a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

grünt #69 - grünt lyrics

[paroles de “grünt #69”]

[partie 1 * assis]

[intro : edge]
grr, yeah
ouais ouais, ouais
yeah, yeah, ok

[couplet 1 : edge] [0:48]
c’est évident, j’suis plus chaud qu’tous tes potos
j’traumatise la prod comme sch sur auto’
le doigt sur la gâchette, j’appuie tous mes propos
brrr, mon flow, un semi*auto’
j’pas l’temps d’sourire vu j’m’entraîne à gogo, nan, nan, yeah
j’pas l’temps d’sourire vu j’m’entraîne à gogo, ouais
sous cernes, je zone, moteur v12, j’fly comme superman ou jojo
sous cernes, je zone, moteur v12, j’fly comme superman ou jojo, ouais
ma peau est noire, mon cœur est noir, mais j’vais pas mettre du tchoko, non
eux, faut les voir, ils font les zouaves, c’est qu’une équipe de bozos
d*mn, edge, vingt moins un
yeah, ok, brr
chien méchant, tu peux m’appeler kelevra
j’envoie shoot dans la tête, j’viens pas viser les bras
ceux qui dirigent alimentent les dégâts
c’est ces bâtards qu’appauvrissent les caisses de l’état
la plupart, faudrait les mettre en ehpad
le vrai souci c’est eux, ma gueule, pas telegram
moi, j’suis qu’un mec d’en bas qui a besoin d’becte en balle
donc il faut qu’j’accumule les coups d’éclat
grr, mode franchise player, j’rentre mes three p, han
prince dans la ville comme [titi ?] ou hifi
bientôt, j’ai des bagues qui font le prix d’un q7
okay, okay, yes, ouais, yeah
mode franchise player, j’rentre mes three p, ouais
prince dans la ville comme le 113 ou hifi, yeah
bientôt, j’ai des bagues qui font le prix d’un q7
ouais, ouais
[couplet 2 : edge] [2:30]
okay, han, han
yeah, yeah, ouais, ouais
j’m’installe au resto et j’prends la table du maire
on m’vi*ser comme un roi, ces b*tches sont loin d’moi
j’les vois en tout petit, même à taille humaine
ouais, ces b*tches sont loin d’moi, yeah j’, yeah
j’ai des plugs tout*par, du 9.3 au canada
tu veux m’test ou quoi ? mais, mon gros, t’as pas la dalle
moi, j’mets des switchs ou des lucarnes à chaque fois que j’prends la balle
il joue l’thug, il devient tout pâle, dès qu’il ré*ti sur la za’, wah
j’sirote un c*cktail dans l’fond en parlant d’gros llets*bi, ouais
j’connais l’fond des humains, lui j’sais pourquoi il maigrit, uh
j’glisse sur la prod, on dirait qu’j’fais des drifts, ouais
sébastien lobb, steph curry, switch, j’ai tous les tricks, yeah
j’ai tous les tricks, faut qu’j’empile les bricks
r*o*b, rob, let’s get it, mon g, yeah

[couplet 3 : rob] [3:25]
j’louche que d’vant l’beurre
ou un boule quand j’tais khabat devant l’club
dès qu’j’ai la balle, j’deviens clutch
sonne*per à qui j’demande l’heure
c’qui sort de ma boca, c’est du plomb, pas lassé du front
mais j’veux passer du bon temps, pas sûr d’revenir des enfers, j’pense que j’aurai croisé du monde
l’hiver était compliqué, fallait s’abriter
j’roule un j dans mon hall, y a des sobriquets gravés au schlass et des 9.4 marqués au briquet
premier en sport, j’savais pas chanter
c’toujours pas l’cas, mais j’ai pas d’plan b
les années passent, rien n’a changé donc on refait l’monde de janvier à janvier
il a pu neiger, il a plu des g, dans la cabeza, c’est vite fait plus léger
j’mets l’réveil à 13:12, j’lève le doigt, après, j’me r’couche
quelques embrouilles en flashback, une soirée sur deux, c’tait un blackout
c’est plus un [rre*ve ?], c’est un placard
f*ck, la vie, c’est encore une bagarre
j’me défends mieux, tu vois plus d’cocard, sur la slice, faut plus de fromage
y a qu’des vrais cons, me parle plus d’faux calme, j’accélère, ils voient plus qu’le flocage
dans cette merde, j’suis aussi de*spi qu’ato boldon
j’ve*’squi l’boredom, pas d’jim gordon, donc dans la feuille, c’comme le maillot d’boston
[pont : rob & edge]
sh*t
shh, trr
grünt
let’s go, big rob, let’s go
janvier à janvier
let’s go
okay, okay
ouais, ouais, yeah, yeah, yeah
grünt, okay, ouais

[couplet 4 : edge] [4:50]
déter’, j’suis en mode cassius clay quand il faut faire des sous
mon cœur se vide à chaque couplet mais ça crée des bijoux
j’ai quitté l’taf fsur un coup d’tête, j’me suis pris pour zizou
ouais, hahaha, ouais, yeah
j’ai plus l’choix, j’dois faire le nécessaire
j’suis dans des dièses, plus dans le fond d’la caisse pour faire gonfler l’salaire, han
j’ai qu’des plaies, mais pas les clés d’une benz, jour d’été, mais l’cœur froid comme l’everest
et ça c’est every day
la grande maman a la misère, la vie, faut qu’j’la ken
j’pense constamment à des passes pour faire rentrer d’l’oseille
j’connais [?], c’est qu’une tchoin mais j’peux pas l’éviter, non
j’crame encore d’la zeb, j’ai besoin d’léviter, yeah
dans une gova, duragué, j’écoute turban, yeah
devin dans un virage, ma vie prend un tournant, han
j’dois faire ce cash, tout pour l’showcase, j’dois l’faire durement, yeah
vendre d’la ce*pla, prendre des sses*lia, j’dois l’faire durement, ouais
j’ai des sk!lls à la jamal crawford, uh
j’suis trop fort, eux, c’est billy crawford, ouais
il m’faut un style de vie confortable, han
quatre maybachs, les meilleurs ‘teilles, [?] pour s’mettre high, yeah
oh god, j’veux l’salaire de janis
comme dit esso, faut faire une hatem à nice, yeah
oh god, j’veux l’salaire de janis
[pont : toothpick & edge]
han, han, han, yeah
let’s go big toothpick
shout out le big e pour l’invit’, merci, ma gueule
envoie ça, my g
yeah
yeah, yeah, yeah, ouais

[couplet 5 : toothpick] [6:22]
j’suis avec dirty à l’arrière d’un t.e.r low cost
direction faire les sous, la tête ailleurs et le teh aux socks
chaque jour, ma gueule, je pense à faire ce ‘seille au top
musique sincère, tu mets les écouteurs comme si c’était un stéthoscope
trop d’gars sur mes shoes, what up ? c’est quoi ? c’est des cordonniers ?
maman m’dit qu’faut d’l’ordre dans les idées mais j’suis désordonné
ouais p’t’*êt’, on est un peu potes ou p’t’*êt’, tu déconnes trop, p’t*êt’
b*tch, jamais j’décolle trop tôt, j’suis prêt pour des tonnes d’obsèques
plein de rappeurs sous ma s’melle, c’est comme si j’écrase des clopes
on veut pas plus d’esp*ce et d’ordre, on veut juste des liasses énormes
on est là pour rentrer, on veut rentrer, toi, tu décales des portes
un pédophile de plus, tranquille, en france, ça, c’est un cas d’école
yeah, ma monnaie grandit comme si c’tait un adolescent, eh
j’veux pas monter mais j’suis pas d’accord pour la descente, eh
pas d’clopes dans l’paquet d’clopes mais c’est bien d’l’eau dans la evian
mes reufs, j’leur fais des passes, si on est éloigné, j’leur fais des centres
ma monnaie grandit comme si c’tait un adolescent, yeah
j’veux bien monter mais j’suis pas d’accord pour la descente
pas d’clopes dans l’paquet d’clopes mais c’est bien d’l’eau dans la evian
mes reufs, j’leur fais des passes, si on est éloignés, j’leur fais des centres

[pont : edge & toothpick]
big toothpick, let’s get it, my g
yeah, han
montreuil, okay
ouais, yeah, yeah

[couplet 6 : edge] [7:30]
c’est moi qui dicte le tempo, c’est moi qui dicte le tempo
et dès l’intro, j’peux t’rendre accro, normal, j’ai des putains d’flows
j’me prends pour rooney ou r9, à chaque fois qu’j’ai la balle
han, y m’font, huh, huh, yeah
ma voix sur une prod, tu sais qu’ça démarre bien, hey
pass*m*nt d’jambe, roulette, j’finis, j’lobe le gardien
j’mélange la neesh et la weed donc je sens bon, yeah
j’suis dans l’bon, han, j’suis dans l’bon, gros
j’suis dans l’bon wagon, c’lui qui va faire d’la maille, han
gros t’as rien sans rien, tu l’sais bien c’est la base, han
j’avais qu’du pain noir quand y avait rien à graille, yeah
là, j’attends l’caviar, j’vais jamais perdre ma dalle
7*5*0*1*9, tu connais l’adresse
j’viens d’en bas, ma gueule, tu peux m’appeler hadès, han
petit, j’voulais du hermès mais c’tait la hess, han
aujourd’hui, j’mets du hermès au*dessus d’ma veste
comme tommy dans power, j’aime voir ma liasse glow up
comme les tours de doha, donc je me lève à six
comme tommy dans power, j’aime voir ma liasse glow up
comme les tours de doha, donc je me lève à 6

[couplet 7 : rob] [8:26]
le temps qu’j’cogite sur c’qui m’dépasse, six s’maines passent
j’tape quelques pompes chez oi*m, j’déserte le fitness park
j’fais du rap, c’est p’t*êt’ du sport
applique tes passes, j’réduis l’score, vitesse frappe
j’ai pris d’l’esp*ce et quelques sommes mais j’deviens pas un businessman
j’vais que tout droit, c’bâtard veut tout savoir, j’reste courtois
quelques mois qu’elle écoute ma voix, elle veut tout voir
moi, j’m’adresse à tout l’monde, j’suis à la botte de sonne*per
j’aime bien faire le gole*mon, j’suis ni votre prof, ni votre père
le temps, il passe, le café refroidit, j’m’en tape si j’ai des rivaux
j’ferme les ridaux, j’me taille, j’ai rdv dans l’deux fois dix
plus de poids sur les épaules et d’la charge mentale, j’passe pas sous la fonte
moi, j’suis bon à rien à part cracher l’feu jusqu’à c’que ça fonde
d’puis l’départ, j’attends qu’le système casse
le temps qu’j’cogite sur c’qui m’dépasse, six s’maines passent
d’puis l’époque où j’faisais pas mes devoirs
dans chacun d’mes yeux, y a du feu et y a un s barré deux fois
let’s get it

[pont : toothpick, rob & edge]
yeah, han
toothpick
yeah
ouerh
okay
yeah, yeah
ouais, ouais

[couplet 8 : toothpick] [9:20]
j’arrive avec une paire de ciste*ra, un teh de weed grasse
j’tire dessus, j’gaze tout l’tieks, c’est moi, je fais le blizzard
le seul avec une veste kipsta pour faire ce biff crade
un drip froid comme picard avec ma tête de trimard
toi, tu fais que d’pénave mais est*c’que tu bectes ?
bah ouais, nous, on passe des cachets au cachets
scam, scam, aucun scrupule à arnaquer l’haut gradé, han
j’vais pas passer aux aveux, j’vais rouler mon baveux
direction mairie d’montreuil, pas bagneux
shout out lounis, gamberge max en air max avec le pan bagnat
j’mets ton rappeur dans l’armoire, j’lui fais voir le monde de narnia
j’arrive drippé comme un chasseur, du solognac et v’là la gnaque, han
willing dans ta pétasse, pétard, j’fais des vraies liasses
avant, on était tout l’temps collés, maint’nant, on est comme le égal
j’ai la tête sur l’pavé, hun, ma gueule, j’fais des écarts
gros baveux comme un cr*paud, hun, depuis que j’suis têtard
east side, viens pas sucer, b*tch
le plus jeune de c’merdier, faut les éduquer, b*tch
j’fais d’l’argent, comme si j’étais dupliqué, b*tch
j’dors avec ma liasse, han, j’lui fais des triplés, b*tch
ma gueule et mon drip, j’ai même pas b’soin d’ver*’squi les flics
le ‘sin vend d’la blanche à des cadres, hun, c’est sa ligne directrice
[hustle ?] cette musique parce que c’est tout c’qu’il m’reste à faire, hun
le grand veut qu’j’reprenne les affaires mais c’est plus mes affaires

[pont : edge, toothpick & rob]
yeah
yeah
toothpick, let’s go
ouerh
mais c’est plus mes affaires
pdg
han, sh*t

[couplet 9 : rob] [10:25]
j’place la barre d’plus en plus haut
pour qui et pourquoi j’le fais ? va savoir
si c’est pour rappeler qu’tu m’a fait la passe, ouais, garde la balle
reste ici, moi, j’frotte là*bas
j’ai beaucoup foiré, c’est pas la poisse
d’moins en moins soirée, j’reste à l’appart’
j’guette par la f’nêtre et j’connais pas toute l’histoire
mais y a des mots, des bouquets d’fleur d’vant l’bar*tabac
quelques dettes qui traînent, quelques têtes qui datent
des traitres qui boitent, des ordures qui prêchent mais ils pêchent
ouais, j’crois qu’j’en ai assez
vous boycottez sonne*per, f*ck, chaque fois, vous laissez passer
pas là pour négocier, ni pour doser
j’bosse pour finir vers san josé ou au gosier
et parfois, j’peux causer trop fort, f*ck
du mal avec ceux qu’ont du mal à s’opposer aux ordres
et tu peux m’capter, j’suis parfois vers mars ou dans paname
pas surpris si j’croise la wehrmacht
j’compte gagner l’match dans l’money time, j’fais des hold up, j’suis là pour les tales comme le dobermann
à part ça, j’lève trop souvent l’oigt*d
j’ai des tonnes de raison mais j’dois m’faire une raison
faut qu’j’regarde devant oi*m, pas sur l’té*c’, j’me sens comme enfant d’pauvre, j’en oublie doucement l’chemin d’la maison, wow

[couplet 10 : esso luxueux] [11:45]
ta weed est trop light, light
gros, laisse*moi fumer ma clope
j’suis devenu insomniaque
quand j’ai appris qu’morphée était un homme
wesh, frérot, qu’importe
on s’raconte donc si y a des schneks, on approche
j’ai ni skate ni roller, mais t’inquiète pas, ouais, j’ai d’la wax dans la poche, han
j’traverse la campagne, j’fume que des cinquante balles, mets*toi bien ça dans l’crâne
si on blasphème, c’est qu’y a plus rien à perdre donc normal si j’emmerde saint antoine
lis c’que tu veux sur moi, j’parle pas d’argent sale quand j’dis qu’tous vos billets puent, han
j’f’rais les bails pour mon équipe, les autres, ouais, même à jeun j’leur han
j’connais plein de fille d’l’est
y a rien que les putes et la drogue qui m’font
que j’suis bloqué un vendredi 13, han
mais j’me suis creusé, mon appétit baisse
j’suis comme mamen bazz
j’suis bien loin d’l’époque de l’album des guinness
pourtant, j’cours après l’bonheur
mais c’bâtard a une bien meilleure pointe de vitesse
hun, mais c’bâtard a une bien meilleure pointe de vitesse
e.d.g.e double s
goldy, saboteur, hun*hun

[couplet 11 : edge] [12:40]
la b*tch, elle me crade mon collage
mais c’est pas suffisant, quel dommage
mon cœur a toujours autant d’dommages
mon cœur a toujours autant d’dommages
la b*tch, elle m’aime plus que son compagnon
rêve du hilton, pas de campanile
[?], pas de fentanyl
souvent, la lune me tient compagnie
j’prends la plus grosse tête, j’prends la compagnie
l’oseille et moi, il faut qu’on s’allie
j’m’en bats les couilles d'[ses pec’ ou ?] [?]
j’suis connecté partout comme un compagnon
j’traîne avec des hyènes, mais j’suis pas au j*pon
là pour faire des m, la monnaie nous traquons
y a pas d’happy end quand tu viens des bas*fonds
y a pas d’happy end quand tu viens des bas*fonds
yeah, yeah
fut un temps, j’ai bibi quelques g
pour avoir le poignet moins léger
faut du gras, pas un compte allégé

[pont : edge, esso luxueux & ben plg]
bah ouais
let’s go
si, si, si, si, sale, sale
han, fut un temps, j’ai bibi quelques g
let’s go
ouais, faut du gras, pas un compte allégé
non, non, non, wesh
big ben, c’est comment, mon g ?
ça va et toi mon pote ?
on est là, brûle ça
yeah, yeah, yeah, huh han

[couplet 12 : ben plg] [13:52]
on m’a dit : “on baise tout”, j’ai dit : “let’s go”
la faucheuse est venue chercher papi, il a dit : “j’finis mon épisode de julie lescaut”
le rap, c’est un peu rempli d’escrots
si tu t’achètes un grec, faut qu’tu passes un croc
[?] coupent les couilles, comme le renoi à droite du dvm show
c’est nous qu’on faisait les marioles, j’vais mouiller le maillot, j’vais remplir la cagnotte
même dans le cayenne, même dans le carosse
jamais j’te parlerai comme manu à mayotte
pas cond*mné aux palettes
j’rappe le son d’la clope qui bé*tom dans la canette
sh*t dans le kalenji
tous les jours, tu cries sur des gosses, tu t’étonnes, ils ont pas d’estime
arc’teryx, j’ai pas les skis, [?] tue astérix en palestine
[?], j’me couche au népalais, j’me lève, j’mets du café tout noir sur ma mauvaise mine
j’ai pas la rolex, bats les c’, han, j’entends encore trop d'”à l’aide”
toi, t’es un sacré fils de putain mais t’as une jolie patek
j’mate plus dans le sac d’la vieille, j’tire plus sur le joint d’la veille
avec un milliard, tu peux nourrir un pays, eux ils ont lavé l’eau d’la seine
2025, c’est donc l’année à bibi, j’ai demandé au ciel et j’ai demandé à siri
j’arrive en jefe, j’arrive en n.i, j’arrive en tupac, j’arrive en biggie
j’arrive en clio rouge, panamera, cramé dans l’métro mais j’m’en bats les reins
j’envoie mon classique dans pas très longtemps, écrit sur l’parking tous les phares éteints
et t’embrasseras ta famille en passant, j’finis mon couplet, ils m’regardent en phasant

[pont : ben plg, edge & oldpee]
eh, mais en scred
ben plg, il ressemble de fou à léon marchand, non ?
attends qu’j’arrive en slip mon pote
let’s go
let’s go, ben plg
59, trrr
waddup sidi ?
graaah
okay
edge
yeah yeah
de janvier à janvier
t’sais déjà qu’on opère depuis l’départ
bah ouais, mon pote
grah, grah, grah

[couplet 13 : oldpee] [15:26]
j’arrive sous peu*fra, tu sens qu’j’ai la patate
j’sens qu’ça parle beaucoup, mais sur ça, on n’est pas d’ac’
j’sens qu’ça parle beaucoup, sur ça, on n’est pas d’ac’
t’étais bien avant, mais aujourd’hui, ça date
j’ai planifié les bails comme si j’étais saddam
j’sors d’là où tout est noir comme si il m’restait [?]
ta baby veut vivre un rêve quand t’es pas là
c’est une salope, faut qu’j’lui si c’est [sa dame ?]
j’crois pas qu’la vie est belle, c’est au pire qu’on s’attend
si tu parles pas cash, c’est pas sûr qu’on s’entende
si tu parles pas cash, c’est pas sûr qu’on s’entende
on a tellement charbonné, à croire qu’ça fait
ça tourne pas rond, c’est pas carré donc j’le sens pas
tu sors vraiment d’la calle ? j’le ressens pas
on va chercher l’argent, on fait pas les
c’est un méchant chez toi qu’chez nous, on trouve sympa
sur les [hmm ?], j’crache un molard
c’est l’ouverture du four, les clients font la ola
la place du boss avec sa doña
blanche comme lola, sombre comme mola, grah
kilos, kilos, transactions dans l’parking
tu t’es fait [hasbaré ?] par qui ?
j’ai pris plus de pochtar que d’flash et d’paki
j’sors du fond du four, pas du maki
j’rallume un blunt, deuxième comme si c’tait un tacos
j’suis l’renoi qu’ils attendaient, pas l’makakos
trace ou paye, c’est là*bas, c’est pas
je peux vendre à perte si c’est pour ma cause
j’ai des diam’s sur moi comme si j’m’appelais thanos
salope est piquée comme si c’tait l’tétanos
j’arrive en gamos, tu repars en tacos
j’ai des diam’s sur moi comme si j’m’appelais thanos
salope est piquée comme si c’tait l’tétanos
j’arrive en gamos, tu repars en tacos

[couplet 14 : ben plg] [16:42]
j’ai la tête dans l’guidon, la tête dans l’guidon
les mains sur l’bidon, les doigts sur l’pilon, l’espoir au pilori
il pensait pas qu’on servait à quelque chose comme le cl*toris
adolescence, j’en ai mangé, des kilos d’riz
high et fines herbes, j’ai du fumé un kilo d’sh*t
olympia plein, on est partis du frigo vide
j’suis la fureur d’exister en pov
j’prends la caisse, les clés de la caisse
wesh, ma gueule, c’est quand qu’on encaisse ?
elle s’assoit sur ma tête comme sur l’banc de la tess
téléfoot, c’est à l’heure de la messe
et devine où j’étais, aquarium dans un golf noir gt
j’arrive en gradi, j’arrive en sheguey
tu veux qu’ton fils soit un peu moins débile, achète mon cd
bureau d’informations, jeune, il voulait qu’on rédige un cv
et p’t*être un jour le cdi
j’colle sur l’ordi’, je cherche des gif
je l’ai vécu, je suis legit
manger des grecs et des gifles dans la gueule
j’voulais g*star pas rivaldi
si t’as le m comme rivaldo, file pas en turquie comme icardi
si tes potes te ralentissent comme hidalgo, arrête d’abord la cookie, la gelato
et r’mets*toi vite en question, mon p’tit salaud
j’mets en lucarne, j’fais huit saltos
toutes les nuits, j’me réveille, j’arrête pas d’me d’mander comment j’vais finir par tout niquer
ils parlent fort mais j’y crois pas comme quand l’professeur criait pour avoir d’l’autorité
han, han
compte en banque, j’vais colorier
han
ma gorge, elle est motorisé
sens inverse comme koffi olomidé
dans la fête sans y être autorisé

[pont : edge, ben plg & toothpick]
let’s go
de janvier à janvier, ma gueule
bien vu les gars
ouais, ouais
yeah, shout out montreuil, shoutout big e
yeah, yeah, yeah, yeah, yeah

[couplet 15 : toothpick] [18:18]
j’te jure qu’j’le fais pour rendre fière ma mère, j’fais jamais le gouap à perte
c’est pas du rosé, c’est pas d’la weed non plus, je n’consomme que la verte
des diez bizarres mais dieu merci j’le fais pas avec des bombonnes le salaire
cette salope de misère est si belle, elle arrive avec sa tonne de manières
montreuil j’y ai grandit, j’distingue pas les méchants les gentils
ici, c’est bizarre, ça t’fait croire aux millions avec des centimes
ça m’remplit la tête, maintenant pour les tals c’est devenu les grands prix
des fois, j’me dis “reste en vie” pour qu’maman ait le sourire quand j’te*chan et qu’les gens crient
j’me souviens plus du doogie d’la veille, du sourire d’ma mère
hustle hard, on pense à cette maudite monnaie et aux soucis après
ma gueule, j’vois tout et quand j’écris tout ça, faut bien tout s’imager
si demain j’canne et qu’j’ai rien f, il sert à quoi tout c’simagrée ?
j’me l’demande, mon daron aussi il s’le demande
ça varie pas selon mon humeur, ça varie seulement selon demande
j’ai deux mains, j’pars en couilles, eh
j’rappe nos vies, parce que c’est pas des cartoons
y a trop de fois où on a dû s’taire, maintenant, on fait du bruit partout
j’te jure qu’j’le fais pour rendre fière ma mère, j’fais jamais le gouap à perte
c’est pas du rosé, c’est pas d’la lean non plus, je n’consomme que la verte
des dièses bizarres mais, dieu merci, j’le fais pas avec des bombonnes, le salaire
cette salope de misère est si belle, elle arrive avec sa tonne de manières

[pont : oldpee]
sidi
de janvier à janvier

[couplet 16 : oldpee] [19:32]
j’ai trop d’amour pour c’khaliss
tu veux ta dope, viens par ici
j’passe la sixième, j’ai le nine k tout au fond d’la caille
j’crois qu’j’vais tourner toute la night après j’m’occupe de la baddy
don julio jamais d’moly, j’laisse ma trace, adults only
que d’la ice comme souri b
va vendre ta eh, va vendre ta chatte sur ebay
nous on parle avec c’lui qui paie
toute l’équipe est équipée
tu sais d’jà qu’les dés sont pipés
tu vas finir aux blessés graves pour des plaques, t’aurais dû bipper
t’es dans la piste dans l’sens contraire
brique par brique, cocaine
casamigos, c’est mon c*cktail
beaucoup trop har pour ton top ten

[pont : oldpee & edge]
big up à edge, de janvier à janvier
let’s go
big up mon g oldpee
big up mon g ben plg
big up toothpick
big up rob
okay, okay
shout out grünt
yeah
yeah
yeah
ouais, ouais

[couplet 17 : edge] [20:35]
forgé par la vie, j’ai le cœur plein d’impacts
y a des mois, dans mes poches, j’avais même pas vingt balles
c’est pour ça qu’aujourd’hui, j’ai une très forte dalle
les remarques de ma banquière, j’les supporte mal, han
quatorze ans, j’portais du double xl
beaucoup trop matrixé par dipset
j’me prends pour carmelo, pas sergio busquets
j’sais pas si y a plus cainri qu’moi dans tout l’tiekson
7*5*0*1*9, c’est l’secteur
j’rêve pas encore d’paradis papers
j’traîne à la [doom ?], avec mon gars paper
habillé en jaune et mauve comme un lakers
j’envoie l’jeu, j’connais pas encore la [kush ?]
ni la nuit, ni les cernes qui s’creusent
moi, c’est e*d*g*e, j’veux juste être clutch
loin d’chez*moi, là*bas, trop d’larmes qui pleuvent
f*a*b*o*l*o*u*s
les clips us bercent ma jeunesse
sourire fragile comme la porcelaine
mes rêves deviennent ma seule forteresse
quatorze ans, j’porte du double xl
beaucoup trop matrixé par dipset
j’me prends pour carmelo, pas sergio busquets
j’sais pas si y a plus cainri qu’moi dans tout l’tiekson
aujourd’hui, c’est migos et nipsey
mon ange de gauche est devenu une pipelette
carmelo anthony, j’regarde ses replays
en rêvant d’un compte en banque xxl

[pont : edge]
ah ouais, yeah, yeah, yeah
grünt 69, e*d*g*e, vingt moins un
shoutout oldpee, shout out ben plg
shoutout toothpick, shout out big rob
let’s get it
han, han, han, han, e.d.g.e
han, han, han, han, han, han
yeah, yeah

[partie 2 * debout]

[intro : edge] [23:09]
han han
yeah
han han
yeah

[couplet 18 : edge] [23:09]
j’ai l’impression d’être dans la tourmente tous les jours
j’sais pas comment faire pour m’en sortir sans me rendre fou
le sérum dans mon verre n’a plus vraiment l’même goût
han han, han han yeah
j’me sens bien au pays des songes
pourtant j’ai l’impression que morphée m’en veut
j'[peux m’plier ?] en deux pour remplir ma [?]
j’parle le plafond, le ciel connaît tous mes voeux
des insomnies, j’en ai tous les deux jours
un peu comme mon envie d’stopper la beuh
mais pour l’instant, c’est pas vraiment l’moment
j’retourne mon appart’ pour trouver un feu
il m’faut des millions, gros, c’est tout bête
j’vais ni au fouquet’s ni à ph*ket
j’fais les cent pas, j’rêve de tout ken
tellement d’maquettes jetées à la poubelle
j’fais kiffer les g et les choupettes
elles secoue son cul, j’tire ses bouclettes
j’lui envoie du sale et c’est pas flouté, han
maintenant, on m’khalass pour les couplets, han
ouais

[refrain 1 : edge]
trop d’soucis en tête, faudrait qu’j’les gué*lar gros
fous la merde comme le 113 ou key largo
nique sa mère molière, chez nous, c’est que l’argot
cargo plein d’gelato, au fond, ça m’rend marteau, ouais
maman prie pour moi vu qu’j’ai plus trop la foi
maintenant, l’soir, j’préfère niquer mon foie
trop d’soucis en tête, faudrait qu’j’les gué*lar, gros
fous la merde comme le 113 ou hidalgo

[couplet 19 : edge] [24:25]
la caillasse fais des ricochets
sans elle, la lune, comment j’peux la décrocher ?
j’suis bien obligé d’bosser
j’f’rai jamais l’salaire d’un joueur du rocher
sans sueur, les fruits du labeur sont loin
fumer ma vie, j’crois qu’ça m’emballe moins
t’façon, bientôt j’suis coté
comme l’été sur l’île de beauté, ouais
j’vie d’un jeu, j’ferme les yeux
j’m’imagine en givenchy
des zéros, mets*en six
pour que j’oblique mon coeur est triste
froid comme l’hiver dans le six
la vie, c’pas lilo et stitch
politiciens, j’écoute pas leur speech
ils connaissent pas l’montant du smic

[pont : edge]
yeah
le sérum dans mon verre n’a plus vraiment l’même goût
ouais, ouais, yeah

[couplet 20 : edge & ben plg] [25:52]
j’suis perdu quand j’me lève
j’étais bien dans mes rêves
avant que la ville s’éveille
j’dois partir charbonner
j’suis un peu barbouillé d’la veille
mes poumons sont noirs comme l’abeille
c’que j’ai pécho hier, c’est pas du miel, mais bien un bon pollen
c’est pas le matelas, c’est pas le lit
c’est pas le plumard, c’est pas la routine, c’est pas l’ennui
c’est la vie qui fait mal au dos
c’est d’la musique, c’est pas du bruit
on a sué, c’est comme ça qu’on brille
l’instrumental je la brise pas
j’ferme les paupières et je rap
c’est comme ça qu’on prie
le visage trop livide, j’sais pas si c’est le sh*t ou la vie
des fois j’m’amuse à compter les étoiles, en marchant dans tout paris, le soir
le visage trop livide, j’sais pas si c’est le sh*t ou la vie
des fois j’m’amuse à compter les étoiles, en m’demandant c’quon voit du toit
les voix dans ma tête font le bruit d’un vuvuzela
j’cherche comment couper le son, mais j’crois qu’tout est là
mon étau se resserre, pourtant la route est large
y a tellement de fois où j’ai pensé à tout guélar
les voix dans ma tête font le bruit du ventilateur
j’lâche la pédale, ça va quand même à mille à l’heure
j’raconte ma putain de vie à l’ordinateur
j’marche dans ma ville comme si j’étais à seattle
ok ? hey, yeah, yeah, yeah, yeah

[refrain 2 : edge & ben plg]
f*ck la politique et le fisc (f*ck)
au fond y s’en foutent de nos vies (nos vies)
pour rentrer, faut casser la porte (la porte)
bélier ou bien pied de biche (ha)
bélier ou bien pied de biche
f*ck la politique et le fisc
pour rentrer, faut casser la porte
bélier ou bien pied de biche

[couplet 21 : edge & ben plg]
j’ai les yeux rouges, hémoglobine
flotte comme clark kent à metropolis
j’écoute pas leurs conseils de merde
j’écoute ayo technology
c’est trop lourd, ouais, j’pèse mes mots
j’ai la vision comme lees*melou
y a edge pour la belle mélo’
dans l’assiette, on laisse walou, yeah
avant l’coup franc, j’fais les pas de côté
avant l’couplet, j’écris les ambiances
c’est comme le sel sur le steak de kobe
nique un politique, j’ai pas hâte de voter
entre un salopard et un faf (un faf)
ferme ta gueule et prends ta gifle
comme quand l’daron t’mettait les baffes
la galère, j’aimerais bien l’attraper, la gifler
et lui dire tu veux quoi ? (tu veux quoi ?)
mon sourire, j’aimerais bien l’attraper, l’balayer
et lui dire tu fais quoi ? (tu fais quoi ?)
mais pour ça, faut des liasses qui font la taille de rudy gobert
j’suis déter’ depuis l’époque de chamillionaire
j’suis déter’ depuis l’époque de chamillionaire (allez)
ouah, ouah, faut faire vite avant qu’ça s’gâte
le temps file, y faut qu’j’fasse gaffe
le temps file, y faut qu’j’fasse gaffe (belek)
bentley, bm, sche*por, mais surtout pas une mazda
j’dois faire des m, j’dois faire trrr
bref, y faut qu’j’amasse, yeah

[refrain 2 : edge, ben plg & ensemble]
f*ck la politique et le fisc (f*ck)
au fond y s’en foutent de nos vies (nos vies)
pour rentrer, faut casser la porte (la porte)
bélier ou bien pied de bichee (ouah)
bélier ou bien pied de biche
f*ck la politique et le fisc
pour rentrer, faut casser la porte (han)
bélier ou bien pied de biche (hey)
f*ck la politique et le fisc (f*ck)
au fond y s’en foutent de nos vies (nos vies)
pour rentrer, faut casser la porte (la porte)
bélier ou bien pied de biche (han)
bélier ou bien pied de biche (ouais)
f*ck la politique et le fisc (han)
pour rentrer, faut casser la porte (ouais)
bélier ou bien pied de biche

[pont : edge]
yeah
big dani à la guitare
big thomus à la basse
big clément à la batterie
merci les gars
hey

[couplet 22 : edge] [29:14]
souvent effrayé par le monde, j’crame une blonde avec la tête par la fenêtre, han
des questions, j’en ai un nombre incalculable, j’compte encore, le soleil se lève
j’ai pas besoin d’avoir bu six sours pour qu’mon cerveau ressemble aux twin towers
j’trouve pas d’solution, ça m’fait serrer, y a trop d’nœuds qu’j’aimerais dénouer, j’suis dessus d’puis t’à l’heure
faut qu’j’me tire d’ailleurs, j’aimerais vivre ailleurs, loin d’où vit l’malheur
j’parle au ciel
j’lui demande une p’tite faveur, gros joint plein d’saveurs, j’oublie la froideur de notre terre
les éclairages de décembre (les éclairages de décembre)
servent à aveugler les gens (servent à aveugler les gens)

[refrain 3 : edge]
j’ai l’impression d’être bloqué en janvier
mon cœur veut m’raisonner, j’suis borné
c’est pas là que j’veux figer l’temps
j’te réponds seulement si j’ai l’temps
j’ai l’impression d’être bloqué en janvier
mon cœur veut m’raisonner, j’suis borné
c’est pas là que j’veux figer l’temps
j’te réponds seulement si j’ai l’temps

[couplet 23 : edge] [30:24]
j’rêve d’un yacht alors que j’ai l’mal de mer, c’est maso’ comme un amour passionnel
j’enchaîne les sales semaines, j’cherche juste un brin d’soleil
le bonheur ça s’monnaye, ouais, faudrait qu’on s’connecte
l’été ressemble à l’automne ces derniers temps
à l’image d’une comète, mon sourire fout l’camp
mon cœur est absent, j’sais même plus quand j’suis content
y a rien qu’est constant à part le manque de confiance
j’ai pas besoin d’avoir bu six sours pour qu’mon cerveau ressemble aux twin towers
j’trouve pas d’solution, ça m’fait serrer, y a trop d’nœuds qu’j’aimerais dénouer, j’suis dessus d’puis t’à l’heure
han, han, j’suis dessus d’puis t’à l’heure
han, han

[outro : edge]
palala*lala, palala*lala, hou*hou, wouhou
palala*lala, palala*lala, hou*hou
palala*lala, palala*lala, hou*hou, wouhou
palala*lala, palala*lala, hou*hou
grünt, edge, 69
let’s get it

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