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h13 - heykel lyrics

je te dirai pas que j’aime ma mère, c’est un pléonasme
c’est un échec de se réjouir de plaire aux nazes
aux promenades, on fait des tours, un peu comme taz
une grande tristesse mélangée aux souvenirs
au fond de ton verre de tiz
y’a ces femme qu’on insulte, de tasse qu’un jour on se devras d’respecter
un jour, elles feront partie d’une époque
toutes nos modernités, victime d’un paradoxe
être en cellule dans le pays où le premier mot de la devise c’est la “liberté”
ordinaire ou particulier, son secret t’est parti le crier
tu te présentes comme un trou du cul, ils ont pas d’autre choix que t’enculer
si t’as les poches pleines, ils feront tout pour te coller
demande a [?] ,poto , tout était calculé
la promenade du shtar, celle de la récréation
y’a des millions de particules qu’on inhales en une respiration
le dernier jour sera mieux apprécié le premier
et laissé, aucune preuve, ça a devoir ne jamais les nier
je compte pas sur ces formes, mais sur le fait qu’elles soient [?]
10 ans de relation, c’est pas assez pour savoir si t’es fiable
une sensation de fou quand t’entend “t’es libérable”
t’es tombé malade sur le terrain, parce que y’a pas d’trêve hivernale
et moi je peux plus traîner vers lille, je travaille le cardio et la rime
ton téléphone a borné, du coup à 6h, ils ont fait “bim bam boum”
un tracker sur la toum, j’ai écrit l’histoire et cet homme
vas*y viens, on assume nos torts
va falloir qu’on reste des bouts, un peu comme quand on prie sur un mort
aujourd’hui tu le donnes, demain c’est peut*être toi qui exécuteras l’ordre
le chien réfléchit avant de mordre
difficile de rester en vie quand tirer c’est devenu une mode
on pense tout se connaître, on évolue tous les jours
une peine peut venir prendre le dessus sur toutes les joies
un peu de lumière, je fais doter l’obscurité
le sentiment le plus important c’est celui de la sécurité
le soleil se couche, laisse place à la lune
plus de violeurs en liberté que de kilos qui ont passés la douane
les vagues doivent à la mer ce que le désert doit aux dunes
autrement dit, y a personne qui se fait seul
dans le kilo, il y a 1000g
si ma mère me piétine, c’est des coups de paradis
donc quand je lui casse les pieds, ça devient un paradoxe
y a des clients qui ont braquaient pour une bosse
c’est peut*être ta soeur derrière la caisse qui va se manger quelques coups de crosse
et vu l’époque, j’hésite à faire des gosses
je préfère un mensonge bien habillé qu’une vérité qui se déguise
ma plume est en métal, quand j’écris, elle s’aiguise
elle me dit qu’à force de la faire travailler, par moments elle s’agace
mais t’inquiète, je fonce pas tête baissée
je regarde les trous dans mes chaussures
le radin, je dirais que pour pas partager, c’est mieux de faire les choses seul
je suis dans la merde comme la matraque des keufs qui ont tabassé théo
être prétentieux, c’est aller présenter la météo
les meilleurs conseils que tu peux donner, c’est ton comportement
fécondation, une vie qui se termine par un avortement
quelle ironie, si tu perds, en [?] la rue te donne une vocation
et fais*toi un parcours erroné, le diable est dans les détails
méfie*toi des futilités
ce que tu jettes aujourd’hui, demain aura peut*être une utilité
perdu entre laxisme et trop d’autorité
le défaut le plus repoussant chez une femme, c’est la vulgarité
et moi, j’aime trop quand ça kick vite
le néant dans un sac lv
de prostitution et d’argent sale, c’est comme ça qu’elle vit
quand tu tires à contre*coeur, c’est les yeux fermés que tu vises
vérifie que tu peux pas la retourner avant d’acheter la veste
et les larmes qui coulent sur les cercueils font pousser des fleurs
les histoires racontées avant de dormir sont censées adoucir les peurs
l’amour c’est comme la drogue, il coûte plus cher quand il est pur
appelle les keufs, ainsi c’est plus dénigrant pour les porcs
à l’artiste de trouver son art et au guerrier son arme
le regard, c’est le miroir de l’âme, le sourire de l’esprit
le doute laisse la place à l'[?], t’es distrait quand tu pries
conscient des enjeux quand tu joues, pourtant pas content quand tu perds
je me demande comment sont construits nos regards
quand le mal choisit ses partisans, il les prend sous quel critère?
le sage reste silencieux, l’immature crie à tort
fais jamais l’erreur de penser que pour changer, c’est trop tard
notre soleil, c’est l’étoile d’un autre, l’immensité d’un être
la profondeur d’un acte qu’on interprète mal de [?] son paraître
deux âmes soeur séparées, [?] c’est pareil
si t’as pleuré c’était pour rire, et si tu as ri c’était sûrement pour elle
l’origine de la vie, j’essaie de pas la gaspiller
dieu être étonné par certaines demandes faites dans les prières
la faucheuse est pas loin, elle regarde les centenaires
pour eux, c’est les prolongations, penalty pour reinnes d’angleterre
elle a ton s*xe ou son avenir entre les mains
je te l’ai déjà dit, que le début justifiais la fin
je t’insulte ta mère et c’est peut*être la tante à mon pote
et au final, c’est son passé qui fera varier le prix de la dot
si elle est schizophrène, dites*moi laquelle des deux porte le hijab
vos propos se ressemblent tous, comme des vendeurs d’huile de nigelle
c’est bizarre dit comme ça, mais jacquie serait rien sans michel
ton mental diffère que tu prennes un ascenseur ou une éch*lle
j’fais pas confiance en a ceux sur le banc, encore moins au score de la mi*temps
la suite attendue comme l’été, punchline attendue comme l’enquête
et toi, aucune morsure, ils ont fait qu’aboyer
c’est un guetteur il me jette l’oeil, il va faire comment pour travailler?

et je suis dans la promenade en attente de jugement, ça me fait une petite balade
tu t’es vu plus bas que terre, tu dois tout remonter, poto, c’est de l’escalade
tu sors de six piges, t’apprend que t’on pote en as pris qu’1 c’est [?]
et quand je sors de là, je vais [?],ce que je disais tous les jours à [?]

- heykel lyrics

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