la vérité nue - partie ii - eric eract lyrics
ok, ok, j’étais dégoûté, mais j’ai suivi les conseils des routiers –
et entrepris un voyage dans mes méandres en tenue d’égoutier. (je t’ai trouvée)
t’as vite fait le tour de ma famille monoparentale –
au moins tu ne peux pas dire que notre amour n’est pas rentable
un quotidien mêlant colique à ton mélancolique
ok j’t’ai rencontré bourré mais crois pas qu’j’sois alcoolique nan
notre amour je vais le consumer – nan – je vais le consommer
puis je prendrai un plaisir pervers à te consoler
tu vas voir la vie en rose avec mon gland dans l’blanc d’l’œil
j’ai le tempérament d’annie wilkes, celui de joey starr
queutard ? que dalle, mais veulà l’gueulard
d’ici à ce que tu me trompes je ne me nourrirai que des tiennes
si tu fais l’erreur de me tromper, putain je vais pomper et –
je parle de fusil à pompe et – de pompe pour bomber
putain, je sais très bien que tu vas me tromper
une bombe – deux secondes – trois tombes – la sienne, la tienne, la mienne
ou alors je t’élargirai jusqu’à que tu ressembles à une rue
tu n’ouvriras plus les jambes seulement tes veines et ton frigo
j’irai me pendre à une grue – à une grue !
et tu trouveras mon cadavre en ouvrant tes rideaux
je te vois pleurer comme maman sous les hurlements d’papa
crier, rameuter plus de foule qu’un avènement papal
c’est un cauchemar, certes, c’est un cauchemar palpable
je ne sais pas de quoi je suis capable je suis putain d’instable
mon psy m’a rétorqué “bah eric voyons
vous saurez garder votre calme si on en parle et que vous surveillez vos boyaux.”
“mais monsieur je suis un voyou aveuglé par tous les voyants
je suis encore moins vaillant que vous n’êtes un voyant.”
mon pessimisme et mon amour pour toi ne font pas bon ménage nan
je ne sais pas ce qu’il en sera de nous
ça ira, tant que t’es pas trop absente quand je te viole
je ne connais que la violence nan, je ne connais que la violence nan
sifflotant, sirotant mes humeurs qui dans le sirop trempent
tandis qu’orobas joue aux pet-ts chevaux avec mon hippocampe
en pâture on – est fait – nous attendons ceux qui au pas tueront –
d’un sabot nos soifs afin que l’on se définisse –
par les muscles de nos paturons. il faut que je rentre en toi
je suis un monstre bon élève, une sorte de cheval de troie
eric s’introduit dans virgina tech
mélangeons nos fluides, nos plastiques, nos vinyles-latex
je veux ouvrir ton rideau de cheveux, faire glisser des écheveaux –
de poussière sur ton nombril. c’est la route du thé et des chevaux
où je t’emmène, faire des achats :
il me faut un tuocha… ou que j’tue un chat
plus que jamais ils ne le furent on va se mettre ensemble
tu vas me mettre en transe, je vais te mettre en sang
ma perche prend tes gémiss-m-nt, je suis un maître en samples
fais tes griffes sur mes côtes, je sue, un maigre enfant
je loge dans un tiroir en forêt, j’attends que tu viennes m’y voir
nu dans mes fourrés d’ivoire, je te tendrai un miroir
qu’est-ce qui te feras le plus mouiller, entre les reflets de ma chevelure dorée
et le reflet sur la glace brisée de ton abdomen perforé ?
tu sais – des boules dans des bluejeans dans des boules de billard
tu sais – deux phares aqueux dans la vitre d’un corbillard
tu sais tout a un reflet, le mien dans le fond de tes yeux
le mien dans ta peau gracile ou le long de tes cheveux
moi qui croyait être trop terre-à-terre pour donner le coup de foudre
il semblerait que j’ai galvanisé ton pourtour
pour tout – te dire – je suis soumis à certaines pesanteurs
surtout – tenir – quand ton train emporte ta senteur
j’aime tes tics, tes manques, ton coté négligé
tes pics, tes angles, tes rondeurs bien figées – sous mon épaule –
et je pourrais rester comme ça une année
si je n’avais pas de projets comme écrire et me flinguer
j’ai envie de rouler une pelle à ton ventricule gauche
voir ma salive circuler jusqu’à rentrer dans ton ventricule droit
puis retourner dans ma bouche, et caetera
j’vais vraiment te violer si tu dis encore une fois que tu te trouves moche !
merde j’voulais pas dire ça, je n’arrive pas à tenir mes palissades
tu ne me décevras pas, les sentiments sont des tapis d’sable
j’aimerais – j’aimerais que tu ne me quittes jamais
comme cette douleur qui va de mon -n-s à mon testicule droit
mon esprit est sale, roule toi dans sa boue
j’en ai marre des médocs donc je roule ta langue dans ma bouche
je te mords. je ne t’embr-sse pas
dans la violence laurence, dans l’insolence laurence
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