termine 2017 - jarod lyrics
[intro]
yeah
tu connais les bails ma gueule
on laisse jamais de faille ma gueule
aie aie
[couplet 1]
je veux des diamants des rolex et je renflouerai la street et l’afrique avec
zulu tu veux tête-à-tête je vais yé-p’ ils vont te fumer comme une cigarette
ils galopent dans la ue-r c’est pas un hippodrome
ça vient du 19 pas de vincennes zulu gratte le mur fait un kilo de c-ke
tu connais les bye ma gueule on laisse jamais de faille ma gueule
on les tient par la peur y’a pas de nouveau challenger
chez nous y’a pas de m-sseurs embauche que des molesteurs
[pont – clip uniquement]
“alors lequel de ces gentleman voudrait se joindre à notre équipe ? hein ?”
[couplet 2]
tous les jours je nique des sœurs, sans cœur comme un lannister
maintenant la mode c’est la trap ils savent que danser comme aç
je remets le rap à sa place un penalty dans sa face
je suis pas mc à la base, je pourrais bien te niquer ta race
mauvais payeurs ça m’agace fdp finis la phrase !
jarod arrive, ram-sse le savon, tu veux vraiment connaître les javons
paradis ou enfer nos destinations, miami ou nanterre mon estimation
tu lé-par je fais la guerre je redore le blason, tu sais jamais quand faut se taire, tu blesses tes nasaux
kadhafi en poster, cow-boy sans l-sso, je t’ai pas connu gangster, putain de can-sson
tu sais que j’ai raison, à la salat je m’attache
ambiance renaissance quand michel-ange traine à sparte
pour acheter 9 mm j’ai refourqué la smart, j’en ai fait des kilomètres avant de bouffer ma part
j’esquive les shmets, les shmidts, le shtar, ils se font des couettes, j’ai pas le style de star
[refrain]
l’horloge tourne je remplis mon sac, yeah
si la zik c’est mort je reprends la charcle
j’élimine, j’élimine tout ce qui bouge personne me blague
j’alimente, j’alimente si je peux plus c’est que je suis au shtar, yeah
voiture allemande avec des frappes, yeah
kardashian dans le cellophane
mélomane, mélomane depuis le début je vends de la frappe
j’élimine, j’élimine toutes les pourritures que je croise, yeah
[couplet 3]
si t’étais un ami t’aurais pas le m-seu ! j’pense à rigoler quand tu m’appelles monsieur
one one ça va pas durer longtemps, c’est des monuments ils sont figés dans le temps
je ne les aime pas moi eux c’est distant temps, temps
j’y suis arrivé tout seul, pas de piston, t’es une salope, tu gazes, tu m’appelles fiston
eux ils t’ont sodomisé nous on va te fister narvalo, pas le même level ton plan tombe à l’eau
harbat selek j’ai vé-squi le ballon, moi c’est pas le même, je suis pas tombé dans le panneau
j’encaisse des chèques, j’adoube ton maître, menottes me guettent, j’avance quand même
j’ai peur de perdre, je les baise quand même, redoute la bête ! salope de merde !
ils me disent ” tue-les ! fais des freestyles vas-y rentre dans le cercle ”
ça sert à rien, j’en aurais fait un carré, ils auraient pris le seum, ils m’auraient boycotté
ils suivent pas le flow, ils ont des points de côté, je suis un mélomane, ils ont du mal avec les multi-syllabiques
chaque année, j’enculais mes limites, je reste en dehors de vos polémiques…
[pont – clip uniquement]
“-si c’est si facile, pourquoi tu ne l’as pas encore fait ?
-on ne fait rien pour rien, quand on a du talent.”
[couplet 4]
bon bref, la zik me fait mal à la tête igo, ramène les lovés
je place un big up à beriz , pied au plancher boîte 6
ramène tes potes ! ramène tes ille-cou ! ramène tes armes !
ramène tes rappeurs ! des mythos comme d’hab, dis-leur de p-sser chez oi-m, je vais leur éclater les bras
ils vont porter plainte wallah c’est pas des salades, je vais dédicacer les braves
galadjo à villepinte, limsava, bichon et mak, les albanais et bosniaques
mon gava de saint ouen kamora, makram et bad, ceci n’est pas un m-ssacre, nous on vient de la jungle
on connaît pas la volaille, on marche solo pour la graille
j’éteins la lumière, batman !
je voulais m’en aller mais l’entourage a pas laissé, on dirait qu’il me voulait du mal
bouffeur de cake tu postules quand même, tu rêves de la gloire
t’es de la chair à canon comme tous ces arabes de merde qui vendent des esclaves, yeah yeah
les noirs veulent pas se réveiller, ils pensent qu’à jeter des billets
les blancs sont scandalisés, continuent de coloniser
omar sy retourne sa veste fait le bavon quand ça l’arrange
aristocrate j’ai le bras long#juan antonio samaranch
je bombarde comme un dingue, visser comme un colombien
j’achète v’la les flingues, ça me r-ssure, ça me fait du bien
ils faisaient les têtes dures, ça rafale maintenant veulent parler
balance vend de la pure, balance veut s’acheter une bentley
personne pourra jamais dép-sser le flow ! ne m’appelle pas j’ai libéré les animaux
7.5 monument du game, pas de bol ! cavale, cavale ! ils ont libéré gbagbo !
c’est ma ballade, j’encaisse la boxe, le muay-thaï, y’a des balances qui pèsent, qui fourguent de l’écaille
con-sses vénales michetonnent du bétail, football, qatar, je t’épargne les détails
t’es un c-ssos de fou, demande l’abattoir ! je suis en finale, tu tombes sur oi-m, gare à toi !
les jeunes s’approchent du swag de magloire, va te suicider ! je te prête la baignoire
alexandrie dans le viseur, je suis pas le suppôt du diable
le nom des anciens potes dans le chargeur, ils étaient pas fiables
[pont – clip uniquement]
“dès qu’il y a un pet-t coup dur. qu’est ce qu’ils font ces civilisées irréprochables ? ils se bouffent entre eux.”
[couplet 5]
suceurs en 2018 vous allez me couronner
je vais pull up dans ta cité faudra pas te déballonner
haineux tu me connais même quand tu viens me té-sau tu cours bien vite
t’as de la chance j’avais rien sur moi mec sinon tu serais plus reparti
les restes viens les grailles maintenant tu n’as qu’une seconde !
m’appelle jamais j’ai plus le temps je fais le tour du monde
j’ai dû m’en aller pour pas avoir à faire du placard
j’ai dû m’en aller pour pas avoir à faire du habs
igo c’est la merde je vais les tuer sur scène dalida en feat ! (je l’aimais, je l’aimais, je l’aimais !)
si ta vie est belle moi c’est pas la même, mec prêtes-moi un filtre !
billet, matos, balance, placard, pera, rédemption
j’ai revendu le gamos, palace pour ma mère, f-ck détention !
je suis arrivé solo dans le game boy ! je suis arrivé solo dans le game boy !
batman, batman ! je brille dans le ciel, ils m’appellent boy !
batman, batman ! je brille dans le ciel, ils m’appellent boy !
batman, batman ! je brille dans le ciel, ils m’appellent boy !
[outro]
ah oui là jarod c’est un fils de pute wallah
ah ouais tu l’né-co ou quoi ?
c’est une poucave dans l’19ème frère on l’connais
bah ouais on connais les rappeurs wallah
il [?] comme un dingue frère
eh vie d’ma mère, on l’a interdit du quartier poto
wallah ?
wallah ! il est là il suce tout le monde, il suce tous les rappeurs
mais ça s’voit c’est un enfoiré
il croit il va percer
et il se donne trop à fond
qu’il aille se faire enculer wallah
il connais ici wallah
et cement-dou poto, là cement-dou
et j’crois il arrive
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