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grünt #68 - grünt lyrics

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[paroles de “grünt #68”]

[partie 1 * assis]

[intro] [0:35]
excuse me, can i get your attention ? there’s a few things that i would like to mention
han, han
yeah, yeah, yeah, han
han, han, han
there’s a few things that i would like to mention

[couplet 1] [0:53]
depuis l’pupitre je suis un pit’ impitoyable
fallait dessiner son av’nir : j’ai mis une flèche
le premier de la classe : pas un type loyal
mais ne pas croire les profs non plus
j’disais “j’suis ri*cain”, ils m’ont cru
“j’suis shurik’n” : pareil
j’aurais pu dire qu’j’ai l’sharingan
j’étais ien*b à la récré, certains avaient l’air à cran
han, y avait pas d’pépins généralement
mais là ça part et ça r’part
tu rentres, tu cogites de ouf
le soir, tu passes un r’pas, tu planifies ta vengeance, n*gga
plante le couteau dans l’sens, deux minutes, ça sent l’ang*s
han, les djamila, les fatou, les mamadou qui f*ck tout
et si la plaie s’infecte, c’est qu’sheitan en est l’facteur
t’es dans la street depuis dix piges, tu t’réveilles, c’est le choc man
t’as fumé dix mille rocks, moi faut qu’le prix d’mon vinyle augmente
un rappeur cain*ri vient à genève et ça lui sert la beuh
rebeu, renoi avec un bracelet qui lui sert la beu*j
j’ai capté toutes mes, toutes mes pulsions frénétiques
j’ai refait le film d’ma ie*v, j’ai attendu l’générique
pour voir qui était qui, et qui a joué quel rôle
gun rose, monroe et kennedy, ok
on met les snapbacks, on retourne chaque bag
ils font la muay*thaï, ok, mais ils font moins en taille
il m’faut une fe*fe, alr jefe
klr, féfé, biggie smalls, fai’*fai’
pas encore de vvs, mais promis bébé
premier chèque avant d’flamber, on l’met dans l’premier bébé
si on dit “on s’aime”, on fait en sorte, on reste en ble*eu
j’fais du r.a.p, mais j’en n’ai r à péter de eux

j’sais quel groupe de genève te fait kiffer autant
on a braqué l’eu*j, les faces non cagoulées
j’connais mes pirates et les fakes n’ont qu’à couler
han, j’connais mes pirates, les fakes n’ont qu’à couler, han
[couplet 2] [2:33]
yeah, han
les flows comme les tiens là, c’pas trop inné
c’est pompé et c’est sucé
n*gga, même ton âme est cocaïnée et ils font les gros bras ici
mais ils sont gonflés, c’est abusé
j’ai bien ché*cra, j’finis par p*sser
j’aurai une belle vie si le pare*brise finit par s’briser
gros les martyres ont leur place au paradis
j’ai un cœur froid, j’pleure pas sur ma gadji
j’ai fait des raps et des raps, j’pensais pas devoir taffer sur l’packaging
j’fais ça d’puis qu’j’ai l’sac à dos, j’ai d’mandé au papa noël d’pouvoir être l’homme invisible
j’voulais pas qu’on m’voit ici, j’voulais qu’on m’voit tout là*haut
donc j’ai fait comme jay*z et j’ai investi sur ma dope

que des mauvais exemples, t’as plus qu’à t’vi*ser, penser vices et bénéfices
j’suis sur mon divan et d’ce que j’vois : rien d’motivant
gros tu connais l’ch’min, tu fais ici, tu montes devant
viens pas faire la morale à mon rap, on est pareil
il n’y a personne que la mort rate, salam aux rats, yeah
j’ai peur de personne et d’rien
à part de mon père et d’voir ma mère seule
j’étais p’tit, j’étais anti*rockeurs, un tire*au*flanc
elle est belle, mais c’que j’aime vraiment c’est qu’elle sait mentir aux keufs
les salopes me diront que ; r.a.f de c’qu’elles rac’
pour moi t’es la plus belle rate, t’es comme une nouvelle race
j’peux pas bander devant tes ailerons, “eh gros tu m’saoules”
mais j’aime les drifts, donc vas*y, fais l’rond sur le bitume sale
on n’a pas fait cramer qu’une salle
ah et c’train d’vie, c’est comme un cul*d’sac
j’aurai moins d’stress quand j’vivrai que d’ça
j’peux plus m’éclater avec la thune de mes dar’s
j’mérite plus de médailles, obscur, dure de me voir
dans une ue*r de meda
rien n’me sépare de ma route, à part un mur de ffe*ta
et après ça, négro, bah c’est sûr que j’me casse
si ça sent mauvais et qu’t’es avec les mauvais
les idées seront mauvaises, les choix s’ront pas les bons
et même s’tu fais le bon et qu’c’est toi qui fait le pont
entre le mauvais et le bon, ils t’f’ront passer pour le mauvais
hum, ok, hein, hein
le froid dehors, m’fait hun*hun
je vois de l’or, mais hum, les contreparties, chhh
faire des efforts, hmm*hmm, pour plaire à des porcs, hmm*hmm
mon caviar est “mouah”, pas fait pour les fils, hein*hein
j’aimerais bien être cent pourcent indé, mais j’sais que c’est dur seul
les soi*disant précurseurs font leurs vies près du sol
jamais ils décollent, han*han, et ça t’parle d’école, mhhh
parle de c’que tu connais, enfoiré tu déconnes
avec moi t’es mal barré, y a pas d’animal pareil
poils hérissés, t’façon chez nous gros c’est pas l’paraître

casqué, anonyme comme les daft p’
maman, [?] [4:56], les sombres histoires j’les rac’ pas
j’me r’tourne stressé après chaque pas
c’est tout pour le week*end, un système zarre*bi
moi s’tu m’fais taffer le lundi gros paye*moi l’mardi
ça va au charbon pour des lauds*sa ou ça suce les gens des beaux*arts
t’as pas vécu ta jeunesse, c’est maint’nant qu’tu fais l’débauchard
les *****, elles ont des mouchards, elles travaillent avec les cochons
arrête d’être trop con dans ton cocon, viens on part combat
quand bien même j’ferais du classique, j’niquerais l’stème*sy
parce que l’mouv’ment du sable est irréversible
j’comprends mieux mon ordi que c’que mon corps m’dit
j’ai parlé quatre heures avec di*jor, y a tout qu’est ti*sor
quand on tend la main, c’est avec un bouquet d’orties
rap dégueu, n*gga, j’ai que des couplets morbides

y en a sont trop à l’aise, veulent juste tenir une laisse, gros
tu s’ras leur chien si tu joues à leur jeu d’escroc
hôpital, dis moi comment on fait pour vivre d’la zik
j’suis pile au milieu, entre les titres classiques, le hit machine
hum, 9.5 pour quarante*cinq
m.a.i.r le légendaire, aventurier sans son aventurière
la patte brisée, la patte brisée, la patte brisée, la patte brisée
[couplet 3] [6:14]
han, hôpital ça dit quoi, han, han, han, han
yo soy un negrito bonito que baila muy bien
tes “hasta la muerte” vont à la poubelle
j’te soutiens bébé, mais parle pas la bouche pleine
j’suis pas là pour plaire et j’suis pas là pour r, ok
j’suis un baraudeur, j’viens pas parader
moi j’vais à [?] [6:35], dès qu’j’ai mon pèze ; ces chiens j’les r’connais à l’odeur
pas d’chat, j’te dis “à plus”, “à ciao”
si t’es un faible, un yamcha et qu’tu serais prêt à m’schalss
n*gga, dmv ? drill ? j’ai pas mis l’pied dans mille branches
l’arbre tombe toujours où il penche, oui j’pense
j’viens pas parler d’glock, j’taffe jusqu’à six o’clock, j’donne
j’ai la tête de l’emploi, celui où t’es ton propre boss
j’ai plein d’textes, j’en ai pour tout un troupeau
j’ai des textes qui f’raient passer big l pour un nouveau
j’ai des idées qui f’raient passer hmm pour un dieudo’
ma zouz est nne*bo, hum, j’la r’connais de dos
‘tain j’la r’connais de dos, yeah, han, mieux qu’le bedo
9.5, quarante*cinq bendo, han, yeah, avant mes trente piges j’baise tout
faut pas m’ler*par, j’veux toute la pizza, fais pas les parts
yeah, b*tch démarre, avant qu’on t’paye pas, ou pire : qu’on t’démarre
si un policier m’fume, il s’ra pas question d’être juste
dès qu’il va concerter l’juge ils vont chercher une excuse
j’suis pas prêt à clamse’, là même si j’suis aud*ch à mort
j’suis cain*fr’ et j’ai aim*f, j’graille le [?] [7:35], j’laisse aucun membre
j’suis dans le rap, j’révise, j’suis dans le*
j’suis dans le par cœur, j’répète, j’suis dans le rap, j’mets pas d’écarteur
et j’veux la descendance des carter
m.a.i.r, gros si tu fais semblant t’es archeum
à peine j’bouge, j’les vois tous claquer les bes*j’
les mêmes vont s’taper des nes*jeu, faire les gros et app’ler les keufs
j’suis la mort, la vénéneuse, on veut m’palper les deux boules
j’en veux à cette conne de ne pas m’avoir fait les yeux doux
si on est dans l’allée, faut t’en aller
j’ai pas d’cran d’arrêt, mais j’crains rien, han

[couplet 4] [8:11]

j’me lève le matin déter’, j’mets un coup d’parfum, je sors
il faut qu’j’vous dépasse avant qu’on s’retrouve tous dans le jardin d’eden
dédicace mon grand*frère degen, [?] et [?] [8:29], ma belle*sœur inès qui m’fait les nattes
hôpital il sait déjà, avec lui tous les soirs on débat, des hauts des bas
nous appelez pas pour le groupe de malaga ni pour la débauche des boîtes
appelez*nous pour les classiques, les cachets à 200k
ta fausse main tendue je m’en carre, accrochez*vous l’train est encore en gare
ok, j’découpe, j’attends pas qu’on m’fasse rentrer dans l’arène
j’pense pas qu’on a l’même barème, j’monte pas sur la dernière mclaren
tu sais bien que mama c’est ma reine et qu’mon micro j’lai acheté tout seul
il vient pas d’ma marraine

[couplet 5] [8:55]
je soulève le monde comme atlas, j’taffe toute la journée jusqu’au matelas
ok, han*han, j’fume un dernier pli et j’comate là
mc à la peau mate, qui c’est qui m’formate ? j’me sens comme daunat, et j’ai les confitures et j’ai les donuts
à l’ancienne tu pouvais me trouver devant l’do*mc, han
et c’est dommage, t’aurais pu l’garder ton gros majeur
j’cours après le temps et l’anneau magique et en plus j’aime trop battle
sache que l’poids des mots, je le pèse, n*gga
je n’crains que l’roi des morts, dieu le père, n*gga

han, j’commence avec la haine qui m’habite, j’la crache avant qu’ça gangrène
s’tu crois qu’ça paie des vacances en grèce, ma bite
tu me blesses, je reviens en béquilles
tu me laisses mourir, je sais, j’reviendrai hanter qui
faut qu’ça soit ancré dans la roche, hoche la tête
si tes poches sont pas encore remplies faut qu’tu t’accroches
j’étais p’tit, j’étais trop h.h., discret
mais maintenant j’tiens à c’que ça s’sache, mairo n’est pas que d’passage
de base j’étais pas carriériste, mais c’est mes darons qui m’permettent d’être artiste car ils m’assistent
au début, stopper, ils tentèrent, trop tard j’suis connu dans la ville entière
tu connais mon régime alimentaire
mc, micro, scène, donne un peu plus de kérosène, j’te fais des carrousels
oui j’en ai bouffé des cds et des salles, han*han
ça va ensemble comme décéder seul
ok, j’me suis fait épingler, la main dans le sac
dans le sac d’un touriste chinois proche du jardin anglais
pour ouvrir des fenêtres, j’ai fermé des onglets
pour faire tourner les sons qu’j’ai, j’pas attendu la 5g
les fous m’ont dit “dézingue*les”, les sains d’esprit m’ont dit “t’es cinglé”, han
ok toi t’es pas mal, mais moi faut qu’ça en parle jusqu’au guatemala
mes rappeurs, ils sont moitié batman, moitié barman
, qu’ma théorie s’avère vraie
j’voulais obéir, j’ai oublié qu’j’pouvais b.i.b.i, j’ai oublié qu’j’pouvais faire fortune depuis mon p’tit pays
m.a.i, pour l’9.5, quarante*cinq, j’ai grandi avec des parents simples, si tu sais pas tu t’renseignes
d’ici ou étrangers, entre les gens j’ai dû trancher, j’dois faire bon usage du temps qu’j’ai, m’éloigner du danger
que l’av’nir soit stable, plus penché, pas savoir si on pourra manger d’main c’est détestable
mais moi je pense que quand on veut on peut, même handicapé
je parle à ceux qui sont anti*taf, tête dure en titane
oui je suis un crack, oui jésus r’viendra, non j’suis pas ingrat, non c’n’est pas qu’un graal
crois en toi, sois simple, rare qu’on t’aiguille, laisse ça y a d’jà ton voisin qu’essaie d’être lui
j’sais qu’la musique c’est du vent et que quand j’rappe, je séduis
tout l’monde sauf les keufs mais c’est eux qu’ont l’truc dans l’étui
devant eux je n’fais pas bleh’, je fais belek, belek

dans l’train, contrôle de routine avec des vils*ci et j’peux pas calmer ça
han, comme d’hab’ mon passeport me sauve, mais les clichés eux veulent que me suivre
maintenant dis*moi j’dois faire passer quel message ?
assis sur la corniche, rap fourni

petit, il y a des poids que tu n’peux pas porter
les rappeurs et les rappeuses viennent m’aborder
les poucaves et les médias sont accordés mais y a des fausses histoires, plein d’mauvais raccords
tu rappes, ok, d’accord, on dirait juste qu’tu vas sauter la corde, fais nous ton trick et ton truc où tu disparais
s’tu veux garder l’auditeur jusqu’à l’intrigue
si la cuvette est sale, tout l’monde p*sse pareil

[couplet 7] [11:52]
9.5 pour quarante*cinq, let’s go baby, m.a, han
vos serments m’écœurent, après la position équerre
j’ressens un serrement au cœur, c’est clair, quarante*cinq brr, nonante*cinq ma guerre
bientôt les lacs on acquiert, petit j’ai pas ton âge, han, t’as pas la réf’ si tu crois qu’on laguait
tu peux r’partir tranquille, on vaquait à nos occupations
à part le rap, j’n’ai aucune passion et bientôt on arrive à quai
pour tout prendre, j’attends pas mon prochain anni’
j’suis dans l’hustle comme manu et mani
toi tu m’connais d’y a dix ans, comme sur ma carte d’identité
tu cala personne car t’es dans ton dél’, b*tch, t’es partie sans pitié
j’rime, j’découpe, j’rime et j’découpe
mon blaze a pris du poids, maintenant toute la ville m’écoute
quelques coups d’ceinture, j’en ai pas fait des traumas
merci mairo pour les travaux, hôpital pour les gros bras
9.5 pour quarante*cinq, c’était y a trente ans time bomb
mon pays me manque comme le riz cantonnais du mike wong
maintenant c’est mon tour, j’t’ouvre pas la porte, j’te demande d’attendre
j’peux pas dire qu’j’me suis fait seul, liberté j’demande laquelle
ils gardent toujours un pourcentage, qui s’fait pas ken ?
pour l’instant mon label est signé dans un label, qui est signé dans un label, b*tch et ainsi d’suite, ok
let’s go baby, m.a la grosse pépite, j’suis tellement devenu un monstre que tous les gosses m’évitent
je bicrave la haine, l’amour, mais pas les cosmétiques
moi impossible que j’rec’ un son guez, bâtard chacun son game
les bras levés, criant mon blaze, comme ça qu’ton gosse m’accueille
marcher dans une allée sombre avec des grosses vapeurs

dans ma te*tê c’est un polar, dans c’t’histoire j’suis incollable
j’suis fort, mais aussi vite flatté, pas athée, mais j’ai eu l’temps d’changer cent fois d’avis depuis l’cathé’
gros tu m’choques avec ton pull gâté, j’t’écoute déblatérer des phases ratées, wesh t’as v’la l’buzz, mais t’es éclaté
quand t’es p’tit, traîner à la gare c’est partir à la guerre
c’était à dix minutes, mais pour moi c’tait comme paris*dakar
maintenant j’écoute fantôme dans un phantom noir
derrière c’long manteau, j’ai un litre d’essence et un entonnoir
j’fais d’la pub aux bons, ça bicrave d’la b’ à balle, n*gga c’est l’b.a.*ba
j’me sens ien*b avec un mic’ entre mes mains
l’amour et la haine qui alimente les miens
des fois ça pimente les liens et ça d’vient glissant
comme quand tu gicles entre les seins, j’reviens d’l’épicentre
j’veux pas une ville, j’veux une île longue comme le nil
gérer les axes maritimes, créer mon économie
tu sais ou t’inventes ? tu game ou tu lag ?
tu t’fais braquer au paki’, dépasse pas la route du lac
il fait genre de capter, mais il sent pas mes trucs
j’me déplace pas s’il s’en bas les couilles, même pour six*cent balles et plus
dédicace au [tio*pac ?] [14:15], à la passion qui m’colle aux basques
y a personne qui est trop g pour être dé*p, regarde little omar
c’est pas beau d’tuer, mais j’suis s*xy comme un machine gun
j’attends juste qu’on m’adresse la parole pour mâcher mon chewing*gum
là j’suis trop tenté, s’il vous plaît privez les joints
c’est pas parce que t’es une **** que t’es pas privilégiée
j’capte pourquoi ton zin*c’ il mate, au micro j’fais des dingueries
et en trois mots, je fais cinq images
tu te grattes la tête comme un primate
j’ai des cartouches pour impressionner, comme une imprimante
monde libre s’agrandit, empire ottoman
dans les labels au mieux on t’ignore, au pire on te ment
donc eux et moi, on va s’aimer autrement
pendant qu’au poste les saisies de drogue augmentent
let’s go baby

[couplet 8] [14:55]
han, han, han, han, yeah
yeah, yeah, yeah
yeah, han, formule a10 ou menu a12
les influences, c’est comme les étrangers : venus d’partout
j’rappe des cartouches, j’tire des conclusions
j’crée des contusions, on débarque tous
pourquoi tu transportes mille grammes, ici ça te plie l’crâne
mais pas pour un peu d’sous, regarde l’expérience milgram
la rigueur, le travail, personne ne m’a mis l’cadre
ça date pas d’hier, j’ai eu l’déclic en deux*mille*quatre
rempli d’fumée, l’appart’ est aseptisé
ordi allumé, cds et cassettes brisés, bientôt c’est la mort de la clé usb
viens on va hacker ubs et la revendre pour une pièce
j’rappe comme un bad boy, mais j’m’écoute sean john
tellement dépassé avec vous, j’me sens comme trunks
j’ramène mes docs, mes méthodes, hmm, j’fais un boulot à maman pendant qu’bébé dort
mariage comblé, b*tch arrache ton blé
celui qui va m’signer pourra pas s’tromper, car c’est moi*même
monde libre, m.a.i.r le légendaire
j’suis avec evian et nestea, c’est évident, j’baise tout
[?] [16:00] les textes, l’aisance, et puis la gestu’
bientôt il m’faut une chaise double, je prends du gab’, faut s’méfier du gars, b*tch, j’espère tu captes
je viens sur paris pour partager, ma science en barils, emballée, carrément
j’arrive sur le neumann ou le akg, b*tch
le game, j’attends mon bum*al pour le saccager
je m’excuse pour le comportement et pour les dommages
je m’arrête de chercher le jour où j’ai trouvé l’fromage, un hommage au rat
continuez à pas nous voir, les prix s’ront majorés
l’équipe adverse, je lui latte les fesses, je mets la lat’, l’effet
j’cuisine trop bien, j’épate les chefs
je viens du bas d’l’éch*lle, je rappe le monde libre, je rappe mes chaînes
ouais, han, ils croient que j’m’adresse à leurs meufs, alors que non
ma go est canon, alors j’parle pas à leurs guenons, hannn
mais c’est qui le prochain qui veut parler avec moi ? rapper avec moi ? j’ai pas capté
garde ton flow inadéquat, y a pas de quoi
j’viens pas dans ta rée*soi, y a pas d’renois
conférence est, conférence sud
on les prend tous demande pas c’qu’on fait en stud’
full access, j’suis avec double a et $co, j’arrive d’en*d’ssous d’la scène, ok
j’sais qu’ils sont fous d’ma technique, j’avais d’jà la bouche aiguisée, j’ai croqué un bout d’la tétine, n*gga, hannn

[couplet 8 * bis] [17:05]
j’descends dans l’6.9, j’vais checker la famille
j’suis avec lincoln et cisse*nar, j’suis pas avec bassem
quand je sors un nouveau morceau, suis ça
entre ma meuf et moi ça rigole pas, ça s’aime

j’attends qu’la chance fasse signe, c’jeu d’jambes fascine
t’sais qu’c’est genève, [?] [17:23] tous les courses en france voisine
j’viens de loin, ils pourront as*p m’imiter
force à ceux qui traversent la mer, la nouvelle vague d’immigrés
j’étais aux combières, j’trainais à la pelotière,
fils d’immigrés, mais j’maitrise le français comme pas permis
c’est ma revanche de leur sère*mi
fais c’que t’as à faire, t’occupes pas d’nos vies, passe seulement, même si elles sont passionnantes
n*gga, atmosphère palpable, si tu tombes t’es mal barré, moi n*gga, j’suis pas l’pape
han, j’t’écrase ta tête sur le bitume espèce de*
n*gga what
m.a.i.r le légendaire, l’aventurier sans son aventurière
you already know baby, han, han, han, han

[couplet 9] [18:03]
j’reviens des profondeurs abyssales, posé avec amosan à l’e.c.g avec [?] [18:12]
doucement on f’sait nos armes, on fait ça, mais on sait qu’c’est nocif
j’prends les conseils de nubi, sale
moi et l’rap c’est normal, c’plus bizarre comme l’afrique et les génocides
capuche, mains dans les poches, toi là tu veux combien ?
j’aurais kiffé qu’un grand il m’dise “touche pas, c’est pour ton bien”
personne a pris mes patins, t’façon j’avais pas trop d’embrouille

des couplets en brochette, une instru engrossée par un truand grossier, l’envie de thune coincée dans l’gosier
j’me suis jamais promis d’être un justicier, mais j’fais bien plus que eux pour vous avec les yeu*z plissés
les tits*pe savent, les grands voient, et moi j’ai pas tant d’foi
se faire mal c’est l’thème, se dire je t’aime sans l’croire
n*gga what, hannn, let’s go baby

[couplet 10] [19:37]
han*han*han, han*han*han
m.a.i.r le légendaire, l’aventurier sans son aventurière, baby
hôpital ça dit quoi ? monde libre ça dit quoi ?
han, han, han
han, han, han
yeah, han, han, yeah, yeah
ok, j’fais un peu le fier parfois, j’ai un creux les mc, je les bouffe par trois
casse toi vite de ma ue*v, j’ai jamais eu l’estomac aussi vide de ma ie*v
invitez*moi as*p s’c’est pas pour damer
plus p’tit j’rêvais d’faire des sons et des clips toute l’année
qu’ce soit court trage*mé ou booska*p
même si j’voulais, j’pouvais pas payer, aujourd’hui je rêve d’vous balayer, d’vous snaper
j’représente les ch’mins sinueux, je cours, ai*je minci ?
essaie d’m’arrange si tu peux, je sais qu’tu peux si tu veux
franchement c’est trop trop d’la balle, on pourrait t’avoir pour un très très p’tit prix
moi qu’avais les yeux qui brillent, moi qui comprends le ce*vi, j’retourne dans ma caravelle
[ç’mac / c’moi qu’] [20:49] avait raison quand on jaquetait sur les incohérences
dix*huit ans j’t’ais trop errant, j’crois des vieux suisses intolérants au chocolat, j’crois ils m’disent pas “bonjour” parce qu’ils ont peur
quand ils m’disent “bonjour”, c’est parce qu’ils ont peur aussi
le genre de truc que j’ai pas dit au père, t’façon lui ça, ça peux pas l’choquer il a vu pire
ça lui a d’jà jeté des pierres, y a des trucs j’hésite à lui dire
ok, vitalité max, je mange mes cinq fruits, j’vis ma vie peinard on dirait un druide
abscisse, ordo’, on dirait jésus, jamais eu l’estomac aussi vite de ma ie*v
j’ai croqué dans le méchoui, on dirait j’ai joui
les plans ils sont déjoués, échoués, wesh, wesh, bien ou bien ?
t’es l’frérot t’as pas à graille ? tiens l’mien, c’est indien
on m’demande “t’es musulman ou chrétien ?”
j’suis toujours le même chien, quand ça aura changé, j’te préviens
j’reste méfiant, j’f’rai pas un tour chez les dingues
ça met plus les gens en zonz, juste ça t’les éteint
t’as capté ça t’met sur off, en hp t’écoutes du rohff
et quand tu sors t’écoutes du kamel pour fêter
imagine l’ambiance, ça fume des camel pour fêter
et ça s’rejoint tout l’été n*gga, han
et moi j’le fais sciemment, rappeur erythréen numéro un depuis que nipsey est mort
let’s go baby

[pont] [21:55]
le marathon continue, omar chappier, le légendaire, m.a.i.r, l’aventurier sans son aventurière, la patte brisée, la patte brisée, le solaire, le lunaire, jeteur de pierres, mangeur de pierres, entre le ciel et la terre
9.5 pour quarante*cinq, baby

yeah, yeah, yeah, hmm
moi posé derrière mes potes, le danger cache le danger
et un trench*coat cache le colt, si y a un sourire c’est qu’on t’arnaque
bro cache le code, y a un micro sur le t*shirt mais la veste cache le col
j’fais mes mouv’ sans parler, comme si j’étais muet
et quand ça sort, ça sort tout seul, comme si j’éternuais
j’accepte pas encore la lumière de l’éternel en moi, c’est comme si j’l’éteignais et que j’trainais dans l’noir
comme le prince des ténèbres on veut la recette et nette
puis j’prend ta reu*s’ et tes nièces
j’ai un buzz indéniable, reste un peu indigné
quand on m’parle en trois chiffres
t’es pas en* moi si, il m’faut un flow, voici mes tripes, il est beau, il est asymétrique
m.a.i c’est une flèche avec un veau*cer, quasi aigri et la *skhh* dans l’casier gris
y a ton nom dans l’calpin d’la mort, si elle vient ça sert à rien d’la mordre
les pesos c’est la guerre, et je suis guère dans la paix
j’suis dans la pêche d’une zouz j’manque d’air, n*gga brrah
pour les ients*cli il pleut des grammes, c’est bon j’ai coupé il peut décale
je comprends le vice de l’homme, je joue bien au jeu des dames
on est frères on se dépanne, en concert on sautait pas
on était là, bras croisés, silencieux comme trois oiseaux
j’écoute la puissance, j’me sens intouchable, r.i.p tonton david, on est intouchables
mon dos n’est pas fait pour casser du sucre, mais pour la cape
mairo sur instru ou acap’, flyer ou a4
tu veux t’éloigner du rap, t’inquiètes y a encore des cases libres
peu importe ton domaine, sache qu’un contrat ça s’lit
y a le lieu, l’objet, la date, tout ça, tu lis, tu hoches la tête et tu signes
tu m’connais moi c’est 9.5, j’le fais dans le mille*deux, et depuis qu’j’ai 1.3,, dieu merci, j’ai un toit
toi c’que j’entends dans textes, c’est “j’ai fait ci, j’ai fait ça”
moi c’que t’entends dans mes textes, c’est “réfléchis”, c’est des armes
y a ton nom dans l’calpin d’la mort, si elle vient ça sert à rien d’la mordre

j’suis dans la pêche d’une zouz j’manque d’air, n*gga brrah
han, han, han

[couplet 12] [24:24]
yeah, han, yeah, let’s go
c’est un coup d’éclat, c’est un coup d’état, s’il vous plaît, n’en doutez pas
9.5, m.l pour vous délivrer, j’arriverai quarante*cinq au bout d’mes doigts, brrah
m.a.i, je sais comment ma voix sonne, j’peux sauver le rap à moi seul, j’délivre comme amazon
je fais pas de coupé*décalé, vous étiez où toute cette année ?
m’attendez pas pour pédaler, j’vais l’piller quand j’vais trouver l’palais
j’ai tout pour chasser les idées noires, t’as ramené le pack, vas*y fais voir
agité, je suis agité c’soir, je sais qu’je suis pas l’plus relayé
inoffensif, mais tu le sais dé*, j’rappe ma vie et la rue me l’permet
que des combos, ça pue le perfect, tu touches la terre ferme, si tu interfères
c’pas le son des boîtes, ça c’est hors d’la boîte
j’suis à l’abri de rien et l’appât du gain peut encore m’avoir, yeah, hein
j’emmène ma tch*bi, on fait un mad shopping
eelle m’appelle “choupi”, j’lui tourne le dos, j’soupire
j’suis pas un zemel, 9.5, m.l
le [?] [25:35], le camion d’poubelle
je passe et j’ramasse, dépasse pas l’grammage
han, mon plumage se rapporte à mon ramage
han, y a des bateaux qui sont remplis d’gens, alors que y a des gens qui sont remplis d’gent*ar
bientôt l’final, bientôt l’journal, bientôt l’annal
bientôt ton rap, n*gga, là dans l’c*n*l, yeah
les autres posés dans un studio, le maire posé à la mairie

bin*bin*bin*binks
eh, le légendaire, han*han*han, han*han

[pont vidéo] [26:15]
i don’t think anyone who has never been a refugiee can ever know what it is like. the first crisis is emotionnal. probably, for the first time, you find yourself in a place where you’d know you don’t belong. you don’t understand the culture, the language, you don’t like the food, and you probably realize that you are despised, you are a second class citizen. when it really hits you that this is the situation, you begin to wonder if it’s worth while perhaps, it is better to go home and die

[couplet 13] [26:50]
han, han, yeah
dire qu’on s’ra toujours là pour l’autre : c’est ça l’mensonge
j’donne ma version, j’m’en fous de c’que les hommes et femmes en font
j’parle de drogue, j’écris des lines, j’parle d’mes proches, j’écris des larmes
mal de gorge, j’ai quitté la pièce avant d’fondre
plus de musique, moins d’égo
j’entends le chant des critiques au moindre écho
qui sort de ma voix, mais bon ma foi
m.a.i.r le professeur, on se la ferme, on s’assoit
ou j’suis le black swann, je peux changer comme un défaut
j’pense à m’remplir comme un dépôt
b*tch, tu sais qu’je plains les vôtres
j’comprends qu’ça paraisse grave aud*ch, mais nous on n’est pas toi
on fait tous notre max, pour échapper à l’abattoir
j’parle pas aux idiots j’parle à dieu
j’parle aux artistes qu’ont pas de manager
j’parle pas aux faux, j’parle aux bros
j’parle aux lépreux, j’parle aux pros qu’ont la zik dans la peau
vont pas pomper mon style
j’ai le stick, dans la paume, mais que la po’*po’ m’la stick
b*tch, ma bite, elle astique, k!lluminati
j’te crache tout mon feu, go chirurgie plastique
j’te laisse dans ton pseudo*bad, va parler à ton psy
on va te trouver aç*comme et y aura pas d’autopsie
n*gga, m.a.i.r.o
même ceux qui m’aiment pas, ils m’aiment trop
on va pas m’brader, mon papa m’a dit de garder la foi tant qu’le cœur fait “pam*pam”
à la vet, à pam, à pattes, dbz n’a pas kameha un [?] [28:10]
on s’parle pas quand t’es sobre donc ne me parle pas khabat
j’ai la peau café latté, gelato, moka
j’ai d’jà taffé la tape, j’vais rafaler la terre, au calme
focalise l’attention sur le poison dans l’bocal
cette patate, même avant d’la rentrer tu dors
avant d’rentrer tu toques
cache les drogues, les armes, avant l’entrée du doc
tu sais que c’est des merdes qui vont s’vanter du toc
jamais très loin de c’qui s’fait à la mode
car les rappeurs à la mode écoutent mairo à la mort
le fim je joue dedans, et toi t’es mort dedans
la vie est croustillante alors je mords dedans
très haute j’ai mis la barre, quand tu rappes y a pas d’barre
arrêtez d’faire les barges, vous trainez dans des bars
j’étais dans les bloc parties de mardi à mardi
j’veux pas d’feat j’veux un s/o, man, nique ton flow à deux balles
j’veux pas d’gow, j’veux un cheval, s/o mon gars [pardi ?] [28:51]
bientôt, j’échange mon nike contre un trench coat en gabardine
bientôt je vis mes rêves, pharell avec varnish
j’attends pas ta vision mec, arrête ta flute
pour la guerre et pour les fights, j’suis trop paré, paré
on m’a prévenu des erreurs qu’j’pourrai pas réparer, han, han
on m’a prévenu des erreurs qu’j’pourrai pas réparer

[couplet 14] [29:10]
is it going, is it going, is it going, is it going ?
i don’t know, what you’re looking for
depuis p’tit, j’sais qu’tu me vois
peut*être parce que le rap est à la mode, comme les renois

tout fonctionne en cycles, et là on est dans l’effondrement
dramatique, comme une fin d‘roman
hum hum, j’reprends
tout fonctionne en cycles, donc c’est bientôt nous les riches
j’peux plus rapper pour des pifs, qui cherchent qu’à s’fourrer l’pif, mec
et la panse, prêt pour le diable et la danse
tu sais bien qu’j’ai des années d’avance
ma carrière, j’étais stressé au début
maint’nant on vous baise et on vous…, comme des… *pchhht*
ma p’tite femme et mon jardin comme eve et adam
on veut tout tout d’suite, personne peut rêver d’attendre
mec, j’suis debout depuis sept heures neuf
aux bolosses qui croient que superwak c’est l’turn up
genève story, secteur n0ble
l’amour ça t’éduque quand on te tape avec le manche
la dépression arrive avec le manque, bonjour l’dérèglement
c’est moi qui mets des claques, alors donnez*moi la kich’
pour que mairo soit classe, que des clarks wallabees et des mephisto
j’fais ce rap pour aider mes fistons
rajoute reverbe et disto, disto
nouveau riche, bon vivant, ça vient, ça part comme le vent
monde libre, monde brillant, j’suis toujours posé à montbrillant
donnez*moi la balle et tant pis si j’perds
j’vais tout investir dans mairo, et tant pis si j’perds

attitude de rats d’égout, ça m’dégoute
j’ai d’jà parlé à des murs qui étaient beaucoup plus à l’écoute
le stress, l’argent, le taf, les parents
et maint’nant que j’comprends tout leur charabia c’est moins marrant
allez j’rap, c’est pour prendre tes gains et tes bottega de merde
même si j’m’en cogne, c’est nous les pirates, c’est nous l’mal de mer
j’n’ai pas toutes les réponses, me demande pas “pourquoi ?”
on arrive noir sur noir et on a l’air grave sournois
j’allume un j’, j’oublie le pax dans la machine
ça fait un bail qu’j’ai pas lu un livre, pourtant on dirait qu’c’est d’la magie
tu prends les sapes de ta gadji et le flow d’tes copains
moi j’découpe, c’est mon dada, j’vous laisse les couv’ des magasines

faut qu’le chiffre d’affaires pète, qu’on mette le stud’ à l’air libre
c’est qui l’cerveau du groupe ? toute ton équipe à l’air bête
moi la mienne est soudée, v’nez on fait la course
qui finit essoufflé ? qui finit ses couplets ?
mairo le villageois, j’vous guette depuis la tour
j’ai rempli des seaux de crème épilatoire
c’est pas du rap si y en a pas un en zonz
quand le groupe pète, impensable
j’préfère une vie sans musique que vos couplets pleins d’mensonges
j’me rappelle pas comment on s’endormait avant les bédos
j’me rappelle pas comment on s’réveillait avant les cafés
j’me rappelle pas comment on s’exprimait avant de rapper
les métaux parent les métaux, si on t’lance on te lance très tôt
j’ai pas b’soin d’ceux qui m’aiment, y a d’jà ma mère qui m’aime
elle transforme la merde en or, j’fais attention à mes mains
toujours le même schéma, tu connais l’maillot
petit cachet, petit viande hachée algé’, mayo
j’fais pas la grève de la faim, ce soir y a grave de la fraiche
à l’aube d’un nouvel arc, je fais la flèche
eux ils servent un camp, j’vais tout froisser, j’me d’mande “quand ?”
b*tch, c’est les kalashs contre la sarbacane
les yeux rouges à cause de l’herbe manquante
le cerveau off, je sors vainqueur de la session, mais j’ai qu’vingt keus, renoi
avec ma main je sers vos cœurs, j’évite les traces et les odeurs
j’ai grandi avec la télé et les figurines
j’ai connu l’humour avec le s.a.v, la force avec wolverine et xavier
dieu merci, juste un son et ça l’fait, j’ai pas besoin d’me désaper
quarante*cinq, c.b., superwak, dédicacé, ça t’est
l’prochain qui découvre mairo, il va casser sa tête
l’prochain qui découvre m.a, il va casser sa tête
let’s go baby
m.a.i.r le légendaire
l’aventurier sans son aventurière
le prochain qui découvre m.a, il va casser sa tête

[couplet 15] [32:20]
[?] [32:15] ça dit quoi ? on y va, let’s go baby
j’rime des journées entières, le torse bombé
l’écorce est tombé, j’suis un nouvel homme sans m’pomper, juste en étant fier
cinquante centimes le verre en plastique, tu sais qu’le gérant est en pierre
pour le savoir ultime, mon cerveau est éponge
pour ton flot d’merde, négro, mon cerveau est étanche
ta tronche me revient pas, étrange
attends laisse moi deux s’condes, j’fais l’tri et j’tranche
seize trente, j’démarre de la dar’, si j’veux, j’p*sse là, j’crasse là, j’en ai marre de l’adage
du dicton qui dit qu’s’tu cries, t’es juste un p’tit con
raté, ça glisse sur moi comme un piton qui veut la pâté
ces chiens me sont fidèles, les zombies craignent m.a.i.r
et leurs mixtapes de merde, c’est son p’tit déj’
posé dans l’car, j’pense qu’à me mettre un peu de calcaire dans l’corps
j’fais marcher ma musique en attendant qu’elle court
à l’écoute de ses alcools, j’enfile une ch’mise à colle
droit, c’est comme ça qu’j’les accoste
j’rappe sans m’arrêter, c’est comme ceux qui racolent
depuis que j’suis, hum
c’est pas du bluff, là j’suis [ornette ?] [33:22], cesse tes sornettes
j’rentre clean, faut double ration, désormais
ces rimes sont chériées, sur du [chériot ?] [33:27]
j’m’explose, j’impose la charia, me parle pas de p****, yeah
là c’est du sérieux, y a moyen que j’sois épié
les keufs sont capables de prendre c’qu’y a sous l’évier pour m’ler*vio
j’reste sous un keffieh, me tester ? dans tes rêves, yo
il, on m’appelle “m”, yo, r.a.f que vous m’aimiez
qu’j’sois attaquant ou l’ailier, on va parler de moi
dans les médias et la radio, à ma cause, je vais m’dédier
comme les x.v, il m’reste deux barres
j’renais comme un nix*phœ, j’gagne des xp
j’renais comme un nix*phœ, j’gagne des xp
n*gga, han

[couplet 16] [34:10]
yeah, yeah, yeah, yeah
j’ai capté, la zik c’est, j’ai capté la zik c’est
j’ai capté la zik c’est risky, j’viens pas pour m’faire toucher l’zizi
quand je ne’croyais qu’en la bicrave, personne n’est v’nu me pousser dix kil’
quand je n’croyais qu’en la musique, personne voulait vraiment oser
y a que mon frère qui écoutait mes couplets depuis son lits superposé
douze ans j’étais du*per, l’adolescence dans un ouragan
j’ai monté les prix des concerts, sinon ils t’prennent juste pour un con
la frustration me collait, elle a pas attendu le collège
j’aurais déjà les couilles en or, si pour chaque couplet j’comptais mes heures
j’étais pas un gros baiseur et ces bâtards me foutaient l’seum
j’aurais pu mettre mon cahier dans mon sac, mon stylo dans mon professeur
n*gga what ? han

[couplet 16 * bis] [35:04]
viens par là on va tout t’apprendre
viens on t’accueille
rien à foutre si ils m’comprennent mal et
rien à foutre si ils m’font la gueule
j’arrive, genre normal, les mains dans les poches
petit sifflement, han*han*han
le regard stoïque tu ne peux même pas savoir si je mens, han*han*han
les sons d’aujourd’hui, la vision d’l’époque, ils ont la pétoche, ok, hein
j’allume un pétou, j’rallume un pétou, tu veux t’faire pétou, négro ?
quarante*cinq au mic’, séro prestance
que ça roule du gaz et ça boit d’l’essence
cette géné’ n’est même pas oppressante
j’ai vu pire en sortant d’l’adolescence
elle te tient par le col si t’es présent
on a d’jà tous vu des dingueries à douze ans
on a d’jà tous vu des dingueries à treize ans
j’ai pas mis les pieds depuis longtemps
là*bas, j’sais qu’y a ma place qui m’attend
parmi les enfants et les vétérans
érythrée, t’inquiète pas que je vais trer*ren
et c’est l’pays d’mes parents, je suis un homme itinérant

[couplet 17] [35:53]
ça c’est pas du lourd ? ma gueule, accouche
quand on sait pas comme ça, pas touche, ma gueule
tu touch’ras jamais ma reus, kahlouche
ok, j’vais te gonfler la bouche, arbouch
attends, il a l’diggy ma gueule, recule
fais nous billie jean ma gueule, recule
tu la touches, mais tu touches pas qu’elle
han, ton sang coule et tu touches ta tête, trop tard
sur youtube ou la night, que tu nous vois
sur ma sh*t, j’ai l’plein pouvoir
j’suis pas à dix pourcents comme ces yous*voy
pas d’latence, tu m’reçois sec
toujours, tu parles quand j’dois sser*p’
tu me parles, tu vois que trois zèbres
monde libre, j’ai fait quatorze et j’te dois sept
n*gga, let’s go

[partie 2 * debout]

[couplet 18] [36:25]
yeah
faut pas demander, mon blase c’est “m.a”
j’suis rentré dans ce jeu, j’savais même as*p
j’me suis pas demandé si ils m’aimeront, n*gga
jeune noir, pull noir celui qui fait l’taf
au début, j’suis trop déter j’ai pas d’go, han
j’suis dans l’art, mais pas celui d'[?] [36:43]
la puissance qui alimente les gros paquebots
le “m” sur le bâtiment comme macdo
superwak et wu*tang : même taille
shaolin, pouvoir biffeton, hentai
pour ces vampires qui tournent, j’ai d’ail
x*boy n’a jamais eu d’ex bail
mairo, il est pas comme taïro
il est vif comme kyrie, yeah, han
à deux cents au volant, j’suis vert comme un irish
n*gga, maillot de la hollande, orange comme les [?] [37:03], let’s go, yeah
atmosphère oppressante, j’suis l’meilleur de maint’nant
de avant, de après, donc j’me conjugue au présent, hum
c’est beaucoup d’prestance, quand t’écoutes mes sons, tu sens le coup d’pression, ok
tu veux c’micro là, ok, d’accord, mais d’abord tu coupes tes ongles
t’inquiète, on a le cardio pour les semer et même ceux qui sont pas sportifs
capuches noirs de hackers, de braqueurs, et, et bientôt ils amortissent
et bientôt ils amortissent, hum
billboard, top 1, j’suis pas ton copain
moi je suis ta hantise
j’suis pas là dedans depuis que j’suis dix*huit
j’suis dedans depuis que j'[?] [37:38] sur [?] [37:38]
écoute très bien, très très bien l’projet qui suit
ils verraient ma haine dans les yeux sans la visine
n.y comme la cinquième av’nue, y en a un qu’y est pas v’nu, hum c’est lui
attends je sors le truc de son étui, tiens prends ça entre tes mains et mets lui, hun
faut pas attendre que le mal se propage
crois moi il va plus vite que le gaz, le propane
j’suis en snake, en cobra, j’vais pas raconter ma vie dans les bails de [oprah ?] [37:57]
ça sent mauvais quand y a pas de contrat, ça m’étonnerait que su ma tête y ait pas de contrat
bientôt on compt’ra, on s’aime et on se déteste et bientôt on romp’r’ra
dehors c’est inquiétant, la trouille, y en a pas qu’un qui est d’dans, yeah
pour un billet d’cent, t’as ton t*shirt b.b.c imbibé d’sang, hum
message à mes ex*potes, je vous dédie ces pensées sombres
heureus*m*nt qu’on s’est pas connus à l’époque d’la pendaison

[couplet 19] [38:20]
c’est pour les méchants, ça, slay
le temps il va s’gâter, m.c chocolaté
conçu pour des hits et toute la vie, va s’acclimater
j’ai un truc à dire : j’vais l’rapper, premier essai raté
le deuxième va t’éclater, j’fais un max, j’peux pas m’brader
ok, est*ce qu’il faut qu’on parle ? ou est*ce qu’il faut qu’on baise ?
attends, j’reconnecte, j’reconnais c’gars, c’est un [‘dek ?] [38:48]
et on aime pas les [‘dek ?] [38:49] et on est pas les der’
tu m’vois j’suis dans l’centre et quand j’rentre ça sent l’œdème, yeah
moi j’connais pas [béquilles ?] [38:58], j’vous vois tous en équipe
vous marchez comme des quilles
le rap c’est pas un sport, quand j’débite y a rien qui bouge
l’enfer ça m’fait peur, ça m’fait bien plus peur qu’la mort
et ça fume la [boré ?] [39:06], des plans, j’élabore
une piscine de cash et j’vais plonger d’abord
“tu rappes bien, mais tu viens pas d’ici, dommage”
tu m’vois j’suis dans l’centre et quand j’rentre ça sent l’œdème
ils s’inventent des vies, ils font jamais des ventes
problèmes, faut qu’on dévie, molotov dans l’fourgon des flics
comme ça ils osent pas descendre
ta dégaine est cramée, b*tch, ta dégaine c’est des cendres
j’rappe [sans ?] [39:28] l’index, l’index d’l’indic’, sac en latex
j’connais pas tes zip, j’connais pas tes sons
donc quand tu dis qu’on est en*ble*sem, c’est blessant
hun, j’suis dans ma maison, j’attends une cargaison
les singes sont sortis du zoo, les singes sont sapés sombre
s’en sortir, c’est pas facile, y a un tas d’dealer opé’
j’mettrai jamais cent ou cent cinquante balles dans un seul t*shirt floqué
b*tch, associé à superwak à superwak bloqué
j’assume les failles, j’assume les torts, j’assume les fans choqués
j’peux pas feater avec des mecs qui sont pas impliqués
genève city, gang rolex, j’suis pas audemars piguet
baby viens, j’y vais doucement, j’y vais pour bibi, hun*hun
xtrm c’est la team, demande aux latinos, à [bobo viens ?] [40:01], hun
j’fais pas de signe, j’fais pas de check, j’fais pas de vie, hun*hun
m.a.i.r, bientôt platini, hunnn*hun
m.a.i.r, bientôt plati*ni*um, bin*bin*bin*binks

[couplet 20] [40:20]
allez nique
l’élysée et la p.o.l.i.c.e
j’passe là paix aux lycéens et à ceux qui charbonnent à iss
j’donnerai tout à mes darons
avant qu’ma vie elle cesse
j’graille pas dans vos assiettes, c’est des beaux plats mais que des vielles sauces
la bibi c’était pas tasspé, miskina est*ce qu’il va l’a cassius clay
mais au moins si j’arrête le pe’, j’ai ma miff et ma matu spé
j’ai les clefs du gamos et, même si le poto c’est un gars musclé
j’le shoot, être connu c’est trop tuba
maintenant je trouve ça suspect quand ça m’suce pas
de base je suis un blé’ impeccable mais faut pas que j’pète un ble*ca
faut pas qu’j’oublie que personne est quelqu’un et qu’j’attend rien de base
je viens du désert, comme les bédouins
pour moi le pe*ra c’est d’la badoit, je bois ça easy t’en es témoin
tu sais qu’on est pas peace à côté des chevilles [?]
les frères se tuent au coca*chivas mais qu’est*ce tu veux qu’j’y fasse ?
mais qu’est*ce tu veux qu’j’y fasse moi ?
hein, yeah
j’peux mettre des fe*meu dans les pe*cli
mais pas en vicieux genre les vixen
si tu dois les croiser, tu vas les croiser, on peut les froisser même s’ils sont l, xl, xxl
j’ai semé les con*dés qui m’pistais
ça les caillassait, ça ricane et ça court dans la cage et ça s’barricade
ça clip, ça zoom, ça guette, bientôt j’suis masqué comme mf doom
j’rap, j’reçois que des dms, j’réceptionne et puis c’est tout
j’ai vu ton nouveau bolide, j’ai la haine, j’le raye on est pas des khouy
tous ceux qui jactent ils sont en*d’ssous d’moi
même si dieu il nous voit tous pareille
fiasco, loupé, kick bouche, bouche, bouche
même si c’est passé nique bush, bush, bush
et les states, les menteurs loupent
c’est nous les escrocs, on entourloupe
anti*lopsa comme atk
j’tiens les ficelles comme le ventriloque
45 et 9*5 c’est pas quête
pour les p’tits bolosses la qui s’la pètent
tu crois j’peux pas faire mieux qu’ça ? bête
merci d’avoir réveillé la bête
t’inquiète bébé d’abord on me file ma suite, on se filme ensuite
faut l’argent puissance huit, et pour le ché*ca j’suis d’jà en suisse
tu sais bien qu’j’suis le même lossa
rien ne m’réconforte même le spa
j’parle pas à ma mère de ça
j’met un p’tit nakk mendosa

si j’rap c’est pour faire le zgah pas pour sucer l’émission de fred de sky’

me chauffe pas le crâne pour faire une vieille pub
j’connais le métier comme une vieille pute
tout baiser en goal c’est mon premier goal
tout baiser dans l’reste c’est mon deuxième but
ca te touche le cœur t’as pas d’deuxième buste
personne te connaît, y a qu’des gus
bientôt je voyage en jet, j’ai raté l’train, raté l’bus
c’est plus d’la ‘sique, c’est de l’idolâtrie ça, là, c’est de la triche
c’est plus d’la trap, si on t’attrape b*tch on t’clash pas on t’fait de la drill
ok, boulard au carré, vip, carré, bouteille au carré, deux fois
pizza triangle, cheesy, triangle, tte*cha, triangle, trois fois
trop genève, aucun risque qu’on nous prenne pour des çais*fran ou des cains*ri
han, si j’fais ça c’est pendant des heures, sers moi juste du poulet et plein d’riz

t’es pas cord*d’a, on va t’chopper, tu prends ta gifle et tu r’pars jobber
t’es trop d*sp’, j’vais te calmer, n*gga
j’vais te screwed & chopper
c’est cash, y a pas d’modalité d’paiement, j’ai une mentalité d’haineux
j’veux la totalité d’mes gains, tu sais qu’j’veux la souveraineté d’mes cains*fr’
j’suis pas lisse, j’mets pas d’gel, j’prends la hf pour des chf
j’rappais avant, je faisais quatre j’aime, maintenant on est ensemble quoi qu’il advienne

[couplet 22] [43:48]
ok, han, j’vois des ** et des ** normal, j’zigzag, han, han, pour me frayer un ch’min
ma peau noire peut effrayer un schmitt, b*tch t’es trop p’tit pour essayer un joint
han, t’es trop grand pour rester un enfant, mais l’amour d’tes darons peut te donner des ailes
ils nous disaient on est des anges, les limites on les sait mais on les essaie
en été on était plus de 16, on a lâché des 16, j’avais à peu près 16 ans
au début, j’t’ais un peu pressé, han, un peu moins précis quand j’faisais mes sessions
j’suis au courant, [?], big mairo sur l’cd rom
on est assez pour brasser des loms
sont pas assez pour rabaisser l’homme
han, t’fais des streams, ok cool, prends pas l’melon
han, ça sent l’biff, ça sent bon, ça sent elon
vilain garçon qui est dev’nu un bel homme
ces gens qui veulent tout sauf ton bien, dieu m’en éloigne
j’les vois petit depuis l’mordor, il faut y aller pour qu’il m’endorme
j’ai la menta’ d’un milliardaire, ok, vas*y ramasse son style par terre
je cours et je cours quand j’ai pas l’pack
j’l’aurais dans les illes*cou si on [?]
je vais stresser, me starter une *
je vais stresser, me starter une [?]
j’fais attention, la tension est palpable
45 personnes sur moi qui parlent mal
ca fait ni chaud ni froid, c’est trop b*n*l
han, c’est prévisible, les gens aiment pas les gens

[partie 3 * trône]

[couplet 23] [44:58]
han, han, yeah, (c’est pour les méchants ça slay)
on dirait des ? en basage, j’portais les basanes, après j’portais les bananes
ça attendait l’été pour se capter et s’péter
ok, là t’as vu t’es trop tété, belek aux platanes
si les flics te choppent avant c’est eux qui te tatannent
han, j’vais revendre mes datas, en ce moment je suis endetté
gros ça se présente tac tac
b*tch la fauche là elle t’attaque
ça choque les tatas, un peu moins, j’suis embêté
envoie des platas, yeah, qu’on puisse se compléter
mais qu’est*ce qu’ils vont faire pour des clouts ?
han, à croire la prison ferme c’est l’éclate
un truc manque dans mon regard: c’est l’éclat
han, bientôt le maire, il va me passer les clés
han, j’mets un goal et j’vais pas célébrer
han, j’me retourne, j’fais comme si de rien
han j’dis bonjour et merci de rien
mais j’me rappelle qu’j’suis à la merci de tout
tu prends une dose, encore une dose
si tu crois qu’tu peux parler comme ça, t’as tort
tu fais comme les autres, t’attends
on a ta recette et nièce, on veut prendre ton frère et ta tante
un penchant pour les strass, j’suis posé sur l’estrade
j’suis posé, je suis comme le penseur
han, j’pense à faire aller simple au bled, ok
quelques piges j’le fais sans problème

[couplet 24] [46:04]
enfoiré, là, tu traînes dans mes pattes
j’vois tu stresses car tu sens que t’en es pas
dieu m’a donné un corps intact, impossible que je le rende en état
chacun de nous représente son équipe, on va se trahir et puis se dire on est quitte
on monte un business fleurissant, le jour où ça paye une embrouille on équipe
je rajoute une recette dans mon livre, j’ai souvent rêvé de créer le monde libre
c’est tout le temps les mêmes histoires qu’on te lit, ok, tu te bats mais tu sais même pas contre qui
on est 4, on fait 4 gros, on avance, on fait que de glow
le boy a bien éclôt et merci le sujet est clôt
j’évite les topos, j’? des copeaux, c’est pas les mêmes hits que dj popo de chose
esquivez la popo et esquivez popo, tu peux t’en sortir si t’es son poto
ils sont chauds mais j’crois aucun de ces joe, j’écoute mais j’crois aucune de ces sh*t
j’aime pas les conseils venant des gens, encore moins d’un comme qui vient pécho
minute 12 j’suis à 12 ma quête, tout le stud reste estomaqué
car personne ne ? elle est douces ma cam, il vient d’où la douce vacarme ?
il vient d’où la douce vacarme ?
ton son askip c’est trop d’la frappe, pourtant j’ai pas d’bobo
t’as pas d’seuf fort tu manques d’frique, enfoiré va voir manpopo
ça fait dix piges j’porte plus d’polos, j’ai r.a.f de c’qui est classique
gros t’es classique comme des pates bolo, ça fait ba*ba*ba*bam j’y vais ap molo
dans ma tête c’est comme un combat, les 50 contre les mattpoko
à la tête de ce rap y’aura beaucoup d’monde, y’aura tout l’monde mais pas d’bobos
j’étais p’tit j’écrivais de ouf, j’connaissais pas la scène pas l’pogo
hal dans malcolm, maintenant j’suis khal drogo
tous les jours je te vois dans des studs que tu gaspilles de l’air, de l’électricité
le dehors tu fais pas mes études, j’étais loin, j’étais l’élève dissipées
le dehors c’est facile de s’y perdre que des films de cités et des gueules de ?
gros pétou, pas de cigares, mais vu l’histoire fiscale, j’fais le bénéfice calme ok
et d’ailleurs, les bédaveurs, 6h du matin c’est pas l’heure
a part pour les keufs dans les escaliers qui s’en coupent, qui se touchent, j’leur souhaite tout l’malheur
a droite j’ai mon baladeur, à gauche mon inhalateur
l’instinct du bébé nageur hein hein, dans le corps du déménageur
ma benzo de rêve c’est un slg, bientôt la réalité casse la tienne
désolé les suisses on a cassé le jeu, c’est plus flippant que quand il t’reste qu’un seul joint
j’comprends les ? et les thousand, élémentaire mon cher patson
c’est chez moi j’arrive même pas j’sonne, tu rappes sale je suis fier my son

[couplet 25] [48:14]
m.a. c’est une p’tite tortures, pour ses poussies, un vétérinaire
j’ai un son d’winner dur et pas ordinaire, t’es pas teddy riner
t’arrives avec une sonde urinaire,t’es jeune ou t’es vieux, la vie c’est binaire
un itinéraire, d’abord le hustle, ensuite j’vais pépère, laisse*le, ce renoi sait faire
ok j’suis un flemmard oui, ok j’suis au cinquième pétard oui
mais même après toute cette flemme, entre eux et moi c’est l’grand écart oui
jt’ai dis qu’on est tous des frères toi tu me parles d’la théorie de darwin
tu fais des dingueries après tu vas t’cher*ca au grau*du*roi on sait tous pourquoi
très probable que j’vous tues avant que je m’avoue foutu
ce rap il est pas à moi mais il est encore moins à vous, vu ?
si c’est mon kho pas une cave, c’est un brave et si faut courir pas d’crampe
j’vais jamais joué à minecraft negro, tu sais bien qu’j’ai pas lu mein kampf
j’suis pas chaud depuis mes 24, j’ai sauté pleins d’classes j’suis chaud depuis v’là le temps
le rap faut pas forcer, nan, fait passer tes pas dedans
m.a.i.r tueur sanguinaire, depuis qu’j’suis mineur, je les ?
mon livre jamais il n’est ?, ma maserati avec un ra* un ratpi
ouh ma gadji, j’vous mets une misère à tous, j’cherche même pas ou me cacher
mon conseil c’est d’jamais cher*lâ, du moment que t’es là gros tout peut s’passer
pour les uns c’est cascara et sportuaire, pour les autres c’est baggy large carhartt
j’étais déjà au*dessus depuis ? n*gga
yes papa, lui c’est mon frère mais je l’appelle papa
la miff et l’tonton mais y a même pas d’blazes, l’amour c’est du luxe c’est à peine palpable, yeah
pour les obstacles et les dodanes, je suis plus armé que deux doigts, hein
je suis plus armé que l’armée, beaucoup plus apte à faire passer un sage
mais il fait le mélancolique, il fait le blasé, on peut lui donner une raison de chialer
y a superwak dans la maison chalet, prochain album ça va choquer des tantines
j’peux pas te raconter ce qu’il s’est passé, j’peux pas te raconter ce qu’il s’est passé
porro tartine, tous dans la cabine, place au anti*héros ? retenti
j’éclate ma conso avec 2*3 bonnes sos comme flins
mairo bientôt tout en haut comme clint
si on m’chauffe je m’allume et je flambe, y en a peu des mcs de ?
si le génie coupait la langue, le génie va t’couper la langue
j’ai que du language crypté aka caleb comme si j’venais de krypton
parle*moi bien, baisse d’un demi*ton avant qu’j’tenvoies le chien d’hades
de base j’avais rien d’bizarre, de base j’avais rien d’mystique
mais là j’suis entouré de plein d’vissages, que des tatouages plein l’visages montre*moi tes ischios, c’est ma seule mission, c’est ma seule mission
toujours en mouvement, je suis l’ennemi des proprios
le dégueu et la conscience, le pain de mie et la grosse brioche

[outro]
m.a.i.r le légendaire
l’aventurier sans son aventurière
la pâte brisée, la patte brisée

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