arcade - i300 lyrics
arcade lyrics
[paroles de “arcade”]
[intro : staline]
ma*ma*max k!llthem
woah
[refrain : staline & nezo]
trop pressé, il s’déplace en bécane, avenue charles de gaulle, y en a une pour quatre (les boulettes dans les mains)
il est stressé, il veut que l’digicode, elle couche ses marmots, elle descend en quatre
une seule me suffit pourtant, j’les veut toutes (elle bouge ses fеsses, en même tеmps, elle)
elle pète un câble, le cœur sonne à mort (tac*tac*tac)
chef étoilé, j’m’applique quand j’découpe (tac*tac*tac)
lean comme si j’ai huit cœurs dans mon corps (tac*tac*tac)
[couplet 1 : staline]
depuis p’tit, il court qu’après la money et y a poto qu’est bloqué dans l’escalier
et au dix*sept, ah, il découpait des plaques, il a tenu le sac placé rue des pyrénées
celle avec le temps, gros, elle est déjà terminée, comme elle est terminée, eux, ils ont l’mort
après l’avoir tartiné, tartiné, tartiné, j’enfume toute la pièce avec ma vador
eux, ils fument la frappe donc ils sont fake, avant, j’étais postiché devant la fac
j’revendais les pattes, la tête de ces fakes, j’demande à hd de remettre mon quatre
avant qu’on les guette, j’y allais à patte, même si j’la prends, j’ai billets sur le té*c’
dans la caisse, on est quatre, j’sais pas lérave lequel, [?] ou les filtrés au calme
[pont : staline]
opposant sur le boulevard, j’ai vu détaler comme usain
tout l’monde nous a vu, la caisse est noire et le cup est red, sur le coin de rue, j’bois cul sec
c’est le hennessy ou la lean
[refrain : staline & nezo]
trop pressé, il s’déplace en bécane, avenue charles de gaulle, y en a une pour quatre (les boulettes dans les mains)
il est stressé, il veut que l’digicode, elle couche ses marmots, elle descend en quatre
une seule me suffit pourtant, j’les veut toutes (elle bouge ses fesses, en même temps, elle)
elle pète un câble, le cœur sonne à mort (tac*tac*tac)
chef étoilé, j’m’applique quand j’découpe (tac*tac*tac)
lean comme si j’ai huit cœurs dans mon corps (tac*tac*tac)
[couplet 2 : nezo]
ses fesses rebondissent en même temps qu’j’les claque, dans la blanche, elle fait comme aimée
j’suis comme biggie quand cette b*tch s’éclate vu qu’les bons comptes font les bons amis
illégal, j’fuis le go, uh, nikita donne le go, uh
shooter s’arrête au stop donc j’fais belek à la file de gauche
bientôt au top, j’étais dans l’fond, lean dans mon cup, j’nique ma tension (lean)
la guerre est finie mais les bruits de coups d’feu résonnaient dans sa tête comme une chanson
le cœur qui bat pour gros montants, zéro pour toi, un pour mon camp
si j’en touche un, j’ai toute l’équipe car j’ai les yeux plus gros qu’mon champ (nicki, wow)
[pont : nezo]
les murs de la tess, j’les vois comme un con, même les yeux bandés
elle imite hadès à la perfection, elle pourrait m’venger
j’retire le collant, tookah vient d’hollande, j’le passe au partenaire
j’suis pas l’plus violent mais d’vant le longchamp, j’en ai vu par terre
[refrain : staline & nezo]
trop pressé, il s’déplace en bécane, avenue charles de gaulle, y en a une pour quatre (les boulettes dans les mains)
il est stressé, il veut que l’digicode, elle couche ses marmots, elle descend en quatre
une seule me suffit pourtant, j’les veut toutes (elle bouge ses fesses, en même temps, elle)
elle pète un câble, le cœur sonne à mort (tac*tac*tac)
chef étoilé, j’m’applique quand j’découpe (tac*tac*tac)
lean comme si j’ai huit cœurs dans mon corps (tac*tac*tac)
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