egan - l'as lyrics
[paroles de “egan”]
[intro : tag]
curtis, you’re ready ?
franklin
[couplet 1]
j’frappe quand personne m’attend
tout est question d’argent
hors de question d’attendre
quand y a quelque chose à prendre
l’agresseur est charmant, arme blanche dans le chabrand
tous les jours au charbon, rêve du cheval cabrant
victime de fils de puterie, j’ai fait l’ménage et du tri
ils sont stupides et cupides, j’suis incompris comme stanley kubrick
j’trouve ça de plus en plus tristе, putain d’système nous suscite
à faire dе plus en plus d’crimes pour être de plus en plus riche
c’est ça ou crève en silence, comme toi, j’ai des rêves immenses
j’veux vie prospère en finance, j’te raconte pas tous ceux qui manquent
ma vie manque pas de piment, j’fais des choses hallucinantes
j’fais des choses ahurissantes, des silences assourdissants
avantages et inconvénients
on n’obtient rien en s’plaignant
moi, j’veux mourir en régnant, f*ck tes prétextes de faignants
j’écris ce texte en saignant jusqu’au cou, dans la merde, baignant
mais ainsi va la vie, j’l’accepte avec tout c’qui a d’contraignant
[pré*refrain]
et puis j’butine la fleur du mal à m’en noircir les lèvres
l’impression d’vivre dans un cauchemar, j’me rappelle plus d’mes rêves
j’ai quelques trous d’mémoire comme j’ai des trous d’boulettes
j’ai cru voir dans le noir le diable sous une belle silhouette
et puis j’cultive l’art d’faire du sale, j’veux qu’ils souffrent, pas qu’ils crèvent
l’impression qu’j’deviens sans cœur, j’veux même pas qu’on m’en greffe
à fumer tous les soirs, j’fais des trous d’boulettes
j’ai cru voir dans le noir le diable sous une belle silhouette
[refrain]
je n’vois que des vautours, des serpents et des hyènes
j’marche à l’ombre de l’amour sous un nuage de haine
j’l’ai ken, j’l’ai tèj, j’sais même plus comment elle s’appelle
mais j’l’ai serré si fort que les draps s’en souviennent
je n’vois que des vautours, des serpents et des hyènes
j’marche à l’ombre de l’amour sous un nuage de haine
j’l’ai ken, j’l’ai tèj, j’sais même plus comment elle s’appelle
mais j’l’ai serré si fort que les draps s’en souviennent
[pont]
on n’reste pas longtemps en haut du podium, peu importe si t’es pdg, champion du monde, rappeur ou dealeur. tu n’es l’meilleur que pendant un temps
[couplet 2]
j’connais les mecs qui pourraient venir te rafale dans ton salon
demande pas c’que j’fais dans la vie, j’te dirais : “comme ton daron”
j’voulais l’monde comme tony, mais bon ça, c’était avant
j’croyais qu’c’était des vrais, en fait, c’étaient des salopes
je n’ai plus d’attache à part pour les mapess’
elle a mal, elle voudrait qu’je sois son médicament
y a d’la came et toutes sortes de produits tombés du camion, dehors, il pleut des balles
j’suis dans des business horribles, tristes histoires, mes mains sont sales
j’me sens comme egan tommy, j’aime trop la street, pour elle, j’peux finir dans l’crime
tout pour la mif’, pour elle j’peux finir dans le pire, j’suis l’même depuis, depuis le top départ, du mal à dire ce qui me met hors de moi
j’sais qu’ils ne veulent pas que l’on brille, ils font en sorte que l’on s’comporte mal, maman prie pour que l’on sorte de là
[pré*refrain]
et puis j’butine la fleur du mal à m’en noircir les lèvres
l’impression d’vivre dans un cauchemar, j’me rappelle plus d’mes rêves
j’ai quelques trous d’mémoire comme j’ai des trous d’boulettes
j’ai cru voir dans le noir le diable sous une belle silhouette
et puis j’cultive l’art d’faire du sale, j’veux qu’ils souffrent, pas qu’ils crèvent
l’impression qu’j’deviens sans cœur, j’veux même pas qu’on m’en greffe
à fumer tous les soirs, j’fais des trous d’boulettes
j’ai cru voir dans le noir le diable sous une belle silhouette
[refrain]
je n’vois que des vautours, des serpents et des hyènes
j’marche à l’ombre de l’amour sous un nuage de haine
j’l’ai ken, j’l’ai tèj, j’sais même plus comment elle s’appelle
mais j’l’ai serré si fort que les draps s’en souviennent
je n’vois que des vautours, des serpents et des hyènes
j’marche à l’ombre de l’amour sous un nuage de haine
j’l’ai ken, j’l’ai tèj, j’sais même plus comment elle s’appelle
mais j’l’ai serré si fort que les draps s’en souviennent
[outro]
même si tu t’persuades que tu seras toujours au top, que personne ne t’arrive à la cheville, mais t’auras beau être le meilleur, y aura toujours quelqu’un d’plus jeune, de plus vif et d’plus coriace. quelqu’un qui n’aura rien à perdre contrairement à toi. comment ça s’passe ? t’es tombé et tu peux plus t’relever parce que quand tu tombes du haut du podium, t’es mort, c’est fini pour toi
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