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avant que - el tonton tony lyrics

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les écrits restent..
ce que la pluie nous offre, ce que la nuit nous ôte
saisirai ce trésor avant que celui ci s’résorbe

mais qu’en est il des hommes ?
avant qu’le temps m’désarme
ce que la pluie nous offre, ce que la nuit nous ôte..

aaah dans ma tête ça fait des tours, cette ritournelle comme l’éthanol
j’me biture sec, j’me mets k*o, dans l’filigrane j’mettais la gomme, pas d’com’
un feeling crade, j’suis l’sale môme, le p’tit qui craque
24 printemps, j’en prends d’la flasque et rien qu’j’m’y endette
j’vois mon père avoir la haine, contre lui*même et contre la terre entière
des somnifères, des blocs de fume, j’le vois souffrir sans tant l’admettre
ces sourires bien moins aiguisés qu’sa tristesse joue l’cran d’arrêt et crois bien qu’c’est la merde
guerre a ses nerfs pendant qu’la paix titube
moi j’suis à quai j’bifurque, reuf guettes la pellicule
y’a pas l’décor mais t’as l’envers
l’métal enseigne c’que les dialogues n’ont pas su faire
un ulcère sur les pianos, j’ferai pas danser sous les facettes
entre bassesses et craintes, j’gratte un écrin, j’vois qu’c’est d’la caille, dis rien
un verse à t’faire bader, j’crois pire qu’la vie d’heidi
un empire, ma chrysalide, j’m’attends au centuple à chaque page
j’existe plus comme un enfant regardant tarzan pendu à sa liane

les écrits restent mais qu’en est il des hommes ?
j’écrirai avant qu’le temps m’désarme
ce que la pluie nous offre, ce que la nuit nous ôte
saisirai ce trésor avant que celui ci s’résorbe
les écrits restent mais qu’en est il des hommes ?
j’écrirai avant qu’le temps m’désarme
ce que la pluie nous offre, ce que la nuit nous ôte
saisirai ce trésor avant que celui ci s’résorbe
j’prends la vie comme un présent que j’conjugue en conséquences
navigue contre la raison, j’le grave dans l’marbre après l’écorce
c’est dans mes cordes, faire face à une bourrasque qu’on arrête plus
avant que ça n’s’efface, avant que s’écroule mon palais de plumes
le temps flingue à petit feu mais peut soigner j’l’affirme
dans les cendres du souvenir j’y puise une poignée de saphirs
j’vogue parmi des milliards d’âmes errantes
en ai fait 400 mais pas rendu les coups qu’il fallait rendre
le vent tourne, mes lettres fantômes commémorent cela
être grand homme comme seul art, pour la belle âme que le drame morcela
des couleuvres qu’on vomira, de faux miracles en bons nombres
comment n’pas causer du tort lorsqu’égoïsme parle en ton nom ?
l’herbe n’est pas plus verte par là bas, j’te le garantis
chaque médaille à son revers quand chaque rêveur à sa hantise
conseillère ou triste messagère, la nuit revête son costume
une fois de plus exister n’aura d’sens qu’à titre posthume

les écrits restent mais qu’en est il des hommes ?
j’écrirai avant qu’le temps m’désarme
ce que la pluie nous offre, ce que la nuit nous ôte
saisirai ce trésor avant que celui ci s’résorbe
les écrits restent mais qu’en est il des hommes ?
j’écrirai avant qu’le temps m’désarme
ce que la pluie nous offre, ce que la nuit nous ôte
saisirai ce trésor avant que celui ci s’résorbe
les écrits restent..
ce que la pluie nous offre, ce que la nuit nous ôte
saisirai ce trésor avant que celui ci s’résorbe..

avant qu’on rêve faudra qu’on vive
avant qu’on crève faudra qu’on vibre

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