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jul freestyle part. 10 #planèterap - jul lyrics

[intro]
t’as rien fait, les problèmes ils tombent du ciel, c’est pas possible
tu tournes en loc’, ta daronne part à pied travailler, c’est pas possible
tu l’aimais et ton cœur elle l’a c-ssé tu t’es dis: “c’est pas possible”
revenir en arrière frangin, c’est pas possible

[couplet 1]
c’est pas possible, comme l’état nous prends pour cible
dédicace aux potos, en cellule ou dans la coursive
tu m’as oublié mon poto, moi j’me disais qu’c’était pas possible
même des fans me tournent le dos mais c’est pas grave y’a pas d’soucis
appelle moi ça sent l’roussi, j’prends la moto 46 rossi
j’suis pas tony, j’suis pas sosa, j’reste au quartier j’fais pas l’grossiste
c’est pas possible, y’a pas de flics, on est pisté ou sur écoute
moi j’suis là pour séparer, moi j’suis là pour qu’on s’serrent les coudes
j’préfère une trompette, qu’un mec qui fais l’vaillant pour rien
j’préfère un qui ferme sa gueule qu’un qui rabaisse les gens pour rire
j’suis énervé parce que c’qu’ils disent des fois c’est faux
on m’a dis t’es un ovni le sang ne les calcule pas ces fous
y’a des gens ils me dégouttent en plus ils t’font la bise normiou
quand on est là il m’parle de eux, quand on est pas là ils parlent de nous
moi j’fais gaffe au sourire de cette fille belle comme pas possible
moi j’oublie souvent mes soucis avec un peu d’fumée nocive
tu veux négocier, impossible, lui il fait l’pilote il est inconscient
j’lui dis arrête ça mets l’oeil franco après il fais c’qu’il veux c’est qu’un conseil
j’suis comme un autre j’crache pas pour rien, j’suis raisonnable
j’voulais sortir mais j’ai pas d’jean qui va avec mon polo façonnable
c’est pas possible, quand j’sors chez moi j’vois les civils j’me dis mais qu’est-ce qu’ils veulent ?
me dis dans la tess, c’est qui qui vend ?
et là j’saurais automatiquement c’est qui qu’ils veulent
dis moi c’qui qui a des sous j’te dirais qui qu’ils collent
j’ai envie d’te dire “nique moi ta mère” quand tu fais l’mec qui calcule pas
j’ai envie d’te dire “nique moi tes morts” quand tu fais l’mec qui -ssume pas
j’suis gentil mais n’abuse pas, on sort l’bolide on bande pas nous ?
siège chauffant, siège m-ssant dans le merco on déguste pas nous ?
j’veux mon pti dans le salon, j’veux ma villa sur salou
t’es le sang tient bois un coup, et sur ceux “pace è salute”
en c’moment j’me laisse aller j’barre les cheveux j’ai un sale look
et mes larmes sont salées, quand j’ai des fous rire pour moi ça roule
quand j’p-sse pas au tiek ça reum, pour s’dire bonjour ça s’in insultent sa reum’
tous les jours ça fais pas un, ça rame alors ça mets l’instru ça rap
y’a une cliente elle était beurre elle a caché le produit sous sa robe
on en a marre du quartier, alors le soir des fois ça bois ça rode
l’argent c’est comme les femmes, ça va, ça vient, ça fais des sourires du des visages
ça rends heureux, ça rends triste, ou des fois ça rends les gens bizarres
j’m’en fous d’être premier tant que je fais sortir maman de là
j’aime pas l’état d’ailleurs fils de j’viens de payer mes amendes là
j’me suis pas servi d’l’uzi, heureusement que j’ai eu la musique
sinon j’crois qu’j’aurais cambuté des maisons vers bois à l’uzi
si vous voyez qu’des trous du culs, c’est qu’vous suivez comme des moutons
voir ton pote faire la salope, j’peux t’dire qu’c’est dégouttant
et l’matin quand j’sors d’la douche, j’fume ma drogue comme escobar
et l’poto quand il boit trop là il faut pas qu’on l’laisse au bar
jeunesse op à fait des coups dans l’illicite
dis pas bonjour quand il est mal, il t’insulte quand tu l’félicite
là il est 5h du mat’ j’peux dire qu’on s’les pèle ici
on veut du shit, des cigs, des feuilles, on s’en fous des choses bellissimes
on veut le flash, éviter les flashs, entre pote rien qu’on s’clash
des gadjis on branchent, y’a des shmitts derrière les branches là qui s’cachent
les flics te mettent une fiche, parce que de la vie tu t’en fiche
tu penses plus à tes proches, toi ton but c’est le pouvoir et devenir riche
combien d’larmes j’ai versé, même après qu’j’ai percé
dieu mercé, ceux qui m’ont pas lâché, j’tiens à les remercier
bientôt le jour se lève, j’suis dans ma caisse il m’reste un cul
j’suis avec brice et toufé, tes mc j’vais les étouffer
arrête d’faire l’mec qui creuse, tes folles elles ont le corps tout flasque
quand j’bois j’suis plex-to-plex, j’prends l’zip à daro
et j’lève dans l’tieks j’suis sans casque, en tee-shirt même en veste
jul il va s’faire foutre fréro on parle pas en tant que guest
allez c-sse toi, tu m’les c-sse toi, j’vois qu’tu m’chauffe, tu veux qu’j’c-sse tout ?
pas trop resto, plutôt c-sse dalle, j’m’endors tard, j’me gaze tôt

[refrain]
j’crois qu’je rêve y’a les civils en bas d’chez moi, c’est pas possible
ils ont pétés l’jobbeur le charbon est pris pour cible
mon poto pourquoi à chaque fois qu’tu bois, tu t’sens invincible ?
y’a 3 jours les enquêteurs y sont p-ssés la perquis’ c’est prévisible

[couplet 2]
très jeune alcoolo’, ça s’roule des gros popo’
c’est flemmard ça a pas d’boulot, ça veut l’croco sur l’polo
t’as fais la pute tu t’retrouve solo, là c’est tout l’monde que t’as soûlé
si tu grimpes, fais grimper les gens toi au lieu d’les voir couler
il fais trop l’mac le poulet, j’crois il cherche à s’faire rôtir
vous m’avez vu gentil les gars mais tranquille j’suis pas rothschild
on s’marre ensemble, deux jours après on s’parle plus
souvent c’est lui qui te dis “mon frère” qui sur toi parlait le plus
survêt neuf j’fais des boulettes, parce que j’ai pas à plaire aux poulettes
malade, quand t’apprends qu’ce pote à branché la femme de l’autre, l’enculé
dans l’grand père ça va péter, vous allez danser sur ma jolie
fais pas l’con quand t’es avec nous, on va t’niquer si t’es pas poli
t-max visière fumée, kalash, chargé, m-rs-ille c’est napoli
ils ont mis tous mes frangins en taule voilà pourquoi j’aime pas la police
mais bientôt ils vont sortir, n’oublie pas la sortie c’est sur
mais ils ont un peu d’buzz ils font les stars moi j’ai gardé les mêmes chaussures
y’a l’v8 sur le châssis, y’a l’guetteur il est -ssis
il a crié: “akhaaa” il a vu les shmitts à la pharmacie
j’vais la brancher si elle est t-ssée, j’verrais bien si c’est une t-ss’ ou
ça fait 2 fois qu’j’la vois au resto,’ la côte elle veut m’c-sser
j’rap pour mes dents c-ssées, tout mes c-ssos’ ou leurs p-ssé
j’ai l’dos c-ssé à force d’taffer dans la cabine pour faire les ambiances on est ent-ssés
j’sors du stud’ j’ai mal au crâne, on en prends des doliprane
j’me verrais bien sur une île en train d’me faire m-sser pendant qu’mon dos il crame
le poto il est en cellule, j’ai une mission faut qu’j’aille au nord
tu veux m’parler tu m’c-sses les couilles, tu vois pas qu’j’suis sur les nerfs
mets l’paquetage dans l’emballage, faut qu’ça arrive en temps et en heure
askip le temps perdu c’est l’argent m’a dit le p’tit charbonneur
pour ça il s’lève de bonne heure, il fait 2 tours dans la tess
avant d’ouvrir le charbon il regarde si il y a pas des civ’ en planque dans la caisse
faut faire des sous, faut marquer l’époque, toi t’es là tu bois des packs
p’tit t’as un peu trop grandis depuis qu’t’as travaillé les pec’

[refrain]
y r’vient pas d’faire la bise à l’ennemi frero, c’est pas possible
j’ai fais un rêve j’parlais au gens partis, c’est pas possible
pas avoir peur des grands, parler mal à sa mère, c’est pas possible
tu mets la famille d’côté tu claques tout avec tes folles, c’est pas possible
laissez un frère en chien pas envoyer d’mandats, ça c’est pas possible
j’voulais rentrer en boîte, mais le videur il m’as dis: “c’est pas possible”
de bon matin j’me lève j’vois plus ma mula, c’est pas possible
j’vois mon p’tit menotté j’me demande il va où là, c’est pas possible
ils viennent savent où l’shit se cache, les indics donnent des infos c’est pas possible
c’est pas possible tout ça

[couplet 3]
j’suis en fumette les mecs, j’vois vos gestes je m’en moque
la vie sans buzz ça me manque, j’suis nostalgique dans le bloc
les p’tits ont grandis, y’a des footeux, des bandits
et au fait j’t’ai pas dis, c’est des gadjos les gadjis
buvette fumette, péage d’espagne nique la guardia
ça trafique grand dans l’quartier, pour braquer ça carjack
t’as bu tu fais l’voyou, quand ça r’descend tu m’parles, check
tcheck moi mais joue avec mes couilles j’te fais danser l’harlem shake
j’suis déter’ j’m’arrête pas, j’fume des pers’ comme personne
tu m’aimes pas vise vers ça, laisse moi en galère seul
avant d’dormir j’pensais mes voisins entendait mes berceuses
c’est vrai que j’faisais du bruit dans ma chambre mais c’était mieux qu’le bruit d’la perceuse
j’me couche à l’heure d’la perquis’, j’regarde derrière les volets
si y’a pas d’voitures chelou ou des mecs bizarres dans une voiture volée
voilà, j’voulais vous dire, que j’accepte pas toutes ces critiques
ils parlent sur moi, se moquent, souhaiteraient me voir dans un état critique
tu connais l’dicton, ils sont jaloux c’est rien on s’adapte
j’commençais à aller chercher mon public dans une chicha à apt
en p-ssant par nîmes et perpignan, saint-etienne, toulouse, j’faisais bouger tout mes brigands
hein, mais dis-moi d’puis quand, toi, tu t’mêles d’mes oignons ?
les gens s’font leur opinion, quand tu t’as du pognon
beaucoup sont rentrés frero l’état nous à bien piné
p’tit j’allais voir mes potes en bas des 4 tours posté vers l’kiné
embrouille, opinel, la miss a halluciné
elle voulait que l’eau coule sous les ponts mais j’ai coupé l’robinet
me parle pas d’clash om-paris, écoute même rembobine
vous avez la même galère, de st jean à bobigny
fais pas l’con, y’a l’bout du canon qu’est coupé
quand la lame s’est faite coupée, ton rappeur fais que tchouper
et pour tout ces p’tits bâtards là qui ont voulu me la faire
gros bdr ça veut dire: “gros bandeur de rappeur”
n’ai pas peur -ssume tes mots ouais espèce de grand, gros
parano j’regarde si ça raye pas ma caisse du balcon
j’vois les p’tits se postés, prêt à s’faire des temps pleins
gamberge on s’éparpille parc’qu’on attire les shmitts étant pleins
etant jeune, j’ai volé, j’rentrais chez des gens, pendant qu’ils dormaient
j’ai pris l’or mais j’ai regretté, car j’ai un cœur moi
désormais, j’suis à fond dans mon son
a cause d’ça j’vois pas ma famille, mon sang
et j’le répète si on s’parle plus fréro, c’est qu’j’ai mes raisons
cr-pulerie dans l’audi break, ça parle de coup facile, fascinants
au quartier ça mets des instrus en boucle, ça écoute pas du drake
et la matraque des civils, ils font les macs quand ils la sortent
j’dis à mon poto d’se calmer, parce qu’il est insortable
on veut le port d’arme, fumer la beuh d’amsterdam
toujours la même j’déteste les bdh qui boivent du sirop d’corps d’homme
et c’est la même pour mes potes, qui rentrent en taule et ressortent
toujours la même situation, est-ce leur destin ou leur sort ?
on serre, on s’arme, s’dis le premier qui s’manque d’entrée du game on l’sort, on va l’faire cabrer en vélo sans ressort
on s’bousille le cœur, on s’irrite, on s’évite, s’retrouve tellement seul qu’on s’met à parler à siri
ça croit qu’je dors ça croit qu’j’suis mort ou quoi ?
j’écoute c’que j’vais vous envoyer bientôt sur l’autoroute le soir
niquez vos mère, j’sors les molaires et j’crache un mollard
jul en colère, grosse dédicace, tous mes taulards
il m’faut de l’air, j’suis vers baudelaire, j’ai mis la polaire, j’ai fermé le pollen
la j’ai le buzz, et je reste au tiek, entre collègues, il est où le problème ?
la rue on l’aime, l’argent on l’a, ambition on l’est, font que miauler
font pas un violet, s’croyent tous marrant, mais ne me font pas du tout rigoler
sur le beat jul il c-sse tout, ça c’est cadeau c’est la bastos
la même merde jusqu’à la casté, j’représente m-rs-ille et tous ses vatos

- jul lyrics

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