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68 3/4 - l'animalerie lyrics

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[couplet 1 : dico]
nan mais c’est gr… (phase de scratch)
nan mais c’est grave, nan ? laisse-moi faire mon job
comme mesrine devant un bleu avec une paire de glock
et ouais j’veux d’l’argent, nique vos hippies et vos pâquerette
contrairement à toi, j’ai bien compris qu’la liberté s’achète
alors j’perds pas d’temps, à faire l’faux cul devant des gars comme xxx
un gag stupide de plus et je lui c-sse le pif
on t-sse les biftons, on bave comme des fistons
on travaille par piston, arnaque ou par appét-t
parait qu’on n’est pas viril quand on le cœur qui s’fend en deux ?
que c’est choquant le cannabis mais qu’c’est normal de croire en dieu ?
y’a bientôt peu d’causes à vrai dire bonnes, alors en croit en dieu
moi ? j’crois en peu d’choses à vrai dire hormis mon porte-bif’ et tout c’qui va avec
p’t-te monnaie en vrac et carte bleue lorsque c’est pas le dech’
t’es pathétique, j’aime pas tes textes et patati et patata: c’est ça l’rap ?
nique ton bonheur hypothétique sur l’banc d’ta tess
chercher les flows et puis atteindre l’apogée
pondre une pochette mais parait qu’faut pas vendre son projet
tend ton oreille, comprend ma colère
y’a tant de branleurs qui s’branlent trop d’vant leurs écrans, ça m’obsède
tu crois qu’j’vais les remercier, eux, et leurs tas d’rumeurs sales ?
si t’arrives à vendre, ils appelleront ça “rap commercial”
génération “le rap c’était mieux avant”, mais avant quoi ?
qu’ta mère se f-sse trancher et que t’en d’viennes le fils ?
donc, tu sais la haine me connait, mais là tu ma ken
défendre une génération que tu n’as même pas connue
t’imagine pas l’énergie dans la tête
c’est l’anarchie pour un texte
tu craches tout, “pouh”, appelle-moi “allergie au latex”

[couplet 2 : ilenazz]
c’est du donnant-donnant pour un moment d’coma
j’finirai tenant-tenant à finir deux dans l’tonneau
ça fait hors du commun comme un conan cognant
comment s’commence c’combat qui s’finit vite au fond d’l’eau
si l’rap était un sport j’s’rais d’jà dans le stade
le rap se réinstaure mais ça, peu d’gens le savent
on nous à tous jetés à tord, on nous à tous mis la corde
des sois-disant rappeurs qu’on les pieds dans le sable
faut pas qu’mon œil flanche quand j’pose sur feuille blanche
hip-hop: ma seule branche, pas d’complot moi seul tranche
nique sa mère les sales tronches, ceux qui dans la salle bronches
j’me branche sur c’comportement qui n’est plus étrange
j’me penche sur celui qui éponge
l’atmosphère après 2 verres d’punch et plonge, croyant être étanche
etant le clan, sur l’horaire embêtant
zéro pointé: crew jamais dans les temps

[couplet 3 : ethor skull]
et moi d’un branleur j’ai l’air, j’ai une énergie rare
pour être pénard j’ai l’art des frères pétard
j’xxx gêné et j’emmerde gérard
et chaque semaine, seigneur, c’est l’même scénar’
moi faire l’originale erreur géniale
d’être qu’un vanneur veinard, une énorme feign-sse
jeune et jaune reconnaissable, ouais ne m’émois
juste le phénoménale énième flemmard
mystérieux et viscéral, comme chez les basques
mon blase chistera
faut pas qu’le mythomane prenne dix étapes à citer c’qui m’fait mal
en trois mots, mec ma vie c’est sh-t et rap, et chute et meuf’
et rire et larmes, violence quand hystériques les flics dérapent
on est tous misérables, victimes, auteurs de faits horribles
c’est pire que ça, on est en chute libre et on s’tire dessus
par une rage xxx l’autre, ayant la haine, l’achève de l’homme
et nous, tout ce qu’on veux d’ici c’est sortir la tête haute
a peine môme, la même chose, c’est pas un vœu j’ai l’air jeune
c’qu’on veux, c’est l’argent et une vie élargie
un disque et l’or brille, un rire puis l’orgie
un saut et vomir : “burh” un rôt et dormir
c’est ça ou l’infamie dans une vie tellement éphémère
que l’bonheur il faut qu’tu saches qu’aimer c’est seulement une fois mort
alors j’vais choquer personne, en disant qu’c’est chacun pour soi
xxx pour toi, à cent pour cent, y a qu’ça ici, yeah

[couplet 4 : libann style]
libann rappe, c’est goldorak qui te fait un fist-f-cking
en même temps tendre comme le pain du filet-o-fish
tu veux faire connaissance avec l’avenir, pet-t
considère ce track comme un aperçu t’as vu
on est les poteaux électriques, viens pas cogner
des purs sangs, toi juste le pet-t poney
on te met trop dans l’vent, mets vite ton bonnet
pas v’nus chercher ta sympathie mais plutôt ta monnaie
bientôt l’nouveau maxi et j’te sens ramolli
ton rap est vide comme la casquette d’un punk-à-chien malpoli
putain ce game, c’est juste une grosse escroquerie
m’en fou j’ai toujours gagné les parties d’monopoly
t-t-tout d’façon j’n’ai rien d’mieux à faire
faut les thunes et sauver ses fesses de ce bordel
comme dirait fayç’, bientôt la fin, mon frère
et j’vais pas attendre que tu t’réveille en pleine guerre

[couplet 5 : thriller/3ler/abdel lertri]
tous en quarantaine, entre parenthèses
chez nous y a au moins cent-quarante voleurs en charentaises
place michelet, rillieux de janeiro, ici c’est l’carnaval
et carabine l’est en mode xxx
en un mot : toutes les kah avalent
imagine comment ils s’expriment tout mes camarades
le compas dans l’cartable mais surtout dans l’œil
moi j’me méfie des gens qui p-ssent à table, j’ai mon orgueil
t-h-r-i-l-l-e-r, ça c’est pour ma xxx, tous les tzr
les bulldozers, les putes elle aiment les banlieusards
chouf’ comment ils flippent leurs mères quand la banlieue s’arme
un putain d’zeuf, des putains d’gueules, j’suis pas tout seul
pet-t t’as qu’à venir chez nous, quand t’as pas ton seum
c’est pour les gremlins, les cribs de tout xxx
pet-te tapette remmène ta queue pour finir sur l’billard
c’est pour le 69140, tous en quarantaine
pet-t (si t’as la rate?) et bah j’espère qu’tes parents t’aiment

[couplet 6 : lucio bukowski]
y’a deux ans on était personne, comme une pute à clichy
v’là qu’on nous cire les pompes, comme un chleu sous vichy
on est trop fat et ton label n’a pas de transpalette
si on était d’paname on en s’rait d’jà à trente galettes
notre secret: un caméscope et treize tarés
nous on inonde la france entière depuis huit mètres carrés
un peu mal vu comme une partouze un jour de shabbat
je n’fume pas, ni ne roule et pourtant je fais un tabac
ici on s’retrouve entre ritals, manouches et faces de craies
tu veux test ? ok, j’te f’rais reluquer ta chi-sse de près
tout ça d’vient moche comme ta copine la plus marrante
le rap pue la défaite comme l’armée française en quarante
des rimes usées, chacun d’leurs textes: un hospice de vieux
au mic j’ai des miracles, j’dois être la deuxième fils de dieu
tu veux une longue carrière ? un p’t-t conseil: évite mes gars
pendant c’temps là, nous on t’charcute l’oreille comme vic vega

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