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4 décembre - limsa lyrics

[paroles de “4 décembre”]

[couplet 1]
heh
limsa, j’suis né l’quatre décembre, cerveau o.k. mais coeur h.s
faut pas m’presser j’sors que l’feu la détente
comprends que l’daron dit qu’j’ressemble à une gâchette
j’viens d’un quartier bre*som, viens pas nous faire d’leçons
trouve*moi posté vers le fond, chaudar car les 3/4 d’mes frères le sont
tout s’passe comme prévu s/o ?, on s’amuse avec des trucs tout pourris même
on f’sait des douze contre douze sur des terrain qu’étaient prévus pour huit mecs
toujours un ado ton grand corps te l’rapelle
six du mat’ y’a les renforts que t’amènes
t’as fait du mal et tu regrettes à présent mais à seize ans t’écoutes bien plus la mort que ta mère

[pont]
hier ressemble à demain, hier ressemble à demain
hier ressemble à demain, hier ressemble à demain
hier ressemble à demain, hier ressemble à demain
ah han

[couplet 2]
limsa, j’suis né l’quatre décembre, j’sais pas quand j’vais caner, ça m’rend vraiment paro
de plus en plus de keufs sont derrière, de plus en plus de frères sont derrière des barreaux
toi, fais c’que t’as à faire, j’te calcule pas t’es comme un riz sans sel
la mère de ma mère elle est presque parfaite car elle m’a tout appris, gros, sauf à vivre sans elle
mes yeux j’passerai pas ma vie à les baisser que j’marche dans un quartier ou dans les allées aisées
capuche casquette comme si j’allais dièzer, quand j’rangeais ma chambre c’est qu’j’savais qu’j’allais baiser
les meufs j’aimais pas les blesser, un don juan a filé car j’étais v’la l’filou
et quand une beurette me crame avec une autre beurette, j’lui fais croire qu’c’est ma sine*cou, (woof)
[couplet 3]
heh
limsa, j’suis né l’quatre décembre, d’puis ma naissance j’côtoie tout un tas d’gens sombres
j’viens d’aulnay, d’asb, du 9*3*6, j’sais qu’tu l’sais connard, j’le répète dans chaque chanson
j’veux du caviar pas du pain rassie moi, j’vais être le boss pour toujours, ?
j’ai regardé trois, quatre films de yakuzas, j’voulais m’faire tatouer un dragon par un chinois
quand j’me réveille j’ai l’bareau, nos p’tites teufs elles d’viennent paro, (woof woof)
elles veulent quitter la tess’, partir en week*end à rome comme etienne daho
fréro nous ? des tours qu’on s’est fait, j’compte plus les drames et les coups qu’on cédait
nos mères versaient des larmes, nous comme des connards c’était les cours qu’on séchait
s’faire péta à six du mat’, quel sort cruel, t’es bg mais t’es détruit quand tu sors du hebs
bracelet électronique pour t’localiser, dis*leur qu’on est des rebeu pas des tortues d’mer
moi j’y arriverai j’te ment pas un peu, des frères nous ont quitté
dans chaque prière je pense à l’un d’eux, t’façon gros ça qu’hier ressemble à main*de

- limsa lyrics

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