ghb
glissé dans l’verre du peuple, classé sans suite, c’est l’histoire que l’on s’est acheté
publicitaires et intellectuels, le fruit du travail n’est que résiduel
vraie liberté derrière verrou sans clé, la subversion est bien subventionnée
détruire collectif pour chacun jouisse, bsahtek à rothschild et pompidou
les dos se pètent à cinq heures à rungis, ils noient le poisson dans des conflits troubles
extorsion de la plus value, ils préfèrent ludique dans le boomeur
l’impérialisme a remporté la lutte, nous a baisé fort comme accords de blum*byrnes
que des lardus, que des grands enfants, initier mondain loin des grands ensembles
ricane doucement dans des réseaux d’entente, agite des mots, c’est macron qu’on enfante

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