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juliano mon pote #6 #planète rap - jul lyrics

début : 17:42

[intro]
ouais ouais ouais
l’ovni au mic
enculé

[couplet unique]
y’a ceux qui comprennent
y’a ceux qui font semblant
je vais pas parler 100 ans
y’a ceux qui font des cambus sans gants
pendant que leurs mères se font un sang d’encre
avec la musique ça s’endort
je me réveille j’m’en fais un dern
j’ai les cernes j’suis défoncé
j’ai fait craché le mic ça sent l’or
je serre
même plus je sors, pourquoi ça m’a dégoûté
fréro quand tu sors d’la merde fais tout pour plus la goûter
hésitation monde de puto, sur l’autoroute miss veut photo
j’en ai marre de toucher des 50, j’crois j’vais m’reprendre une photo
j’p-sse à l’alim prendre un briquet, marche plus mon allume-cigare
sur la route j’m’en fais un gros, j’fais des freestyles à un clochard
la liberté ça vaut cher
mes frères en prison t’le diront
je sais c’que je fais, j’sais c’que je vaux alors je dis rien
et le frangin, il a fait sa gamelle il part travailler y’a pas le choix
ça veut s’en sortir mais ça veut pas tailler
ça a la dalle, posté en bas du bloc
ça crie des motherf-cks à la police
sors le glock à la tony
ça fait du foot, pas du tennis
ça fait des douilles dans les comptes
avec du sh-t pleins les couilles
ça reste dehors et il caille
pour respecter faut qu’tu cognes
j’p-sse dans le 14ème, j’entends le bruit des cross
bep bep
que des roues arrières, et y’a les civ’ tourne à gauche
bep bep
moi j’ai sucé degun, j’ai ma team et c’est tout
en plus elle s’étend, et les fils de jaloux disent “c’est quand qu’il s’éteint”
et quand tu p-sses pourquoi tu fais le mac, pourquoi tu freines
et en plus tu fais marche arrière pour faire la dinde
j’ai grandis là où, tu vois des techniciens comme la seleção
j’mets les oakley moi parce ces lunettes c’est les sales
j’mets les claquettes même quand il pleut
j’m’habille comme ça me plaît
la famille gros y’a qu’ça de vrai
qui va dire quoi, qui va faire qui
arrêtez un peu, vous êtes bien sympa mais restez simples
j’aime la vie alors je m’accroche à elle
mais demain j’peux mourir
alors comment vous dire que j’m’en tape de vos délires
j’suis dans l’esp-ce et les gars d’mon espèce sont bons qu’à aller au taff
faire d’la p-ssion leur espèce
au plaisir s’tu m’as lâché
c’est que c’était écrit
on devait pas traîner ensemble
c’est comme si c’était prédit
depuis pet-t que j’traine dehors
je rôde jusqu’à tard, j’ai pas changé
j’changerai pas, même si demain j’ai les sous du qatar
j’vis ma vie, j’me plains rarement
et bizarrement, toi j’vois qu’tu trouves toujours l’moyen d’me gâcher mon moment
wesh allô maman j’taffe beaucoup ces temps-ci
les temps sont durs
a dire pour avoir des sous l’autre il vole son père
et l’autre elle tend son derch
j’ai donné ma confiance, j’ai vu qu’avec le temps ouais les gens sont fourbes
j’suis en dp ou en nike, tu connais l’ovni au mic
on charbonne et on maille
et bye bye les karaï
j’me verrai aux caraïbes
j’me verrai au paradis
pour l’instant j’suis à m-rs-ille
j’lève le tmax rue paradis
c’est pour ceux qui m’soutiennent
les abdoul, les antoinette
j’ai besoin d’un album pour t’montrer que j’étais d’une autre planète
j’détaille c’que j’vois, j’posais le pet sur la canette
j’ai des potos qui attendent tous les jours de toucher la cagnotte
au péri-miou dans le bar d’la zone
avec les vieux d’la vieille ça mets la sienne même si y a pas un ça fait des crédits à payol
en c’moment j’regarde l’om, j’ai envie dire merci payet
pour les bleus qui s’posent sous des paillotes avec des p’t-tes payottes
dans la poche la p’t-te palette
ça finit dans des playottes
en dégustant à la playa pendant que moi j’écris mon planète
j’écris vers l’estaque, j’prends mon dwich chez hebet
tu m’en veux c’est bête, fréro toi tu lèches ses bottes
découpage de bites, et je sais qu’un jour il clash tes potes
sans toi et j’t’écoute, nique moi et j’te c-sse les côtes
que je fume des cônes, rien que je déconne
en fumette sur la bécane, toujours avec la même dégaine
et que je croise des fans ils me font le signe ouais ces fans
elles sont dangereuses ces femmes maintenant y’en a qui ont des guns
normal que j’le prends mal si tu t’montres ma chérie
j’m’en fais un rôt après mon coca cherry
j’taffe tous les jours dans c’game, faut pas périr
j’en ai mal au cerveau, ne croyez pas qu’ça me fait rire
dans la vie pour une poussette, ça part en mauvais del
dans la zone cache ta gadji si t’es love d’elle

[outro]
eh, c’est l’ovni au mic mec
on est là hein, ça va péter, ça va péter fort
en direct de planète rap
depuis le 6 décembre c’est dans les bacs
l’album “c’est pas des lol”

- jul lyrics

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