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grünt #56 - grünt lyrics

[paroles de “grünt 56”]

[refrain : rounhaa]
ça fait bientôt six ans qu’j’vais dormir à 6 du mat’
j’ai plus de batterie, j’me vois éteint dans la vitre du mac, hey
tout est carré, j’me rappelle j’tais tout égaré
dans mes rêves j’achète six mercos, j’te rappelle quand tout est garé

[couplet 1 : rounhaa]
autour de moi tous des tarés, j’sais pas si tu captes
on s’embrouille vite fait, j’l’appelle en mode salām sis’, tu date, hey
j’taille si tu gâtes, j’me lève tôt
j’ai d’l’or dans les mains, un cœur en pierre, hey
ça va t’faire mal aux doigts si tu t’grattes, hey
ils essayent trop, mais ça marche jamais
j’veux leur montrer un peu, vas*y, ça me gêne beaucoup
moi j’peux l’faire debout, couché, assis
c’est un chien, donc j’le laisse — coucher assis
j’me r’sers un sanpe’ cassis, j’suis avec sofian et kassim, hey
entre nous, c’est pas égal si, quand t’étais jeune, c’était simple
j’rap, avant j’faisais des dessins ou sur arma 3, j’les dézingue
ceux avec qui j’traîne c’est mes zins
faire genre qu’tu m’aimes, c’est mesquin
elle me dit aïe, arrête de mordre
c’est pas des gâteaux, c’est mes s…
j’m’amuse, a’ec eux comme
frank dans l’hôpital
toujours y a un gars qui veut m’faire
j’arrive, et hop : il taille
trop de serpents, trop d’mygales
moi et eux c’est trop brutal
toi et eux c’est trop buccal
j’prends un cheese, un tropi…
j’avais peur, j’ai pris les devants
direct, j’ai parlé aux cieux
j’demande des trucs comme dehors
j’prends des vents, j’ai pas froid aux yeux
j’veux la pâtisserie et l’gâteau
j’veux les billets et l’cadeau
des gtx, des el gato
j’l’appelle poupée comme delgado
tu préfères percer sur netflix
ou dans la street, débattons
elle veut qu’on parte loin sur une île
elle en peut plus de moi dès l’bateau
des barres de fer, des bâtons
des rimes compliquées, des bateaux
j’arrive vitesse d’escargot
noir comme le chat d’edgar poe
ok, c’est bientôt la guerre mon frère
est*ce qu’on se croise sur le champ?
on tire ensemble sur les gens, ou on s’entre*tue sur le chant ?
j’pourrais lui donner mes affaires
quand elle fredonne sur le vent, j’aime trop quand on a rien à faire
quand elle s’allonge sur le ventre
trop de pensées dans ma tête
ça se reproduit comme des cafards
trop de bavards, je dors jamais, j’ai les cernes de jaffar
oh, ça va gros, tout autour ça avale
je vous vois, j’le refais, eh eh, je demande pas d’a—
[refrain : rounhaa]
ça, ça, ça fait bientôt six ans, j’vais dormir à 6 du mat’, hey
j’ai plus d’batterie, j’me vois éteint dans la vitre du mac, hey
tout est carré, j’me rappelle j’t’ais tout égaré
dans mes rêves j’achète six mercos et j’te rappelle quand tout est garé

[couplet 2 : rounhaa]
hey, hey hey, hey hey
hey, j’tue la prod, j’ai un déjà vu
j’évite les bandeurs, j’évite les cavus
j’viens d’là où on récupère les plus gros trophées
j’sais où c’est, j’étais déjà v’nu
il a dit non, j’veux le faire pour voir
rap sur ma vie comme si j’ai un pouvoir
elle a fait sortir d’mon cœur tous mes sentiments
elle a bien taffé, elle veut un pourboire
j’ai la dope pour les fous, gelato sur les coups
écouteurs pour les sous, tête acquiesce pour l’écoute, hey
y a une manière, y a pas mille façons
comme dans la roche, j’suis dans l’truc à fond, hey
j’fais le vide dans ma tête, j’mets tout dans le caleçon
le tapis vers la mecque mais je suis vert de ouf
le tapis vers la mecque
le tapis vers la, la mecque
mais je suis vert de ouf, hey
ouais je suis vert de, de ouf
tout vert comme à namek, hey
le tapis vers la, la mecque
mais je suis vert de, de ouf
ouais je suis vert de, de, hey
hey hey hey
jamais content ça va pas dans ma tête
l’son est sorti j’écoute la maquette
hey, le rap*jeu j’ai trouvé la manette
j’veux voir enfin l’inté’ d’la malette
faut, faut, faut qu’j’encaisse vi, vi, vite
qu’je supprime ce putain d’mal*être
hey, j’deviens fou comme (?)
j’aime brûler les boss, enlever les putains d’mal*être
j’suis dans l’stud que des feux sanglants, j’suis dans l’stud j’ai tout dit j’ai pas fait semblant, hey, hey
faut jamais faire semblant, un vrai message ça
pour tous mes descendants
comme le vendeur à chaque transaction
j’fais les mêmes erreurs, j’fais les mêmes actions
ouais je veux tout, pas d’fractions
hum, j’ai la même faction
la dalle comme un frigo, hum
un bpl crie go, hum
t’es cramé de bâtard comme un putain de gringo, hum
j’suis avec ma pine*co
zéro sur le revo dans mon bigo
frérot chez l’voisin c’est la même
on est vert de ouf, vert de ouf
au moins j’espère que j’vais mourir debout sa mère
han han
le tapis vers la mecque, mais je suis vert de ouf
ouais je suis vert de, de ouf
tout vert comme à namek
le tapis vers la, la mecque
mais je suis vert de, de ouf
ouais je suis vert de, de, hey
hey hey
hum
hey, mh
(?)
big r, j’suis b*n*l
j’ai même pas d’devise
tellement j’rap tous les jours
j’ai même pas de vie
tu l’as pas
j’ai la coupe
t’as la goutte
j’vais chez le best pour la coupe
les bagages dans la soute je crache
et tu bois dans la sou, sou, soupe
twitte sur moi, vas*y twitte
vas*y twitte
elles me kiffent, c’est des twins
le big r dans le rap, c’est un complot comme les twins
hey, pour de vrai, pas de faux semblants
dans un del, électrique
j’ai les moves et les tricks
f*ck les bountys et les twixs
j’fais plus de biff pour les fins d’mois
elle mange rien, elle a que faim d’moi
je lui sers, il a les mains moites
pourtant on s’est vu plein d’fois
le rap*jeu, moi je vois plein d’foi
le big r, plein de force plein de foi
tu me plains mais tu veux plaindre quoi gros oh ?
oh, okey
mais tu veux plaindre quoi gros ?
vert de ouf
le tapis vers la mecque, mais je suis vert de ouf
[couplet 3 : rounhaa / 5:20]
j’la fais courte le regard en dit long
un bonnet en plastique un joggo en nylon
des millions sous mes cheveux mi*longs
j’fais d’la d mais elle reste parce que je suis mignon
la bataille sous ma capuche
je sais pas si t’as capiche
c’est big r la [?] j’guette la ville de la capit’
elle me kiffe trop j’la câline
des couz, des latinas et des kabyles
plus jamais, plus jamais, plus jamais, plus jamais
le feu bleu est sorti du carnet
plus jamais je doute que j’ai la clé
plus jamais, plus jamais, plus jamais, plus jamais
le feu bleu est sorti du carnet
plus jamais je doute que j’ai la clé
que du [har?] à l’ancienne comme le tar j’vais t’fumer en secret comme le tsar
j’pense aux sous dans le caz’
j’vais vers le ciel, je rêve de porsche dans le [?]
la routine quotidienne
besoin de diamant, big r obsidienne
j’ai le feu, j’ai l’oxygène
coupe la sh*t pas besoin d’opinel, okay
plus jamais, plus jamais, plus jamais, plus jamais
le feu bleu est sorti du carnet
plus jamais je doute que j’ai la clé
plus jamais, plus jamais, plus jamais, plus jamais
le feu bleu est sorti du carnet
plus jamais je doute que j’ai la clé
[couplet 4 : gio / 6:24]
un problème, deux problèmes, j’me tâte
j’oublie les visages comme brad
des concerts partout dans la france
donc je déserte le taf
deux ou trois mois que j’ai pas bien mangé
j’vais casser avec six dates
j’vais m’refaire des pâtes, gros
on change pas une routine qui date
ici les tours m’font de l’ombre
ici, ici j’mets l’argent en tombe, ho
pardon, à dieu, quand j’me trompe
ta madame me dm, elle veut qu’j’visite ses trompes, hey
dans un métro, dans un uber, j’veux l’argent et le compte du beurre
la liberté en statue, c’est che*lou, mais j’me sens mieux qu’à auber’
donc, j’repense au vice et je serre, j’prends la raquette et je sers
sous la cagoule comme le 7
ils m’voient en louche comme la cuisinière, hey
oh my god, elle me caresse comme un cat
y a la monnaie qui m’attrape, y a la paresse qui m’attend, toi
toi, toi, tu frimes et tu dribble, sans les trippes c’est du fake
c’est pas marrant, hey
tu fumes la ****, tu vends la ****
j’vais tout dire à ta maman
hey, hey, hey, hey

[couplet 5 : rounhaa / 7:17]

[couplet 6 : keffran / 8:55]

[couplet 7 : rounhaa / 9:59]

[couplet 8 : gio / 10:30]

[couplet 9 : rounhaa / 11:35]

[couplet 10 : maroo / 13:02]

[couplet 11 : gio / 13:48]

[couplet 12 : rounhaa / 15:16]

[couplet 13 : rounhaa / 16:36]

[couplet 14 : empty7 / 17:39]
j’reviens d’là*bas où j’creusais, du seum sous les ongles, niveau du sable sous la gorge
il a les mains gonflées ou des stan smith ça l’aborde, l’avant*bras dépasse de la porsche
c’est des trompetistes, tant qu’maman est fière j’calculerai pas leurs disques
y’a 3 ans tout est parti en couilles, j’suis passé du gentil rappeur au p’tit rat nocif

blv, hey zebi, tous tes morts, j’veux ta loyauté, l’fruit de ton charbon on va le dénoyauter
et si demain j’apprends qu’t’es bizarre, j’vais t’exploiter organiser un plavon j’raconte rien au tel
echantillon pour les contenter, 5 chiffres minimum si tu veux tenter
on dépense pas dans les boîtes, pas dans les bars, on dépensera uniquement dans les grands banquets

j’suis en 4×4, parre*balle le kevlar il est anti*crevaison
grosse liasse me garde en flotaison, j’ai frôlé le placard quand je sortait zon
j’ai khalass la boule noire avec 10 meuj de c, une bonne chose de faite, sur la photo y’a qu’des f*cks
toujours avec les anciens shabs d’l’époque, on a besoin d’fonds, t’inquiète on les debloque

fils de pute on a patienté, quand tu m’croise j’suis jamais quasi opé
j’suis cagoulé clochard j’vais rien siroter, bientôt on m’voit de partout comme cassiopée

y’a merdier, y’en a pleins, qui manquent à l’appel
gros bolide, en double appel, on te visser à la pelle
ici bas, y’a pas d’ange, tema tu vois y’a pas d’ailes
quand j’ai dû nachave, y’en très peu, qui ont passé des appels

attends tu croyais quoi, qu’j’etais con?
tu verras jamais plus vicieux, quand j’fais des ronds
on va créer des liens, couper les ponts, manque d’inspiration j’repense au charbon, aux vies d’avant
dans un bolide bad grand, vers ville*la*grand, eux et nous tu sais très bien y’a pas d’équivalant
en vrai dieu merci j’ai jamais fait mon pain en bavant sur les autres, vas*y venez maintenant

[couplet 15 : rounhaa / 18:57]

[couplet 16 : rounhaa / 21:07]

j’ai beaucoup ou j’ai peu
est*ce que la gloire c’est chacun son tour ?
j’ai envie d’aller ou c’est bleu
est*ce que là*bas les chagrins sont courts ?
si c’est ça j’crois qu’c’est bientôt moi
j’me rappelle c’était bien l’coma
grandir c’est bien beau mais, perdre ses amis c’est bien traumat’
j’rajoute des couleurs c’est bien trop mate
elle me laisse seul, ça fait bien trop mal
alors elle me laisse, donc j’ai mal au cou
au niveau pour moi, c’est bien trop bas
tellement d’tristesse, ça s’dose pas
toi t’as changé d’la veille au soir
j’suis pas sûr d’être une bonne personne
j’ai envie d’tout lui dire, mais j’ose pas
j’ai tout fait, tout fait par amour
appuie toi sur moi, j’suis là pour
kiffe, amuse*toi, j’suis la cour
j’vais les rendre riches, j’suis la poule
tu veux qu’on parle, qu’on fasse semblant
j’ai pas l’temps, vient on casse un tête
tellement d’blizzard, j’suis dans un del
parle moi pas d’un tel et un tel
tellement d’blizzard, j’suis dans ma peine
j’espère qu’j’serai heureux dans ma benz
imagine c’que j’serai sans toi
imagine c’que j’serai sans ma haine
imagine c’que j’serai sans ma haine

[couplet 17 : rounhaa / 22:20]

pas d’avance, pas d’attrait
pas d’avant, pas d’après
dans le ventre de la dar’ déjà prêt
tes oreilles entourées à la craie
pas d’avance, donc abrège
pas d’vacances
ces méga tchoin n’auront pas d’avance
tu sais qui j’viens chercher à la crèche
pétasse arrêtes*moi ton cinéma
le cœur bat fort sous le bruit des basses
des vrais négros y en a plus des masses
j’ai rappé sale il a plu des balles
big r, l.u, y a plus d’débat
moi, les étoiles, y a plus d’écarts
sa grand*mère la reine des abeilles
j’suis trop fou on dirait, j’ai bu des bars
r r r
r la cure, r la purge
r la brume, r la brute
on fait tous les week*end du shopping
mais elle fait quand même la…
r la plume, elle rappe plus
beaucoup de demande de feat
mais c’est la r la pute

[couplet 18 : luther / 23:22]

j’suis trop en attaque mais j’tiens grave à la fuite
[?] c’mment j’ai mangé, je rentre plus dans mes futs
et me parle pas la nuit
j’ai v’là la quille
je me repose grave dessus, j’fais qu’des 4 à la suite
toujours dégoutant comme les clopes
j’ai des trucs en boucle, j’ai des tocs
j’suis un bot, j’connais pas la méthode
elle est conne, là*celui qu’est*ce qu’il est con
j’fais confiance avant d’demander “est*ce qu’il est bon ?”
c’est mon esprit les sons
enculé d’ta mère tu veux savoir
il est d’enculé le salaire tu peux avoir
détale, on va [?] dans ton bavoir
la ‘zik c’est mon chat noir
j’voudrais faire brûler la terre
quand j’buvais la mer, j’ai cultivé mon sel
l’angoisse s’agrandit comme la taille de mon zen
… et j’crois qu’ça s’voit
j’les applique pas mais j’donne grave de conseils
merci le r pour l’accueil, j’suis en vie
j’vide mon cœur, quand j’remplis ma feuille j’suis en vide
j’me cherche [?]
sortir, j’ai pas envie
derrière moi j’laisserai qu’une carrière et un œil
j’suis pensif, ça m’rend incisif
j’agis, plus d’histoires et dans l’vide quantique
y’a cent*mille violeurs, ils parlent 36 speechs
t’es pas malin mais gros grandis vite
est*c’qu’on s’en sortira, je sais pas
journée répétitive comme jeu pong sur la sega
j’suis con, la drogue fait des dégâts
elle parle à mes gars, l’ambition décale
j’vaux 7 élixirs comme un p.e.k.k.a
elle m’dit “je t’aime” j’ai envie d’répondre “pk?”
j’vois des droitards rapper, crari subversif
j’aime les comparer à un [?]
laisse, j’suis dans mes dièses
j’me sens plus charismatique quand j’suis dans mes dièses
j’suis dans la [?], pas l’été dans les benz
j’aimerais raconter 108 mesures dans des 16
y’a pas de sesse*tris pour m’sentir en esprit
mais j’les comprends, j’fume ma merde c’est la même
là*celui, t’inquiète, c’est le sang c’est la veine
mais c’est du business, p’tet demain c’pas la même
le monde avance vite et moi j’l’ai trop r’gardé
j’ai pris une avance en disant que j’étais r*t*rdé
ma confiance s’est étalée partout sur le parquet
alors pourquoi j’passe la journée à m’regarder ?
et à m’faire remarquer
faut pas faire crari
au début j’le faisais pour la p’tite ‘rrari
‘rrari kit mains libres, crari j’pige que dalle
les notifs et le vide font une p’tite tenaille
la prod j’la plie, j’me taille

[couplet 19 : gio / 25:00]

[couplet 20 : rounhaa / 25:57]

[couplet 21 : rounhaa / 27:05]

- grunt lyrics

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