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akatsuki - eddie hyde lyrics

[intro : take a mic]
envoie
check, han

[couplet 1 : take a mic]
tout le monde crèvera un jour
après la mort, y a r mais t’as une -ssurance vie
le droit chemin est mal éclairé, ici l’insolence brille
les p’tits plombent les grands donc on change de conflit
un gun, ça coûte rien donc la vie n’a pas de prix
j’te tiens au courant, ce rap jeu n’a pas de prise
j’rends ouf ma fanbase et ceux qui me méprisent aussi
miskine, j’me jette sur la concu’ comme 10 skins
ils t’ont rotte-ca tes thunes et ta pute
avant que tu percutes, mohammed et ali t’esquivent
j’ai dû gratter des trucs et des trucs
sans beuh qui sort du fut’, mais ça reste quand même exquis
et faut que j’f-sse briller la daronne
finisse mes journées en jet-ski et sur une presqu’île
ils ont qu’un seul flow, 20 défauts
imprévisible, poto, on dit que j’ai 100 styles

[couplet 2 : ksa]
yeah
j’vais finir par devenir celui que je suis supposé être
ouais, un putain de négro
à l’arrière d’un gros fer, des rideaux sur les fenêtres
je suis obligé de le faire, mon négro
dans l’hôtel, j’me réveille : la femme de chambre est trop bonne
faut qu’elle m’apporte le p’tit déj’, mon négro
le seul nég’ sur air france avec un pocheton de zeb
et un siège en cl-sse « affaires », mon négro
j’veux rappeler la valeur d’une chaîne sur le cou
les rappeurs ont oublié, aujourd’hui sont dans le flou
jack d, joints de beuh : j’me noie entre les deux
j’rêve d’un mont d’oseille que j’arrive plus à prier dieu
j’découpe chaque morceau : en équipe, en solo
j’marche sur le feu avec ma voix sur le micro
j’veux remplir bercy, jouer à toronto
dans un strip club à paris, jeter des euros
en direct de la capitale de la mode
y a la fashion week pendant que j’écoute une prod’
libérez l’enflur, libérez ridge avant qu’il y ait ma tête sur l’affiche
ouais, mon négro, négro : on veut multiplier le biff
sur le bateau avec ta biche
appelle-moi capitaine sam, je la traite comme un gentleman

[couplet 3 : 3010]
quoi d’neuf, négro ? quoi d’neuf, négro ?
pas de bluff, négro, tas de meufs, négro
j’enchaine sur un pas de smurf, négro
j’avais blackjack, j’arrivais comme daddy puff, négro
walk up, b–tch, vois le turf’, négro
cinquième verre : t’es pas le seul, négro
mon rain-té sait le faire : aie pas le seum, négro
elle est mieux en elle après que j’ai calcium, négro
j’vis une innovation : toi, un alb-m (nég’ !)
que des pâles copies crées quand j’ai dit : « on verra ce que ça donne »
négro, ils m’ont pris, han
pour tout, que dieu me pardonne
j’préfère ce choix à jouer la madone
teste : tu vas cartonne, han, khl-ss
talata-3ashara shl-ss
négro, tu peux faire : (vocalises)
ça p-ssera, j’arrive avec une m-sse et une pensée liée au card-pla
j’suis déjà dans ta face, dans sa garce via gasoil
sur tes principes, on s’-ssoit
je pèse le poids de ma croix, sin-dé
j’suis comme un frère, tu sais que tu vas pas me feinter
check la voix teintée d’une rage noire
sur une armoire, bien mieux cachée qu’harvard
ma foi, je sais déjà ce que tu vas croire
peu importe tant que mon jus s’accroît
trois-mille-sseudi

[couplet 4 : og l’enflur]
j’fais toujours parti de ceux que les balances agacent
les négros n’ont rien à graille mais veulent des balenciaga
t’aimes ça, faire de la neige : j’arrive comme une avalanche à garces
la vie c’est pas star wars : j’décris la rue comme une putain de saga
j’me défends comme un mec de gaza qui fait du krav maga
c’est pas grave, ma gueule
on sait qu’au tier-quar, tu bicraves la caille
j’ai ma bite, mon poignard : skywalker, un sabre laser
dis pas à sky rocker ou audiland si ça sent la zeb
j’suis dans le périmètre : tu peux périr ou repartir sans lacet
ecoute les vrais niggas et je t’-ssure, tu vas pas t’en l-sser
tu leur tends la main : ces sales vipères veulent t’enlacer
méritent de finir, noyés, les poings liés dans la seine
paname by night : une li-sse de 100, on peut t’achever
dans la savane, pire une hyène
c’est de sang que ma chemise est tachetée
t’auras jamais la coupe si le match est acheté
un boubou, un coupe-coupe : j’leur fais du sale comme à cese
tu m’as peut-être checké sur le boulevard ou dans le 9.1, vers athis
paris c’est mon rain-té : appelle-moi marco verratti
c’est juste maître splinter, j’ai la rime qui les dératise
eddie eddie hyde, b-tch
faut que vous soyez déters à dix

[couplet 5 : houssaw]
on va les terrifier, les brûler, les torréfier
j’débarque fier, frère, frais, frère comme ce con de tony
hin, pâtes pendant le riz cantonais
j’arrive les deux talons dans ta tête comme éric cantona
aller et retour dans ta face
flip flap, ne flippe ap’
ce n’est pas tout le flow : ce n’est qu’une petite flaque, hin
p’tite frappe : quand tu poses, t’es dégueul-sse
un peu comme des frites froides
plus de c, même le quart du quart de ce qu’on sait faire
demande à k-ss : gros, on est chaud
dans ce cas, faut qu’on céper’
et qu’on s’éternise dans ce jeu
acteurs ou actrices dans ce jeu
aucun d’eux n’est dangereux
huuum
chez nous, que du concret, la pure qu’on crée
que des hommes en place : nos freestyles sont des congrès
depuis leurs débuts, ils n’ont fait aucun progrès
et c’est ce genre de connards qu’il faudrait qu’on craigne

[couplet 6 : pesoa]
han, han, han, han
j’aurais déjà pu chuter
je chantais déjà, j’avais le cordon ombilical
j’vais vous buter en scred’, grâce au secret médical
je suis tissu italien, vous n’êtes que matière délicate
je suis en plein délit, tu captes
j’ai la maladie du câble xlc, je meurs en cave
accélère, je me rends pas
en auxiliaire, je me balade et puis
tu critiques mais, es-tu cap’ hin !
des petits ponts, j’les p-sse à petits pas
c’est bon, ti-par et quand tu parles
que tu me compares à des p’tits barges
bouuuge et nique ta…
saute du toit, moi j’suis moi, toi t’es toi
toi, t’es qui ? toi, tais-toi
j’te connais de nulle part, dés l’départ, t’es des barres
han, j’avais senti ta baaave
on blesse, on blesse, on blesse, blesse, mais zéro espèce
c’est pas mauvais mais t’as des airs d’italie
j’sais quand tu meurs : shinigami
j’vais te plier : origami
j’suis dans l’organigramme mais tout en haut, tu le sais
j’me sers de ces essais et sors ninja h2r
rang pang tang tang
rang pang tching tchang
rang pang tchong tchang
tchang tchang tchang tchang

- eddie hyde lyrics

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