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h20 - heykel lyrics

[paroles de “h20”]

[couplet unique]
une plume qui se respect a la phobie de la feuille blanche
c’est d’un flocon de neige qu’a démarré l’avalanche
que va devenir l’ange entourer de sheitan ?
en temps de guerre c’est un déshonneur si mon sang ne coule pas comme les nuits d’noces d’une gitane
et j’ai beau réfléchir j’trouve pas les solutions
“l’argent fait pas le bonheur” la race humaine fait mentir le dicton
c’est la nuit que le silence fait son apparition
quelques larmes, un sourire font toute la beauté d’une contradiction
dis*toi qu’si t’es sur terre y a sûrement une raison
et surtout si t’es né après qu’on ai créé la contraception
j’regarde devant moi a part si je doit passer un passage piéton
la maturité m’apprend ce que c’est que l’autodérision
pour faire de l’oseille y a ceux qui mettent une paire de gants
et ceux pour qui le métier consiste a éviter de mettre les dents
et j’imagine que dieu voit toutes les âmes en peine
on a fait la guerre un jour on s’est dit c’était peut être mieux la paix
a priori la destiné d’une balle n’est pas de nous rendre heureux
après tout c’est un trait de caractère comme un autre d’être un peureux
dis pas que t’es amoureux : elle risque d’en jouer
ça va d’venir un rare mariage que seule la mort va séparer
le temps pour réparer
le rap pour égarer
on se contente du rsa, a la base c’est fait pour dépanner
pour véhiculer un message on brûle ceux en bas de nos cités
c’est une honte pour les singes si les hommes sont leur cousins éloignés
et demander pardon c’est aussi savoir rester silencieux
trop de bonheur tue le bonheur
trop de malheur et ça en devient tout de suite moins douloureux
j’aimerai rencontrer baloo : lui demander s’il est vraiment heureux
avant de juger essayons de comprendre
avant de parler apprendre
ton ami t’a prêté s’il te plait oublie pas quand c’est l’heure de rendre (ahaha)
peut*être que si tout le monde est égoïste au fond personne ne l’est
et c’que je viens de dire est aussi valable pour la générosité
la vie n’a aucun sens a part celui que tu veux lui donner
je refais les mêmes erreurs quand ça marche pas je suis quand même étonné
accepte ses défauts tant qu’ils prennent pas le dessus sur ses qualités
des fois j’me sens comme un super*héro qui a personne a sauver
elle m’a demandé ce que je pensais d’elle j’lui ai répondu “si tu savais”
j’y ai tout vu sauf de la justice au palais
y’a cette soeur qui se fait virer de son école pour la manière dont elle est habillée
du coup ou se retrouve le mot liberté ?
le luxe : un ennemi invisible, tous gourou a ses disciples
les feuilles de l’arbre les ont jamais vu mais elles doivent tout aux racines
et avant qu’une relation prenne fin y a presque toujours des signes
on va refaire le monde malheureus*m*nt ce sera avec des “si”
tu feras des rencontres
certaines sont plus marquantes que d’autres
t’as voulu gifler son daron quand t’as entendu le prix de la dote
le client veut sa dose, la guerre cherche une cause, la lassitude veut faire une pause
l’amour veut ses pétales de roses
une arme fait couler du sang, mia khalifa du sperme
et j’pense a sa face cachée dès que j’aperçois le bout de l’iceberg
à force tourné en rond sache que tu vas jamais en faire
la j’peux pas clipper dans ma ville a cause du contrôle judiciaire (non non)
et j’pense pas que le vent puisse suivre un itinéraire
le fouet c’est l’ancêtre de ce qu’ils appellent un salaire
une anomalie dans le fin fond de l’univers
une planète bleu insignifiante issu du système solaire
la naissance d’un homme la fin d’une civilisation
un ensemble de notes de musique qui forment une partition
un homme de foi qui dissimule sa partie sombre
une croyance négative qui trouveras quand même quelques partisans bref
une seconde c’est plus précieux qu’un milliard en cash
les choses qui t’affaiblissent sont les choses auxquels tu t’attache
un iphone des datas, arabes, noirs, entreprises, quotas
et j’demande pas l’addition de peur de voir ce que ça va me coûter
j’avais faim j’ai pas eu le temps de faire une crise d’ado
luffy m’a dit “j’préfère mourir que laisser mon chapeau”
et quand le roi part en guerre c’est la reine qui garde le château
m’en veut pas faut bien qu’un personne mange les miettes du gâteaux
y a pas mieux que la chambre d’un enfant pour te parler de ses rêves
c’est plus facile de la respecter quand tu crées la règle
c’qui tue pas rend plus fort ou laisse des traumatismes
est*ce que la manière la plus subtile de voter c’est l’absentéisme ?
(j’sais pas moi)
j’regarde le ciel pour me rappeler que j’ai les pieds sur terre
j’regarde la terre pour me rappeler que je finirais au ciel (faut pas oublier)
faut venir avec des arguments si tu veux négocier
j’connais la valeur de chaque choses un tout petit peu comme un caissier
j’pense aux étoiles d’un coup j’me demande si elles ont conscience d’elles mêmes
est*ce que celle qui brille le plus a rendu jalouse les autres ?
va pas dire au maitre de maison comment gérer ses hôtes
et tu vois qui est qui quand faut payer la note
y a plus clicher qu’un arabe qui vole : c’est le contenu d’une pellicule
au début c’est difficile jusqu’à ce que ça devienne une habitude
la vie c’est une école, considère chaque épreuve comme des études
mise à part ça j’essaye de plus être otage de mes certitudes
et si une influenceuse chasse le naturel
il intervient au galop accompagné de chirurgie
j’me sens bête comme un révolutionnaire qui regrette l’ancien régime
quand on me dit qu’il faut tout pour faire un monde moi j’pense au pédophile (hum)
tous un peu différent nous a dit l’adn
j’ferais plus de vague comme un jet*ski a la frontière algérienne
vroum vroum c’est que la bécane a démarré
force a tous ceux qui cha3d des qu’ils aperçoivent une passer
et la vague est si grande j’en ai les yeux plissés
si j’ai l’info j’vais m’en servir j’m’en tape du délit d’initier
et y a zoro qui a finit par devenir ce qu’il a toujours chassé
y’a quelques souvenirs qui font que t’auras les poils hérissés
on est passer de “je pense donc je suis” à “je possède donc je suis”
elle a tout fait pour me retenir à ses côtés donc j’ai fuis
l’égalités homme/femme s’arrête à où commence la galanterie
quand tu m’écoutes tu finis sur le cul comme un tétraplégique
j’pars du principe qu’on est pas tous doter de la même logique
la j’ai plus d’encre ramenez moi un stylo bic
et j’fais confiance a ceux qui le font pas a ceux qui le revendiquent
on changera jamais les mentalités avec un tweet
et y a cette meuf qui parait froide qui est juste déçue en amour
cette veuve qui espère pouvoir le retrouver après la mort
ils appellent ça des vers nous on appelle ça des mesures
on appelle ça de l’expérience, ils appellent ça des blessure
j’ai pris la route sans être sur de pouvoir rentrer
pris son coeur sans être sur de vouloir le garder
mes premiers textes étaient claqués au sol comme un ballon de basket
on vend des boites un jour on sera nous même dedans comme une plaquette
une idée meure quand elle est pas bien défendu
du coup je simplifie ma pensée pour qu’il y ai pas de malentendus
regarde ce qu’est devenu le débat démocratique
ils utilisent le 49/3 en guise de baguette magique
je referais pareil si j’avais su
j’arrêterai des les aimés si j’avais pu
j’aurai pu apaisé sa peine si je l’avais vu
et personne n’aurait pu se moquer de ta douleur si tu l’avais tue
tu pose des questions t’acceptes pas les réponses
on juge pas un livre a sa couverture, un film a sa bande d’annonce (jamais)
qu’aurai dit la terre si elle pouvait s’exprimer ?
si je te dis j’suis talentueux maintenant reste plus qu’a vérifier (viens vérifier)
on se demande si ça va c’est par pure politesse
et l’oiseau chante le matin un tout petit peut avant la perquise
secret est bien garder, l’ours sur la banquise
c’est les yeux ouverts qu’on encaissent sans preuve que les keufs nous accusent
1 + 1 ça fais 2
2 + 2 c*n*l plus
même en hess pourvu qu’on lui plaise
qu’on fasse le tour de la ville en bus
dans la cuisine en train de bosser, j’fais revenir l’oignon et mes exs
j’aimerai savoir combien sur terre sont le fruit d’une simple histoire de s*xe
2, 3 potos fiables comme un teste de grossesse
j’connais les intentions du méchant j’me méfis de la gentillesse
attentif j’attends toujours de trouver la faille
j’entends des rumeurs y a que ma bouche qui finit sur la paille
heykel !

- heykel lyrics

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