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h8 - heykel lyrics

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[couplet unique]

les larmes sont beaucoup plus fiables que les sourires
c’est plus la même chose si j’ai eu besoin de l’dire
tes nerfs sont tendus l’matin quand on est lundi
conscient qu’dans ton entourage y’a au moins minimum un indic
dans l’esprit d’un enfant une maison c’est un carré et un triangle
dans l’esprit d’un adulte c’est trois cent milles euros
sur 8 milliards d’humains y’a p’t’être cent milles heureux
c’est l’fait qu’tu veuille montrer qu’tu l’еs pas qui prouve que tes pеureux
c’que ta pas fait pour ta mère tu l’a fait pour elle
le cœur peut te faire prendre des directions qui sont pas très rationnelles
on cache tous une parti d’nous même
sinon a quoi servirait les codes de nos téléphones
il faut mettre de côté les faux
l’terrain est mort c’est un micro*onde pas un four
un peu différent mais pas fou, toi et moi équation parfaite
a quoi pense un artiste pendant la création
en littérature on sépare la rime de l’allitération
et tous les murs qu’j’ai tenu vont être remplacer par des promesses
la vraie nature de l’homme te sera révéler par l’oseille ou l’s*xe
pu d’liberté c’est pourri comme mes premiers textes
et la tournure de l’histoire qu’on t’raconte dépendra du contexte
c’est les plus forts qu’on test , les faibles sont font hagar
un kilo saisi fait plus d’bruit qu’une tonne qui pousse dans un hangar
imagine un 2000 qui fait 2m qui t’propose une bagarre
aujourd’hui c’est des trous dans la peau avant c’était des coquards
la route est longue, j’ai peur d’oublier l’chemin du retour
être à l’heure ça évite de justifier l’r*t*rd
ils m’ont dit c’est la merde moi j’ai dis c’est la vie
et y’a des keufs qui font tellement d’bavures qu’ils ont même plus d’salive
la sagesse de la lune la dureté du soleil
la légèreté d’une plume, celle qu’on veut pour l’sommeil
en tant que guerre tu mets une arme de poing sous l’sommier
tes ennemies se feront passer pour la pêche pour v’nir te soulever

la pomme qu’eve à goûter, mes sons à écouter, l’talent en train d’douter
l’patron en train d’compter, le sable en train d’tomber
comme les feuilles qui disparaissent en hiver, qui reviennent au printemps
c’est devenir un signe de richesse de plus avoir le temps
d’ailleurs j’espère ne plus en perdre
faut aussi reconnaître les bons cotés d’la merde
deux civilisations distinguées par une mer
les mauvaises habitudes qu’on laisse en avril reviennent au mois d’mai
le destin lis les grandes extrémités du monde
a défaut que nos femmes veuillent bien l’être pourvu qu’la terre soit ronde
c’que ta bouche dit pas, j’ai pu l’voir dans tes prunelles
l’orgueil transforme en drame ce qui devait rester une simple querelle
et a force d’en avoir tu fini écœurer
j’en apprends tout les jours un peu plus comme un vulgaire écolier
j’suis pas très loin d’ton cœur un peu comme ton collier
y’a les p’tites en boite et des calibres sur des tempes qui sont collés
il faut combien d’atomes pour faire une molécule
100 milliards c’est la maille acquis
j’profite de mes biens mal acquis
les sentiments sur l’bateau
le cœur est sur le quai
y’a des roman auquel on peut rien répondre a part un « ok »
c’est quand tu dis jamais qu’ça fini par s’produire
y’a des clients et des keufs qui sont a la r’cherche du même produit
et j’suis perdu comme un orphelin qui jure sur la vie d’sa mère
comment expliquer qu’on aperçoit la mort quand la bac s’amène
elle roule des joints et ses fesses
orange ou sfr
tu veux savoir quand est*ce que j’sors d’ici gros mêle toi d’tes affaires
ta fini plus bas qu’terre pas très loin d’son noyau
on a sorti l’poisson d’la mer et c’est là qu’on la vue s’noyer
et murât vient d’sortir j’en ai la larme à l’œil
et y’a certains aspect du placard qui vont m’manquer une fois qu’ça sera mon tour
et j’dis tout sauf des mythos
j’m’entraîne à la mi*temps
bien en thaïlande comme au mitard
j’ai fais d’la route comme un motard

j’ai croisé cupidon j’ai brûler toutes ses flèches
y’a ce qu’on suppose et y’a les faits
y’a les demi vrai et les faux
et y’a des choses qui m’dépasse comme un basketteur
la réussite met du temps espérons qu’elle soit à l’heure
rayon d’soleil synonyme de bécane au quartier
dans l’pays des droits de l’homme j’vois des personnes dormir sur des cartons
victime de polémique à la moindre [?]
si j’avais su qu’l’savoir était une arme j’aurai pas jeter l’cartable
si ta une dent contre moi, j’te conseil un dentiste
soit plus réfléchis dans tes phases une preuve et tu l’a dans les fesses
et quand j’écris j’me prend la tête y’a de quoi finir décapiter
a ton avis pourquoi ils ont mis du goût a certaines capote
un stylo et une feuille t’inquiète ça f’ra l’affaire
c’est souvent quand t’en aura le plus besoin qu’disparaîtra ta force
elle traverse le torse passe à coter du cœur
a l’école de la vie l’échec c’est l’meilleur cour

et l’amour ça s’créer de rien c’est p’t’être notre imagination
la faim s’creuse donc la guerre commence quand il reste une seule ration
a part ça, y’a eu l’apartheid aujourd’hui c’est l’séparatisme
j’aime les billets en fonction de leur couleurs pourtant j’suis pas raciste
tu vois l’mal, sa noirceur mais pas ses racines
tu veux faire peur a toute la france entière trouve de l’huile de ricin
elle est bonne mais y’a pas d’quoi en faire un plat
le bosseur retiens son souffle, la nourrisse touche le rsa
la drogue dans l’coffre du rs4
les années passent et il reste qui ?
la neige a fini par fondre et peu importe le prix des skis
le seul lien que j’ai avec michel c’est que j’fournirais jamais d’aveux
balance une fois, balance à vie t’en parle mais est*ce que tu l’a vu
échec et math j’ai pensé six coup à l’avance
pour voir un arc*en*ciel faut qu’le soleil se mélange à l’averse
une barbe un terroriste les pointeurs à la messe
essaye d’être un peu plus subtil comme quand tu roule ton joint d’amnés
et quoi qu’on puisse en dire c’est d’la littérature
ta l’secret le diras*tu, elle t’a trompé le dira t*elle
ça sert à rien d’mettre une cagoule pour en parler au tel
te fais pas d’illusion en dessous d’son voile c’est p’t’être un porte*jarretelles
détester par les uns, aimé par les autres
et le p’tit a tellement lancé d’missile qu’il sait luxé l’épaule
l’enquêteur à coté d’la plaque comme le paquet d’pâtes en prison
les bonhommes se taisent, les poucaves chantent à l’unissons
c’est parti, le stylo c’est l’calibre, dans ma tête y’a les munitions
et on a pas les mêmes réponses vu qu’on s’pose pas les mêmes questions
j’suis buté comme un mort, écouté comme un mot
partout chez moi comme un môme, quand elle part tu lui dis je t’aime
j’appréhende le jour où ça s’ra qu’un souvenir
j’ouvre les rideaux et discrètement j’regarde toute ma ville s’endormir
ça devient dangereux quand les cris deviennent des soupirs
l’affection c’est les murs d’une relation, la confiance c’est l’support
la paix c’est qu’une bande de guerriers qui font la grève
c’est pas crédible comme un insomniaque qui nous a vendu du rêve
ça s’termine tôt ou tard peu importe la durée
la seconde guerre mondiale aurait pas eu lieu si l’papa d’adolf aurai mis une durex
comme julien l’pilon est doré
quand tes larmes coulent elles caressent ta joue c’est pour te rassurer
descendant d’esclave pour nous c’est chacun son dos
et comme les jugements a la barre pour la mort c’est chacun sa date
le dernier mot d’la dernière phrase nous sert a coupé l’ramadan
sur les terrains d’héroïne aujourd’hui tu trouves le grammes a 20
si tu dis qu’j’ai changé c’est qu’t’aime la personne que j’étais avant
mais bon personne ne change on devient la personne qu’on est réellement

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