freestyle de jul avec liga one en live dans planète rap (12/12/2014) - jul lyrics
[couplet 1 : jul]
j’les calcule pas, j’trace tout droit
mc j’m’en fous d’toi, mais arrête d’pomper mon flow
qu’est-c’qui va pas ? tu t’prends pour moi ?
tu parles de moi on m’a dit d’après les infos
eh vas-y nique tes morts fort, ça y est j’en est ma-ma-marre
bai-bai-baise les tous m’a dit mon tieks, fais leur la guerre
c’pour mes potes qui font cracher jul en cellule
qui mettent les baffes sur la fenêtre en faisant des pompes torse-nu
pour ceux qu’on pas un, pour ceux qui partent à la gratte seul
t’as des soucis, t’es en sursis, poto t’es pas l’seul
et j’pue la rue comme kalif, j’trouve pas l’sommeil la nuit
dis moi qu’est-ce qui t’arrive ? j’te sens pas bien la mif
j’aime roder en deux roues, dans mon tieks avec les frérots
bats les couilles des feux rouges, ou qu’un shmitt f-sse le héros
là c’est jul bande de berhos, mets la tienne c’est l’apéro
si t’as gaffé excuse-toi et viens on repart à zéro
eh wesh alors mademoiselle, qu’est ce qu’on fait là seule ?
vas-y monte sur la scelle, et mets contre moi tes bzezel
d’ma vie j’en ai marre, regarde nos gueules on est morts
trop de bdh dans le secteur qui aimeraient me jeter un sort
j’reste moi-même moi, allez leur dire
ouais j’suis fier de moi j’ai pas sucé pour sortir
me parle pas j’suis concentré, quand j’suis sur l’ordi
le succès je l’ai eu, parce que j’sors de l’ordi
j’aurai voulu t’aimer mon coeur est brisé
j’pourrais pas te dire mes sentiments tant que j’ai pas tisé
tant que j’ai pas sympathisé, t’es blindé on ma dit qu’on
t’a vu ramener des folles à l’hôtel au madison
bon bah disons que les gens sont pleins de blabla
c’est bâtards aimeraient que je meurs ou que je prenne dix ans
et j’débite des beats, j’suis venu pour mettre des buts
toi ton équipe lèche des bites, et parle en traître comme des putes
dans mon dél’ j’regarde en l’air quand je cabre
j’fais des clins d’œil aux gadjis, j’ai fait la coupe y’a pas de casque
et qui veut test, jul the best
n’est pas comme ces gros traîtres qui retournent leur veste
et là j’ai mal à la tête, pas d’humeur à faire la fête
et ces fils dep’ veulent me freiner dans ma quête
on est guettah au shit, y’a embrouille sors la machette
faut qu’tu saches qu’y’a personne qui m’achète
ni ton respect, ni tes folles et ni tes chèques
t’es pas mon pote j’vois pas pourquoi tu me tcheck
laisse pas traîner ton vice
va acheter mon disque c’est comme si t’achetais un dix
avant j’chargeais des miss et j’freinais sur les disques
avec ma twingo on allait rôder, on était dix
elle m’fait la fille propre mais j’l’ai vu à l’hôtel ibis
en plus j’connais son mec si teminik au tel il glisse
pour mes frérors malhonnêtes qu’accélèrent en fond de six
le scoot’ dans la camionnette, à l’affût devant les civs
trop d’folles dans les chichas, ou mamacita
moi j’suis au quartier avec mes khos on fume le shit tard
il m’faudrait une greffe de cœur, j’suis sur liste d’attente
au quartier quand y’a les civils, on dit aux clin’s d’attendre
moi j’suis toujours en retard, même quand la miss m’attend
moi j’refuse pas une photo, même sous la pluie battante
et la miss me fait des poutous au volant du range à toutou
mes frères sont prêts à tout, savent comment finissent les pou-pous
j’suis mal comme ce jeune qu’a pas un qui veut tout-tout
comme ce pote qui veut tout braquer mais l’corps à rondoudou
moi j’évite les descentes comme les mcs le huit décembre
mes potes quand j’ai embrouille, ils s’arment, s’habillent et descendent
rien à faire on parle de tout, de rien, s’armer d’gros canons sciés
cherche pas à s’-ssocier donc ne viens pas négocier
liga one ils savent qui on est, m-rs-ille c’est filles et monnaie
postichés dans l’rap un peu comme le gang des lyonnais
ouais le quartier j’l’ai sillonné
tous les jours à l’affût d’une patrouille à sillonner
à chaque contrôle j’leur ris au nez
tu fais l’mec qui sait cabrer, tu fais même pas l’tour du bâtiment
tu dis qu’elle tu l’as baisé, dis-moi poto pourquoi tu mens ?
ouais j’ai trop zoné, sans un dans les poches
c’pour ça quand j’vois un poto en chien bah j’le défauche
ok j’fais disque d’or, mais sérieux j’m’en tape gros
j’suis toujours au tieks dans ma caisse à fumer des pétards gros
la vie me fait d’la peine, comme ce poto -ssis sous la pluie
les voitures sont remplies peuchère personne il s’appuye
j’suis tranquille dans ma bulle, m’raconte pas la vie des gens
plus belle la vie mon cul, elle est plus belle la vue des jantes
tu disais qu’c’était ton poto putain il t’a volé ta moto
t’cherche avec un calibre dans l’auto
il le voit, il le fume, pas l’bédo, il est trop fier d’son ghetto
quand il rentre en boite il évite les détecteurs d’métaux
mon tieks c’est la puenta mais t’inquiète j’oublie pas font vert
paranoïaque j’ai sorti l’cross volé comme nous savons l’faire
t’inquiète mon poto, on a tous connu la misère
sors ta famille du ghetto au lieu d’sortir un zx 10r
petit j’t’ai vu grandir, j’te reconnaîtrais sous la visière
j’sais qu’tu sais pas mentir, et qu’t’as quelqu’un dans l’viseur
à planète rap tranquillement, t’sais qu’j’freestyle facilement
à skyrock c’est ju-ju-jul t’sais qu’j’fais pas de cinéma
la rue m’appelle mi amor, j’l’aime mais pequeno
dedans j’ai vu les petits s’armer comme la bande à zépékénio
j’les ai vus sur des motos à trois cabrer, faire des soleils
faire des plans pour braquer l’tabac au lever du soleil
j’cherche une minch’ qui a du cœur pas un tapin
petit frère sèche les cours pour se frapper des temps-pleins
y’en a qui tenenew tarpin, qui niquent leur paye au casin
jusqu’à s’mettre en dette mes potes j’crois qu’il leur manque une case hein
y’a trop d’loups c’pour ça on s’est acheté des mitrailleurs
pendant qu’dans les caves ça refrappe les caches du fazer
dédicace à ceux qui représentent le tier-quar en prison
dedans ça fait d’l’argent sale pour sortir et le mettre ailleurs
ramène la fufu du parlu, bien calé dans ton tailleur
j’ai fais cet alb-m pour prouver qu’mon son vient vraiment d’ailleurs
y’a trop d’folles à l’affût, trop d’civils qui cherchent la fuf’
qu’est-c’qu’il fait il ramène sa pouf ? il la croit quand elle chante la flûte
elle t’a fait croire qu’elle t’aimait, tu t’es mis dedans
elle t’a plus donné d’nouvelles quand tu t’es pris deux ans
t’es sur les nerfs, une envie d’faire un murder
le maton te guette ton pote te deuh à la fenêtre
j’suis pas un voyou moi j’dis pas qu’j’tire
j’suis qu’un être humain, j’vais partir, j’ai un avenir à bâtir
j’écris dans l’quartier, il pleut ça sent la galère
les civ’p-ssent on les fixe ces fils dep ils font marche arrière
le jour des clips ça sort les cross, ça veut rouler des joint plus gros qu’le monde
celui qui s’esquive quand y’a les flics la honte
oui j’suis pronto, écoute du jul dans ta féfé, ta punto
vitres teintées fumée toxique ça fume même sur un spliff goutte d’eau
ok, tous opés, “jul” floqué sur l’t-shirt
j’suis venu pour tous les choquer, ok
comme swagg man j’suis posey, le jnoun a pris un verre d’rosé
chez moi les jeunes sont fous, des fois pour une folle ils veulent s’arroser
j’ai osé, si j’ai posé, c’est pour tout niquer
ok, maintenant ça tchoupe avant ça m’écoutait presque ça s’moquait
coup d’crosse de hockey, désolé si j’ai fauté
mais n’oublie jamais gros quand y’a eu embrouille j’ai sauté
j’suis parti d’rien j’vous l’rappelle, respect aux frères qui purgent des peines
celle-là c’est pour barbas gros y’a plus d’cœur y’a plus d’peine
c’est jul j’fais pas l’bad boy, et là j’en place une pour boy
en promenade sur une jambe on n’oubliera jamais le hood boy
ils savent qui c’est qui nique qui, ils savent qui c’est qui tchoupe qui
moi c’est jul, tu peux m’voir en stunt, en porsche ou en suzuki
y’a des sous qui dorment, y’a des équipes qui s’forment
y’a des loups qui zonent et des poukis qui donnent
j’reste moi-même moi malgré les coups de cr-sse, t’as d’la beuh le couz’ p-sse
j’étais en twingo j’branchais les miss qu’y’avait en cl-sse
putain d’époque j’vois les petits t-sser, ils pensent au futur pas au p-ssé
sur ta sœur ils veulent p-sser
demande à azzedine, putain c’est des bâtards les gens
touche à la mama ça viendra t’mettre des kalashs dans les jambes
c’est la gratte, celle-là c’est pour houss et mouss’
on aime les folles, les flouzes, t’as pas compris on vous baise tous
à l’aise au mic’, comme l’ours et walid au volant
n’insulte pas la daronne ça peut revenir avec le pe-pom et l’collant
quand j’dis qu’j’ai trop les dents, c’est pas en rigolant
quand j’roule du shit j’lève le collant, quand j’fume d’la beuh j’suis étonnant
c’est pas normal c’que j’vois les gars, j’vois personne se serrer les coudes
si t’es bien mets ton pote bien, fais pas en sorte qu’il te lèche les couilles
pour un bleu ouais ou même pour un petit pétou, p-sse au e si tu veux cher-tou
j’traînais beaucoup dans ma vie, mais j’dis pas qu’j’sais tout
c’est pour les petites corpulences, qui font trembler les gros
qui insultent les képis en leur faisant des doigts dans l’rétro
ne tends pas trop l’oreille, parc’qu’après t’en sais trop
ne tends pas trop la main parc’que même tes potos ont les crocs
tout a changé, avant au secteur on était trop
on traînait à la puenta au bloc quatre ou devant l’métro
plaquette de shit sur l’ovetto, pour le charbon les petits s’levaient tôt
la vie m’rend en chien pour m’soigner faudrait un véto
les flics j’fais qu’les éviter, le terter j’l’ai jamais quitté
j’ai vu ce jeune braquer ce riche armé sur un t-max kit t
tu veux m’test dis-moi qui t’es, tu veux m’connaître t’sais même pas qui j’suis
les jeunes s’en foutent d’aller voler tant qu’y’en a toujours un qui suit
ouais celle-là c’est pour les vrais, impossible de quitter l’quartier
aux baumettes faut porter ses couilles, insulter la mère aux brigadiers
j’ai rien lâché j’ai eu l’envie, tu peux demander à tota
malgré les fils de pute qui font des boycottages
ouais celle-là c’est pour charly, mon manager que j’aime
c’est grâce à lui qu’j’suis là, quand j’pense à lui j’revois des scènes
il croyait plus en moi, que moi j’crois en moi
p’t-être qu’un jour on s’reverra pour l’instant j’pleure quand j’suis chez moi
j’suis trop mal tu vois l’schéma, même si j’garde le sourire
les frères rangez vos armes c’est tout l’monde qui fait qu’souffrir
moi j’veux pas inciter, les jeunes dans les cités
moi j’veux juste les évader, les faire danser sans hésiter
et toi mc de merde, arrête d’parler de moi
moi quand j’ai eu mon disque d’or, j’parlais de moi
que ça s’invente des vies pour des vues
c’est vrai qu’c’est des sous mais bon tu rappais mieux au début
on fait comme on peut on s’débrouille, liga one gros on déboule
en rentrant d’showcase j’pourrais faire dix films de boules
tu m’connais j’reste le même, qu’y’ait d’l’argent ou pas
qu’y’ait des folles ou pas, présent quand un frère s’fait juger coupable
au quartier c’est d’là qu’tout part, j’voyais les petits grimper au balcon
en partant j’leur disais : “pense à ta daronne fais pas l’con”
un jour j’étais posé, pépèrement au quartier
c’était l’matin, shmit en kangoo, le charbon s’est fait péter
j’disais aux clients “repartez, revenez p’t-être demain, y’aura d’quoi faire partir”
j’aimerai voir l’bonheur mais pour l’instant j’ai vu que l’extrait
la vie c’est chaud comme tirer sur son pote sans faire exprès
range ta kalash’ bolosse rien n’sert de faire le colosse
toujours l’crocodile ou jul floqué sur l’polo
et demande à momostre faut faire gaffe aux pét-sses qui follow
si y’a des salopes qui veulent tes sous ouais en gros y’a qu’des follastres
c’est pour mes taulards qui m’disent au pompe on s’est mis
pour m’refaire j’raquette des gens ou j’vends des plaquettes semi
c’est pou les braqueurs en deux et demi qui rentrent chez toi avec une perruque
ça s’refait avec un morceau à dix chez moi quand c’est rude
haut les mains c’est la crise à la ziyu
mc rafale de droites dans tes dents hadouken à la ryu
trop d’rage en moi, trop d’fils de bâtards
t’étais une victime au placard
que tu blablates c’est pour les p’tits d’chez moi
qui t’observent ceux qui t’abattent
qui veulent ta femme, ta vie et ta carte
j’sais plus qui est qui, j’cache mes cicatrices
j’en ai tellement marre moi, de voir mes gars tristes
et que ça m’piste, en showcase j’retourne la piste
j’connais tellement bien la vie qu’tu peux la lire sur mes cicatrices
les gars peace, venez on s’fait la bise
vous fermez vos gueules quand vous êtes seuls
vous l’ouvrez quand vous êtes à dix
comme mortadons j’fais la diff’, et tous mes gars kiffent
t’es trop sur les nerfs, quand tout va mal j’suis ton sédatif
pour moi l’rap c’est eazy-e, ouais demande à veazy
la puenta ils connaissent pas qu’ils viennent nous rendre un peu visite
j’fais plus d’rap bah la rue meurt, d’après les rumeurs
désolé si j’ai refusé une photo c’est qu’j’étais pas d’humeur
mon cœur est noir, miss, rallume la lumière
tu m’fais l’mec simple, devant des folles tu fais l’allumeur
laissez-moi j’suis mal luné, se sentir mal aimé
ça fait mal comme d’apprendre qu’une personne que t’as aidé veut t’allumer
pour vingt eus, ça s’met des rafales dans les pattes
y’a embrouille regroupe tout l’monde prépare les calibres et les balles
il t’victimise mon pote tu veux qu’je f-sse quoi ?
j’suis pas mesrines moi t’es pas content bah c-sse-toi
c’est pour mes frères en cellules mec, miradors fusils à lunettes
plus d’respect c’est trop la crise tu dis c’ton pote tu veux lui mettre
j’fume la substance illicite, tout droit venue de drancy
j’dis au poto d’en faire un gros j’suis pas trop bien ces temps-ci
f-ck les commères les racistes, j’m’en ballec’ moi d’p-sser à l’-ssise
j’m’en tape moi, tant qu’elle mouille la culotte dans l’a6
en manque de eus rien qu’ça tise
on attire trop d’jalousie ça sort l’uzi, ici c’est pour rien qu’ça tire
armani, versace, moi c’est jul faut qu’vous sachiez
j’faisais du rap dans ma chambre de chez moi j’voyais les civils s’cacher
tu fais l’voyou ? t’as jamais touché une gâchette
et j’ai entendu qu’tu baisais sa sœur en cachette
l’honneur ça s’achète, en plus t’es une cagette
plus d’tête j’sors la hachette, sur le grand-père à najet
ok, sur le grand père à najet
sur une île j’m’imagine faire des tractions comme une machine
tu l’sais pas encore, liga one c’est ma team
j’pose hardcore, pour ceux qui s’amusent à dire qu’j’sais pas rapper
j’ai l’buzz tu viens t’coller, j’ai pas besoin d’toi fous-moi la paix
moi j’te lance ce high-kick dans la tête, au quartier c’est pas la fête
laisse pas traîner ton fils, les petits d’chez moi l’raquettent
j’suis ailleurs, dois-je vous rappeler qu’j’vais tout niquer
wesh rappeur, tu fais l’dur mais ta femme te met au piquet
j’veux shakira comme piqué, beyoncé comme jay-z
j’suis dans ma paranoïa j’commence à devenir crazy
j’trace tout droit, j’calcule pas mes ennemis
tu m’fais l’gros fumeur mais tu fumes que du semi
moi de toi j’ai pas peur
t’as trop joué à call of, dis-moi poto t’as pas d’cœur
tu comptes sur les gens, que tu racontes des légendes
j’suis sûr qu’t’es un fatigué, dans ce monde y’a trop d’acteurs
eh vas-y range ta kalash’, moi de toi j’ai pas peur
t’as trop joué à call of, dis-moi poto t’as pas d’cœur
tu comptes sur les gens, que tu racontes des légendes
j’suis sûr qu’t’es un fatigué, dans ce monde y’a trop d’acteurs
[couplet 2 : kalif hardcore]
j’représente comme personne, j’fais mon perso
sur le goudron j’ai froissé des persos
l’équipe fait des -ssauts, que des bandes de c-ssos
que des malfrats qui sont montés en -ssoc’
on sent monter la sauce, déballez le matos
tu veux la vie de rêve, ouais ça coûte des bastos
ok vamos, c’est le son des vatos
qui partent à la gratte replaquer le gamos
le shit dans les valoches, cousin dans la sacoche
on reconnaît les vrais quand ça change
j’vois les guetteurs qui chouf
j’vois les guetteurs qui chouf
j’vois les guetteurs qui chouf
j’vois les guetteurs qui chouf (arah)
j’vois les guetteurs qui chouf (arah)
j’vois les guetteurs qui chouf (arah)
j’vois les guetteurs qui chouf (arah)
j’vois les guetteurs qui chouf
j’vois les guetteurs qui chouf
[couplet 3 : frizer (ghetto phénomène)]
eh yo eh yo j’écris des xxx
pendant qu’mes petits vendent des t-sses
on parle pas en détail, c’est vente d’armes, vendetta
j’te rappe ma sère-mi, moi j’ai pas l’salaire à bale
j’vois des daronnes p-sser l’balais pendant qu’les… payent
génration vote pas, génération vodka
génération chienne de guerre, pote-ca
et qu’est-c’qu’il y a ? on prend l’game c’est la mannschaft
pour une folle toi tu sors les guns c’est lamentable
et quand t’arrives à dix on est cinquante
toi tu roules à cent-dix poto p-sse le salam à deux cinquante
c’est plus des caillles-ra, c’est des pirates
l’équipe est solide, sur c’son folie, on s’barre en irak
une vie secouée, des destins troués
j’ai vu des mecs doués s’faire écrouer pour payer leur loyer
noué, entre les dettes, l’état et les factures d’eau et
vas-y le couz’, enchaîne
j’ai la rime, pour du biff’ l’quartier t’arrose
m-rs-ille c’est la zone à risque
[couplet 4 : kamikaz]
si ta sœur est bonne méfie-toi d’ton pote, ok
si ta sœur est bonne méfie-toi d’ton pote, ok
fais confiance à personne poto qu’en ton glock
t’es foutu si t’as mis ton plan en cloque
si tu veux d’la frappe viens-nous voir dans le block
j’rappe comme l’époque de la ve-ca
l’époque des roues arrières, mbk
que des gros billets cachés dans le mi-ca
le marron p-sse crème comme du milka
c’est pour les byles-ka, et pour les markus
gros c-cktail et on récupère l’argus
on prend les virages large comme les grands bus
on arrache le sol comme un brabus
poto montre-nous de quoi t’es capable
pour manger t’es prêt à te mettre à table
que des grosses sommes pas besoin de comptable
on te fume ta race vu que le shit est rentable
y’a que des petits corps sur des grosses bécanes
j’fumes du hash sur le terter j’plane
j’dép-sse les gratte-ciel sans aucune ficelle
poto j’fume dans l’ciel comme un deltaplane
on veut des thunes, le salaire à zlatan
on fonce tout droit dans le platane
j’rappe comme statham pas un dans le b’stam
tu dis que c’est ta pute mais poto c’est ta femme
on veut de la caille, nique les hatays
qui sont pas d’taille pour la bataille
comme du bétail on te laisse sur la paille
tu fais peur aux oiseaux comme un épouvantail
on se donne à fond rien à foutre de la médaille
on consomme le pollen tous les jours on est die
que des coups de pute on calcule pas les détails
on vend pas en plaquettes on préfère le détail
si ta sœur est bonne méfie-toi d’ton pote, ok
c’est kamikaz poto
[couplet 5 : kamikaz]
quand t’as pas de thunes on te calcule plus
ne fais pas le mec speed si t’avances plus
c’est quand on a les choses qu’on en veut plus
fais pas le mec t’es à l’agonie t’en peux plus
on consomme trop ouais sans langue de pute
il me faut de l’inspi’ à chaque couplet
on sait que les détails rapportent plus
ne fais pas le grossiste t’as des plaques coupe les
ça vient du ter-ter ouais du treize deux cent
toujours déter’ pour les frères de sang
j’fume de l’herbe, du marron, du vert
si le feu est vert on p-ssera à deux cent
poto on t’a vu fait pas l’innocent
sur l’ter-ter poto tout se sait
tout s’apprend, poto tout se prend
mais pour l’argent sale on a tout laissé
trop d’michtos accros à la cc
trop d’produits jetés dans les wc
j’fais d’mon mieux d’rester droit j’essaie
trop de chiennes de la c-sse, trop de chiens blessées
j’ai toujours avancé seul dans ma lancée
parle pas trop tu peux te faire devancer
on fait du rap d’quartier, y’aura pas de quartier
tu veux nous test je vais te montrer comment c’est
je vais annoncer la bombe est amorcée
cul sec si le verre est corsé
tu peux tomber sur la chaussée
poto t’es trop sec donc arrête de forcer
on fait le forcing le rap j’le pénètre
le rap est mort j’le refais naître
suffit pas de parler il faut connaitre
l’amitié s’est barrée par la fenêtre, yeah
[couplet 6 : houari (ghetto phénomène)]
laisse-moi te dire qu’on les baise, qu’on prend le rap par les fesses
faut faire les dièses, faut ramener l’biff’ à la tess
f-ck le proc’ ce bâtard, c’est pour les frères au shtar
en cellule pas une shtoun, personne pour toi c’est trop tard
laisse-moi te dire qu’on les baise, laisse-moi te dire qu’on les next
rester vrai c’est la base, trop de faux font les mecs vrais
la france c’est pas le qatar, m-rs-ille c’est cheikh qatar
kalashnikovs beretta, l’état nous laisse dans le tas
toujours actifs on les laisse, c’est pas la li-sse qui fait l’être
plus d’confiance trop de mal-être, ami plus sous ça donne traître
la mort devenue b-n-le, ça dit salam et ça t’la met
ton corps dans le c-n-l ou dans une caisse volée cramée
on fait le bien dans le mal, on veut l’or, la maille
j’raconte le pire devant l’mic’, elle est hardocre la life
pour la monnaie, monnaie on va bicrave et voler
on va pas redonner, veuillez pardonner
pour la monnaie, monnaie on va bicrave et voler
on va pas redonner, veuillez pardonner
pour la monnaie, monnaie on va bicrave et voler
on va pas redonner, veuillez pardonner
pour la monnaie, monnaie on va bicrave et voler
on va pas redonner, veuillez pardonner
[couplet 7 : veazy (ghetto phénomène)]
trop me disent “t’as pas de talent”
avant de parler poto tourne sept fois ta langue
oui si j’peux j’t’arrange mais si tu me cherches
su ma tête que je t’allonge
y en à trop qui profitent ils aiment te voir souffrir
ils m’prennent pour un sous-fifre, j’les baise avec le sourire
on a fait du sale pour la monnaie, ça récidive depuis morveux
les gens le savent mon ami, impossible de poukave my homie
mon négro dis-moi qu’est-c’t’en dit
quand la concu’ on la tord, on la met en i
j’me balade dans la street tel un bandit
tu m’as vu donc n’écoute pas les “on dit”
dans cette life rien n’est conquis, on calcule pas qui est qui
car rien n’est conquis, donc calcule pas qui est qui
j’ai fait du mal, car j’avais trop d’blèmes-pro
j’suis parti à la dérive ma vie c’est d’l’impro’
j’me relève depuis gringo
dans la salle à manger je veux le bingo
et ça travaille dans le bando
si tu me cherches on débarque comme un commando
juste après on fait l’apéro
ceux qui m’on fais du mal ils le paieront
smoke ma weed oui c’est d’l’amné’
il m’en faut pour me calmer
car cette life elle ma scanné
ils aiment te voir ramer
dans la merde cond-mné
mais ils vont comprendre cette année
j’vais leur foutre une sale tannée
je ne me prends pas pour tony
mais mêle toi plutôt de ce qu’il y a dans ton nez
les mots dans mon crâne les ont choqués
les manie dans mon flow les font tchoqués
si y’a un bon plan je suis o.k
je rentrerai chez toi sans toquer
nan tu n’es pas le plus chaud de ta tess
beleck à toi j’pourrais t’prendre de vitesse
arme chargée sur le gp, voilà c’est quoi la vitesse
nan tu n’es pas le plus chaud de ta tess
beleck à toi j’pourrais t’prendre de vitesse
arme chargée sur le gp, voilà c’est quoi la vitesse
nan tu n’es pas le plus chaud de ta tess
beleck à toi j’pourrais t’prendre de vitesse
arme chargée sur le gp, voilà c’est quoi la vitesse
nan tu n’es pas le plus chaud de ta tess
beleck à toi j’pourrais t’prendre de vitesse
arme chargée sur le gp, voilà c’est quoi la vitesse
[couplet 8 : houari (ghetto phénomène)]
ok man, ok man, ok man on va les choquer là
liga one, liga liga liga one
liga one, liga liga liga one
liga one, liga liga liga one
j’trouve pas le sommeil dans mon ghe-ghe-ghetto
gros pétard au soleil, j’ai connu la merde très tôt
y’a du shit, des armes, du biff, des armes, c’est l’ghetto
j’trouve pas le sommeil, direct j’roule un bédo
m-rs-ille ne sait pas parler, cash elle sort les métaux
pour un tel tu agis, pour un tel l’affaire, tu l’écopes
pourquoi tu m’fais le gros ? liga one on a du flow
ah tu veux nous test tu floppes
on partage mais tu veux tout croque
mais pourquoi tu m’fais le gros ? liga one on a du flow
ah tu veux nous test tu floppes
on partage mais tu veux tout croque
[couplet 9 : bil-k (ghetto phénomène)]
eh oh j’suis khabat, j’vois que des têtes bizarres
concert dans le bloc à guichets fermés j’trouve pas l’sommeil comme à ibiza
t’as pas d’vie si t’as pas d’sous
j’dors pas la nuit tant qu’mon avenir sera flou
j’me pète la tête dans mon dél’ j’suis sé-po
gardez la pêche en mandat d’dépôt
ils parlent de nous gp c’est ghe-ghe-ghetto
dans toute la france on s’verra bientôt
c’est ghe-ghe-ghetto
[refrain : jul]
tu dis qu’c’est ton frère qu’tu l’aimes trop
mais pourquoi tu donnes le go ?
on sait qu’t’as faim qu’t’as les crocs
mais pourquoi tu m’fais le gros ?
[couplet 10 : jul]
mc tu as rien niqué c’t’année, sors pas d’armes t’es pas un voyou
parle pas trop car on sait jamais, même ton jnoun m’arrive pas au genou
j’fais les choses comme j’veux j’les baise tous j’m’en bats les
oui j’m’en bats les quand c’est jul move your body
oui le beat t’emballe alors bouge ton boule
et si l’videur t’recale dis-lui “vafencul'”
regarde ma vie j’ai traîné, j’me retrouve à la télé
dans le tieks j’fait des délits dans mon délire dur d’atterrire
si tu m’aimes pas dis-le moi, j’jamais dis que j’deal moi
mes potes ils sont pas bien ils s’fument j’sais pas combien de kils’ au mois
elle m’joue la dure elle m’fait la réservée, vu son p-ssé j’peux pas la préserver
c’est ton ami mais à quoi il t’servait ?
maintenant à c’qu’il paraît il t’cherche au srv
[couplet 11 : kamikaz]
dites aux putes que j’ai rien à prouver, j’prends j’me sers de ce que j’ai trouvé
j’rappe terter et si tu veux me faire taire, poto tu me cherches gros j’suis pas dur à trouver
j’donnerai plus crois-moi si j’le pouvais
pour l’terter poto moi j’en connais beaucoup qui tueraient
j’fais c’que j’peux comme j’veux pour les potos depuis le début en plus c’est liga one qui envoie la purée
suffit pas de dire les choses, faut -ssumer
suffit pas de faire les choses, faut -ssurer
on reconnaît les vrais potes, sur la durée
même devant les jurés rien ne sert de jurer
j’trouve pas l’sommeil j’effrite sur le produit
la porte était fermée j’suis p-ssée par le conduit
que des mythomanes crois pas tout c’qu’ils t’ont dit
poto on fait comme on veut on s’en fout de c’que t’en dis
[refrain : jul]
[couplet 12 : frizer (ghetto phénomène)]
boy, c’est la liga one qui prend le contrôle de toutes vos manettes
on taffe comme des chinois h24 à gratter je trouve pas le sommeil
c’est la rue qui nous a validés, tu peux pas nous tester
sur le beat on est trop carrés, allez-y remballez
bip bip, on arrive comme il fallait
petit pas de danse on arrive trop fêlés
il fait le fou te c-sse pas la tête fais-le
mais quand tu le vois dans la rue, mets-lui
moi c’est friz’ sur le son j’me promène
plus de haine que de sang dans mes veines
tu t’demandes mais pourquoi pas la peine
t’es rentré faut qu’t’-ssumes, fais ta peine
j’trouve pas le sommeil, parce qu’il m’manque de l’oseille
c’est la dalle qui t’réveille, moi mon frère c’est pareil
[couplet 13 : soso maness]
eh yo, on y va doucement
j’en ai mis du monde d’accord poto depuis c’temps
arrêtez le rap les gars vous perdez votre temps
pour les mc morts je demande un instant
t’entends ? tout niquer dans le game la famille c’est tentant
dans les ruelles de ma ville résonnent les pan pan
et si tu veux l’oseille vas braquer en 4temps
on vient reprendre le game c’est c’qu’il fallait
déterminés comme dans les dom-tom
shab t’es un voyou ouais allez, allez
liga one les baise, que des bonhommes
direction la jonq’ ouais on décolle
montes pas trop le ton tu vas goûter l’sol
ça kicke sur du rap du raï du dance hall
quoi t’as fais du buzz laisse-moi rire, lol
[refrain : jul]
[couplet 14 : veazy (ghetto phénomène)]
bouge tes fesses, allez wiggle wiggle
j’aime trop le sexe, devant ton boule je bigle
vas-y déstresse, pour toi j’en roule un big
faut pas qu’tu t’vexes sinon j’te next, mais non je rigole
c’est pas pour noyer mes sentiments que tout le temps je picole
mon âme est sombre et oui b–tch c’est ton corps que j’picore
et j’fume ma kush, accompagné d’alcool
j’aime comme elle est cash et quand à mon dos elle s’accroche
[couplet 15 : kalif hardcore]
dans l’ghetto c’est call of
ça refait tony pour un billet mauve
sale l’économie en manque de loves
j’te le dis mon pote ça tise à mort
des fils de pute s’occupent de ma life
sur la piste bella se balade
j’vois la lune de loin sous vodka
demande à aram une vie de malade
j’suis ca-ca-calé dans mon carré
j’suis pété elle vient me parler
c’est quatre heures envie d’me barrer
j’me retrouve pété sur le jarret
vida loca la vie de taré
donne la photo et donne le tarot
envoie l’mandat et paie l’avocat
reste pas trop là y’a que des paros
[refrain : jul] (x2)
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