ong - kodes lyrics
[paroles de “ong”]
[intro]
hey, yo silent syndicate
eleven on one
oh*oh*oh*oh*oh
han (ah*ah*ah*ah)
les potes, les proches, han, perdre un proche
[couplet unique]
j’ressors du comico, j’reprend ma fouille (hey), encore une journée de fou (han)
j’ai gardé l’mentale et la foie (hey), puis j’ai tout enroulé dans la feuille (hey, hey)
et on gardera les mêmes, toujours les mêmes depuis qu’on est mômes (toujours les mêmеs)
elle kiffe le rеstau’, les hammames (han, han), j’pourrai la baiser sans lui dire un mot (hey)
j’ai perdu des potes et des proches (cnlm no cap), juste encore un peu, j’me rapproche (hey), la puce m’a redonné la pêche, pêche
il m’en faut plein dans les poches, toute ces années sous le porche (hum), au loin, j’aperçois la porte (au loin), au loin, j’aperçois la porte (hey)
j’suis toujours dans l’fond de l’appart’, c’est pas bicrave si c’est à perte
le streaming, la vente et les shows, qui voudrait savoir tout c’que ça rapporte ? (hein)
moi aussi, j’voulais savoir mais faut pas croire tout c’que dis ton rappeur (nan)
l’échec n’en fait des vapeurs, la bécane se soulève à tous les rapports (vroum, vroum)
tous les, tous les jours, v’*esqui les porcs, tu peux finir attaché si tu rapporte (oui), kodes la b sans effort, tu sais que j’pourrais les faires (brr)
on finira par être imbatable, pour gagner la guerre, on a perdu des batailles
à la base, c’était mes gavas, la jalousie leur fait dire qu’j’suis un bâtard
mais bon, j’vais faire comme si j’entendais pas, j’ai les mêmes ambitions depuis le départ
sur mes appuis comme un guépard, j’suis sur mes appuis comme un guépard
mes souvenirs sont traumatisants, ils reviennent souvent quand j’ai beaucoup tisé
combien d’fois, j’ai tiré l’alarme ? j’me sens pleuré mais je n’vois plus mes larmes
du coup, on s’accroche à la vie et c’est pas pour son vieux cavu que j’pourrais changer mon avis, le travail avant les envies (hey)
j’ressors tout en zoo du goulag, j’pensais pas qu’la vie d’artiste avait c’goût là
toute ma vie, j’ai vendu la moula, j’lui mets une bastos, après, j’fais une roulade
kodes la barrière, enculé, tu connais, la baguarre, les salopes, les putes syliconés
laisse, négocie pas, nabila, j’voulais juste rendre fière mon village (ah*ah)
j’ai faim depuis môme, moi, mes potos, c’est toujours les mêmes, j’peux pas changer pour qu’elle m’aime, tu sois, moi, j’ai connu la merde (hey, hey)
j’joue pas, donc j’ai du finir alcoolique, jeune impoli à fond dans un bolide
y a d’la beugeuh, du sh*t et d’la molly, j’peux t’sortir un brolique si tu joue les broly
on s’rendait tous comptes de nos valeurs, avant l’ppe*ra, j’étais un gros voleurs (hey, han)
et puis, j’ai tout fait pour m’envoler, maintenant, ces salopes, elles veulent toutes avaler
il m’faut la carte de santos et la rolly, on fait des kichtas, j’peux t’sortir un brolique
sous hennessy, j’suis en roue libre, j’sors de la scène et j’rallume un joint d’olives
okay, okay, envoie les filons, nous, c’est que l’travail, y a pas d’étoiles filantes
j’ai carotte si j’repars en filant, j’m’ârrete en vite fait pour visser un client, hey, hey
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