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horde sauvage - lucio bukowski lyrics

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[paroles de “horde sauvage” feat. nedelko, double a & casus belli]

[couplet 1 : lucio bukowski]
j’vois clair, même avec un œil qui part en couilles comme dalida
moitié savant, moitié bordel, appelle*moi “steely dany dan”
ouais, ouais, ouais, paraît qu’le rap éjacule sur toutes les lèvres
ça ne sauveras pas ton âme, ça la rendra plus célèbre
j’bois des vedettes pour ne pas en être une
branche la tr*808, que je rappe en étrusque (ha, ha, ha)
tu bouffes le cul d’la fame pour qu’on te reconnaisse
tu t’fourres le doigt dans l’œil jusqu’à ta fausse rolex
j’pеrdrai toujours mieux qu’ils gagnent, j’baiserai toujours miеux qu’ils rappent
resterai toujours ce quidam, horde sauvage comme peckinpah
ne décline pas, je me transforme et compose des chefs*d’œuvre dans les transports, mec
chaque nouveau son me rend plus vivant ; le temps d’ton pilon, j’ai rappé l’suivant (oh)
millions d’vues, se croient légendaires, moins proches de hulk que du géant vert
nique ton jack, je n’bois qu’écossais, ta p’tite carrière se f’ra dégrosser
leur champ d’conscience est si peu large qu’ils rentrent partout sans lubrifier
en musique comme en levrette, leurs conquêtes sont tarifées

[pont : nedelko]
j’f’rai pas du boom bap de bière chaude, d’la p’tite variét’ de pierre claude
j’ai trente albums dans l’icloud et ce s’ra jamais la même chose
ils f’raient tout pour se démarquer, sont balourds comme des semi*r’morques
moi, j’f’rai partie d’ceux qu’innovent, casablanca, mac demarco
[couplet 2 : nedelko]
j’venais à peine d’entrer dans l’biz’, ça sentait déjà la bonne baise
on m’a dit : “on aime les gentils, on aime ceux qui maillent, ceux qui s’taisent”
et j’entendais : “mais c’est qui, c’mec ? il jouera juste dans des p’tites smac”
nous, on reste avec ceux qui captent, on n’ira pas ganter l’bifteck
j’vais pas danser d’vant des blockos ou sur un ring comme iam
ils parlent de caillasse, de moula, mangent des chips, du coraya
oh my god, grosse banane, faudrait s’remettre au travail
arrêter d’regarder les autres en buvant du coca light
leur musique, c’est qu’des borborygmes, veulent gagner comme apollo creed
moi, j’veux pas d’fame et pas d’accréd’, j’veux juste que ça soit corrosif
pur produit d’label qu’on caresse, on t’prend ton buzz, on t’nique ta race
on chauffe le fer, on t’marque la fesse, puis fonky flav fait la paperasse
et, en vrai, j’trouve ça marrant parce que j’peux tout voir avant
c’est la course à la blanche, ils aiment la poudre, l’avalanche
ils attendent poutre apparente, ils rêvent de pouvoir, d’argent
mais que d’l’esbroufe pas d’talent, des fils de mouchoirs à branle’

[couplet 3 : double a]
j’suis monté dans mon corps d’emprunt, j’ai branché l’ble*câ’ dans la nuque
j’conduis des tanks sans frein, j’me désaltère direct au gazoduc
j’dépense mes forces en vain, je fais des efforts sans fin
pour ne pas m’tromper d’destin, j’tue des bes*ver’ au cro*mi’, ça m’occupe
j’suis sous la douche dans l’airbus, j’ai fumé la kush d’herbe pure
jamais on s’crash, comme hélicoptère russe, toujours on s’cache dans bermudes
toujours on plane, on s’perd plus, on s’allume, on came le plexus
ils sont dans l’crâne, ils errent juste pendant qu’la douane me flashe vers mercure
mais ma plume est pas matriculée, donc on peut pas la calculer
toujours je cherche le butin, mais je parle pas du panamera coupé
ce pe*ra’, c’est un autodafé ; ton pe*ra’, c’est un feu de bottin
font que s’insulter comme deux frangins, te parlent que d’leur maman qui veut s’accoupler
le navire est coulé, on fait que de truquer l’scrutin
le tapis déroulé souillé, sorry, plus j’connais l’code, plus j’l’enfreins
ils veulent me rouler, sniffer, fumer, piquer, sucer mon groupe sanguin
ils ont l’air étriqué, fliqué, flippé, plus j’connais l’homme, plus j’le crains
[couplet 4 : casus belli]
c’est le c, c’est le b, on va célébrer
sur l’trottoir, j’ai vu ma carrière entourée à la craie
renard blanc, j’ai les crocs, dis*moi, ont*ils le cran ?
ça fait longtemps qu’on pratique ce rap, juste, s’te plaît, comprends
j’suis l’rappeur multirécidiviste, va taffer tes putains d’rimes et réviser
on aime trop se tirer d’ssus, la vérité, se diviser
f*ck la télévision, dis*moi qui croire, fabrice di vizio ?
j’me suis fait r’foule d’une soirée où j’chantais : “big up au physio'”
t’as rien vendu, c’est navrant, ta gueule, c’était pas mieux avant
t’as dépensé ton avance, j’m’assois pas derrière, à l’avant
d’la vago, j’suis l’pilote, j’écoute la radio quand j’suis aux chiottes
j’suis pas prêt d’m’arrêter dans c’rap de merde, frérot, j’suis l’vioc
le vieux qui veut pas lâcher, depuis neuf*six, j’ai l’air chaud
qu’est*ce tu [?] ? tu chouffes, c’est du grand cru, une recette tah les chefs
on t’jette ta mère, on s’en bat les c’ de l’amérique
on rappe en indé’, on n’attend pas les thunes de la mairie
on t’jette ta mère, on s’en bat les c’ de l’amérique
on rappe en indé’, on n’attend pas les thunes de la mairie

[outro : casus belli]
bah ouais, ma gueule, c’est le c, c’est le b, aight
tu l’sais

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