monoparental - kc l.m.n.o.p. lyrics
« allo papa, j’suis chez maman, j’voulais t’parler. bye bye »
(verse)
qu’est*ce qu’y’a d’mal à vouloir te voir
c’t’à croire qu’tu veux pas me voir
là y fait noir, y’est tard
si j’serais un alcoolique, j’serais en train de boire
voir le fond d’une bouteille, à place j’me regarde dans l’miroir
c’est dur à croire, mais j’vois juste le désespoir qui s’évapore de mon corps
mon coeur se leurre, j’pleure sans pleurer, je resterai homme
comme mon vieille homme me l’a montré, un homme ne doit pas pleurer
mon père m’l’a inculqué, mon grand*père approuvé
fac j’vais pas pleurer, je resterai serein, calme, regroupé
prêt à faire face à réalité, parler de football, scratch mes b*lls
agir comme si y’avait rien d’anormal, malgré qu’en dedans j’ai mal
car la séparation fut brutale
hen hen c’est ça, j’suis victime des familles monoparentales
(refrain x2)
la vie c’t’étrange depuis qu’vous êtes pu ensemble
mais moi ça me dérange pas, nonon heu, ça m’dérange pas
(verse)
sans choisir, à chaque jour j’dois survivre
(?) au téléphone, bon il s’lève, bougonne, chiale
mets son gun dans le hall, parle avec un ton mort, plat, plate
la face autour dit (?)
j’descends, mets la musique fort, écris des textes, oublie le désespoir qui l’fait boire
taboire, il devait l’aimer ma mère, y’arrête pas d’boire!
mais bon, c’est pas d’mes affaires
j’me mêle de mes histoires
j’parle au phone tard le soir aux filles qui veulent me voir
j’me noie dans l’s*xe, flex pour oublier les problèmes trop complexes, perplexes, qui m’vexent
j’leur manque pas d’respect sous aucun aspect
c’est juste qu’avec le s*xe qu’elles me donnent
je m’abandonne, parce qu’elles sont très bonnes
peace aux filles qui me bang hahaha ben sans nommer de noms là heu…
(refrain x4)
la vie c’t’étrange depuis qu’vous êtes pu ensemble
mais moi ça me dérange pas, nonon heu, ça m’dérange pas
(verse)
là c’est l’temps des fêtes, c’est bête, dans quelle famille j’vais passer noël? elle ou elle?
fac j’oublie vite noël
rien d’personnel
c’est juste que j’les aime, pis j’ai pas envie de faire parler, discuter, imaginer des faussetés
fac j’reste chez nous à baiser
pendant qu’la neige est entrain de tomber, j’pense à quel genre d’année j’va passer
décembre, c’est noël
juin c’est ma fête
là j’ai l’air bête, j’regarde de proche la neige qui tombe sur (?) mon globe, ma ville et ma province pis j’me demande où sont passés les comptes de fées du passé?
si un jour j’serai en amour pour toujours avec une princesse qui sans cesse m’aimerait, jamais me quitterait
même qu’on aurait un labrador noir ou or pour nous protéger et jouer dehors avec nos enfants qui pelletteraient dehors
pas j’l’ignore, mais espère, malgré qu’j’ai perdu presque toute confiance qu’un jour j’ferai confiance à une femme pour au moins lui passer une alliance
(refrain x4)
la vie c’t’étrange depuis qu’vous êtes pu ensemble
mais moi ça me dérange pas, nonon heu, ça m’dérange pas
la vie c’t’étrange… (x5)
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