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amis d'enfance - lalcko lyrics

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authentique, j’ai pas l’intention de la violence mais je la pratique
je veux qu’on se souvienne de chacun de mes types
et de leur précision au tir à l’automatique
il y a encore des centaines de moi
les huarache sur le goudron toi et moi
on se battait pour n’importe quel joyau n’importe quel bijou
seul importait le nom du joaillier la taille et les initiales sur la chevalière
tu nous as trahi j’aurai aimé t’pardonner lui aussi
mais il y a ces fantômes qu’on réveillait par milliers
noyés dans des litres de tords boyaux
a se demander si avant de nous s*xer
tu t’étais injecté une solution de mort dans les noyaux
jeunes on s’était juré de rester loyaux
ceux qui aiment savent être méchants
ne pousse pas quelqu’un qui t’aime
a s’ouvrir les veines pour te montrer qu’il a du sang !
comment ça quelqu’un que t’aimais veut que tu souffres maintenant
il te trahi maintenant, il parle mal maintenant
mais je ne te donnerai pas cette chance
je serai là à ta porte avec l’essence, ami d’enfance !

refrain
on dit que j’ai un grain, bah c’est un arbre maintenant
c’est plus pareil maintenant les choses ont changé
maintenant on est passé de la poignée de mains au cass*m*nt de bras
si je mangeais chez toi casse mon plat, ennemi… (×2)

10 ans de quarantaine dans les branches à singes
5h du mat on se racontait les légendes de drames réglées au 4.5
4*5g on mixe avec le label 5
7 singes ivres jusqu’au dent sweat*à*capuchés
en blanche nike air cuir on est loin d’avoir la même vision
mais comme 6.35 et 11.43 on pense avoir la même mission
rêvant de se déplacer dans des vaisseaux comme le sang
cynique comme paul biya mais toujours prêts en cas de « qu’est*ce qu’il y a?! »
elevés aux massifs mouvements de troupes
ça bouge en groupe enculé de fumeur passif
l’amour de la street jusqu’à ce que certains que j’estime
p*ssent dans l’autre source, le courage n’est rien sans la frousse
c’est dans les virages que je gagne ma course
j’y pense et je ne dors pas
une des nuits les plus noires et les plus froides veille avec moi
les gens qui m’ont trahi ils font quoi à cette heure*ci ?
comment ça tu sais pas ? peut être sont*ils entrain de faire du bruit
celui qui masque le silence dans lequel je planifie leur assassinat
tous les sentiments les plus violents m’ont pénétré, violé, abandonné
j’ai mal ! je revois tous dans les détails
de l’entaille que tu m’as faite dans le cœur
au jour où ton corps ressemblera à des restes de singes
evanoui dans du sang de bétail
parce qu’ils se nourrissent du feu
les démons se prennent à aimer mon cœur
aussi tendre fut*il tu m’as poussé aux textiles utiles
des gants casquette vissée visière au niveau des sourcils
et des chaussures qui ne font pas de bruit
ce soir, un ami d’enfance p*sse le sang d’un ennemi…
refrain
on dit que j’ai un grain, bah c’est un arbre maintenant
c’est plus pareil maintenant les choses ont changé
maintenant on est passé de la poignée de mains au cass*m*nt de bras
si je mangeais chez toi casse mon plat, ennemi… (×2)

je ne peux avoir aucun regret si
par la violence ou la torture on me donne la mort
les autres rouleront avec moi jusqu’à l’argent
ils joueront aux anges ailés et
quand on servira mon corps sous scellé hein!
tu penses qu’ils vont aider?
où tu rigoles où tu t’endors trop devant la télé
de ceux que les imprévus rendent imprévisibles
tempérament ombre et lumière un mix de midi et minuit
regarde l’autre il est où?
quand il va se plaindre chez sa mère elle lui répond :
« non pas lui loïc n’a pas pu te faire çà il est chou! » bâtard de mbra’a
mes souvenirs sont forts j’aurai pas cru c’est fou !
je nous revois presque nice, damer notre rice
loin de l’ambiance parano des fonctionnaires de police
qui importaient miami vice dans les rues du reich
ils combattaient la nouvelle rue de vichy
qui s’habille italien faragamo gucci
mange malien pousse des véhicules allemands
protège avec des armes de fabrication russe
l’argent qu’ils font en mesure comme les américains
le bif, le bif, on faisait un bif doux comme l’odeur de la vanille
dans cette époque où certains p*ssent dans l’azote liquide
pour qu’un bébé vive… oui parfois la rue était dure à vivre
tu n’as pas su voir que nos victoires arrivent négro
tu m’as pris pour une fesse qu’on livre
tu n’as certes rien d’un ami tu n’es qu’une bête et un chiffre
périph à pleine vitesse, allumette bidon d’essence
voilà comment je t’aime, ami d’enfance

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