palette - leib (fra) lyrics
[couplet 1]
tu commences à capter, on fait rentrer l’bénéfice
j’suis qu’un hérésis depuis nero nemesis
c’est la (?), que du ce*vi dans ces kiss
connais pas les risques, et la mort est dans les disques mais bon
il suffira pas d’une leçon, j’suis en île*de*france, sur un bus de son
elle a plus de sens, elle veut plus de seins, j’me suis fais tout seul, ouais tu vois l’dessin
nique la voisine d’en*dessous, elle dit que j’fais trop bruit et ça m’rend fou (c’est une lope*sa)
paris c’est la ville du son, paris c’est la ville des sous
j’peux pas supporter taffer au bureau, tous ces connards ne jurent que par les euros
comprennent ni ma vision ni mon art, voient pas l’travail et les heures dans le noir
ils rient de moi, j’me prive de toi, j’me casse la voix et j’perds la tête et j’perds la foi
[refrain]
pendant que la ville dessoûle, sur les artères, par terre, d’autre vont faire des sous
parfois j’me dis qu’est*ce tu fous ?
ces temps*ci j’encaisse du doute
qu’est*ce tu fous ?
parfois j’me dis qu’est*ce tu fous ?
ces temps*ci j’encaisse du doute
mais qu’est*ce tu fous ?
perdu dans le vide du gouffre
absence de goût, mais qu’est*ce tu fous ?
[couplet 2]
j’me trouvais chelou, j’ai fait mon chemin comme un jeunot
quand j’parlais d’ma zik j’étais gêné, à la vie de merde j’suis enchainé
c’est nous les nouveaux visages de la musique
du talent, du travail, faut d’la réussite
que des hypocrites, des conneries lucides
serment d’hippocrate et vie réussie
mais j’peux pas rester là, faut crever l’abcès
libérer les contrats, mourir sur la scène
on leur racontera les sons qu’on a fait
quand on s’ra les tron*pa et qu’tu s’ras ma reine
regarde moi dans l’blanc des yeux, tu sens l’ambition et la flamme des dieux
j’suis descendu par les cieux, j’ai marché sur du verre et sur des œufs
regarde moi dans l’blanc des yeux, tu sens l’ambition et la flamme des dieux
j’suis descendu par les cieux, j’ai marché sur du verre et sur des œufs
pas, pas facile de naître différent dans un monde où tout le monde veut s’ressembler
mis à l’écart et j’le ressentais, déjà tout gamin j’voulais chanter
j’voulais pas finir sur un chantier, j’attends déjà l’revers de la médaille
dehors il caille, la haine c’est le mal, mais on m’a dit y’a pas de guerre sans paix
[refrain]
pendant que la ville dessoûle, sur les artères, par terre, d’autre vont faire des sous
parfois j’me dis qu’est*ce tu fous ?
ces temps*ci j’encaisse du doute
qu’est*ce tu fous ?
parfois j’me dis qu’est*ce tu fous ?
ces temps*ci j’encaisse du doute
mais qu’est*ce tu fous ?
perdu dans le vide du gouffre
absence de goût, mais qu’est*ce tu fous ?
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