je dors les yeux ouverts - gims (sexion d'assaut) lyrics
[paroles de “je dors les yeux ouverts” ft. koma]
[couplet 1 : maître gims]
ce soir il pleut du sang gelé
y’a un mort à côté du surgelé
strasbourg saint*denis n’est qu’une seringue
la rime qui tue, bien sûr je l’ai
pour ceux qui dorment les yeux ouverts
qui font l’argès même dans la merde
pour ceux qui lèvent la paume des mains la direction droit vers la mecque
y’a des coups de feux “bam !”
c’est pas finit reste au lit
la capitale se barre en couille un peu comme philippе risoli
ils veulent m’faire croirе que je descends du singe alors que celui*ci descend d’un arbre, si c’est le cas j’suis sangoku
et mon papa est peut être un astre
meskine, la rue, pour seules rivières, des caniveaux
quoi ? y’a grave la thune prenez ce qu’il y a puis calez*vous
renfermé comme un chinois, raciste comme un italien
le fn dit toujours “non”, si on m’contrôle j’donne pas mon nom
d’après la situation, j’vois que c’est rigoureux
t’as pas encore pigé que ce soir c’est nous ou eux
si les teu*bés prennent le pouvoir navré de t’dire mais faut que j’taille
les scientifiques sont devenus fous j’veux pas finir comme frankenstein
[refrain : maître gims]
j’dors les yeux ouverts les rumeurs tournent depuis longtemps
les p’tits essayent tous d’imiter, le savoir de l’homme est limité
dorénavant, j’avance l’esprit barré de barrières
les ambiances louches sado*maso moi je refuse ça dans ma zone
les clés sont lourdes pourtant le trésor s’trouve dans les coffres
nous propulser vers l’infini, aucun de nous en a l’étoffe
l’argent facile ça vient ça va, ça file des doigts
les meilleurs partent, les moins bons se tapent
mais no limit ce n’est pas un mythe
[couplet 2 : koma]
avec mes gars d’en*bas on vit galère après galère
chez moi c’est barbès plage, pas malibu ni ses alertes
on fait c’qu’on peut ici et tant qu’c’est pas un homicide
on fait rentrer l’argent, faut bien faire vivre le domicile
ils disent qu’il y a délinquance mais oublient que c’est eux qui la crée
comme ils oublient les colons et puis l’époque où ils nous massacraient
j’viens d’algérie, français sur les papiers mais algérien
j’vis ma vie, ma souffrance, mon silence et mon mal de chien
y’a pas d’malaise, dans mon quartier y a qu’des gars balèzes
qui ont appris à survivre dans le feu, le brouillard et la braise
les flics nous veulent et s’organisent comme une grosse milice
corruptions et bavures et ils s’prennent tous pour des bruce willis
c’est pas facile de faire sa vie et d’marcher droit
surtout qu’ici, le mal viens te chercher jusqu’en bas d’chez toi
les cahiers, les devoirs, tu laisses ça dans le sac*à*dos
barbès le soir : c’est pas les champs mais les rues d’chicago
[refrain]
j’dors les yeux ouverts les rumeurs tournent depuis longtemps
les p’tits essayent tous d’imiter, le savoir de l’homme est limité
dorénavant, j’avance l’esprit barré de barrières
les ambiances louches sado*maso moi je refuse ça dans ma zone
les clés sont lourdes pourtant le trésor s’trouve dans les coffres
nous propulser vers l’infini, aucun de nous en a l’étoffe
l’argent facile ça vient ça va, ça file des doigts
les meilleurs partent, les moins bons se tapent
mais no limit ce n’est pas un mythe
[couplet 3 : maître gims]
hey boloss !
j’suis l’théorème du caniveau
la rue r’connait juste ma démarche
en temps normal c’est pas possible
j’ai la langue dans l’une des prises la multi*prises tu m’as r’connu
le bras coincé dans l’piège à loup ma boîte crânienne est prise d’assaut
j’suis inédit comme jackie chan avec le doigt sur la gâchette
la me*ca s’vend en sachet, faut savoir qu’les gueushs achètent
y’a l’modou qui vend du faux, sur le mur, gratte la pâte d’amandes
la haine cachée en marche arrière, “qu’est*c’qui se passe ?”, un pote demande
encore une fois la route est noire
les réverbères font tous la gueule
j’me tape des barre depuis que je sais que pour le p*rno faut faire la queue
ne plaisante pas avec l’équipe, elle plaisante très peu
la rage n’a pas de remède, génération arrachage de tripes
l’époque est dure, tellement dure qu’il y’en a ils s’perdent
70 ans c’est bien trop court, faut bien que je m’isole dans un iceberg
je refuse d’être le cobaye dans le laboratoire, laissez*moi
je viens de 3015, j’suis le paysan qui laboura dans du ciment !
[refrain]
j’dors les yeux ouverts les rumeurs tournent depuis longtemps
les p’tits essayent tous d’imiter, le savoir de l’homme est limité
dorénavant, j’avance l’esprit barré de barrières
les ambiances louches sado*maso moi je refuse ça dans ma zone
les clés sont lourdes pourtant le trésor s’trouve dans les coffres
nous propulser vers l’infini, aucun de nous en a l’étoffe
l’argent facile ça vient ça va, ça file des doigts
les meilleurs partent, les moins bons se tapent
mais no limit ce n’est pas un mythe
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